Trois petites filles

guerres? DOCUMENT N°1 Le travail des femmes dans l'agriculture formuler ces informations en paragraphe: Cette photo date de 1914, elle est extraite d'un journal l'époque. Elle nous montre trois femmes qui labourent durement la terre, deux enfants sont présents, une des petites filles participe au travail en portant un seau l'autre est restée assise. On peu voir que le travail est dur ! Aucune des personnes ne sourient sur la photo le travail reste très physique et épuisant. Les

corbillon de la mariée : But du jeu : Faire passer la petite corbeille de main en main en prononçant à chaque fois un mot se terminant par le même son 3 Jacques a dit : But du jeu : Suivre les consignes données par le meneur sans se tromper. 4 Ni oui ni non : but du jeu : Répondre aux questions du meneur sans jamais dire oui et non . 5 Trois fois oui, trois fois non : but du jeu : pareil que le jeu ni oui ni non mais répondre trois fois de suite oui ou non . 6 J'aperçois : but du jeu

LES FILLES ET LEUR ACCES A L'ECOLE DANS LE MONDE A L'HEURE ACTUELLE Tout d'abord qu'est ce que l'éducation ? L'éducation est le fait d'apprendre, d'instruire un enfant pour développer ses qualités physiques, intellectuelles ou morales, elle permet de le former à la vie professionnelle et sociale, et d'avoir une vie épanouie, une connaissance du monde et à les préparer à leur vie de citoyen. Mais le droit à l'éducation n'est pas respecté partout, plus de 101 millions d'enfants ne vont pas

dessin de Jean Cocteau, publié dans le journal « Le Mot » au début de la première guerre mondiale, fin 1914. C’est un dessin de propagande inspiré par la rumeur, fausse, selon laquelle les soldats allemands, en Belgique, coupent les mains des petites filles. C’est en aout 1914 qu’éclate la « Grande Guerre ». Toutes les puissances mondiales y sont impliquées et cette guerre va être longue non seulement par la durée du conflit mais aussi par son intensité. Fin 1914, les soldats entreprennent véritablement

de la galerie du premier chargée de spectateurs, un ciel ennuagé de fumée. Dans le vaste corridor d'entrée qui mène à la promenade circulaire, où rôde la tribu parée de filles, mêlée à la foule sombre des hommes, un groupe de femmes attendait les arrivants devant un des trois comptoirs où trônaient, fardées et défraîchies, trois marchandes de boissons et d'amour. Les hautes glaces, derrière elles, reflétaient leurs dos et les visages des passants. » La place de la Trinité. « La place de la Trinité

s’agit d’une personnalité engagée sur des thèmes très divers, participant à de nombreux mouvements, auteur et conférencière prolifique (44 livres, plus de mille articles), utilisant les médias pour populariser ses multiples combats. Elle-même mariée trois fois, un de ses domaines d’étude privilégiée est l'éducation, les droits des femmes, la sexualité. Son engagement personnel sur ces sujets sera critiqué et l’objectivité de ses investigations sera mise en cause. Claude Lévi-Strauss qui l’a souvent

positivement différent, je pense que j'ai acquis une plus grande ouverture d'esprit. » C'est aussi l'héritage de Julie Pétrin, dont le père a dévoilé son homosexualité alors qu'elle était toute petite. « Pendant l'adolescence, j'ai vu le regard des autres et j'ai éprouvé de la gêne de me promener avec mon père. Au fil des ans, c'est disparu. J'ai compris que c'était pas grave ce que pensaient les gens. Moi, j'aime mon père, je suis fière de lui, je ne veux pas qu'il change », a-t-elle dit, avec l'espoir

son rôle d’exposition : dimension informative Beaucoup de choses et diverses sources 1) Diversité des sources * L’étranger : lyrique et nostalgique par rapport à son enfance * Le jardinier : objectif et sérieux (l.66) * Les trois petites filles : ton sarcastique, elles complètent, modifient * Il y a une complémentarité et une diversité des tons 2) Des informations sur les faits * Faits présents : un mariage se prépare on comprend que c’est le mariage d’Electre et du

narratrice avait réussi à s’en sortir. Il m’a fallu plus de temps que prévu pour passer à travers ce tropplein d’images de femmes collées aux maux de Samia. Trop de souvenirs rampaient en surface comme une rivière agitée. J’imaginais très bien Samia, petite fille malaimée, adolescente cachée, comme une erreur maternelle, une erreur de parcours qu’il fallait empêcher de vivre. L’empêcher de voir, de désirer, de rêver ou, pire, d’aspirer à une vie autre que celle du supplice de naître femme, de naître

Maxence de la Grange le 7 juin 6011 Apprenti. Le fil à plomb. Vénérable Maitre et vous tous mes frères en vos grades et qualités, Le 11 avril dernier, ici, au temple, j’assistais à une instruction pilotée par le frère second surveillant et j’avais le sentiment d’une belle séance, le travail que présentait Jimmy laissait déjà subodorer une très belle planche sur le tapis de loge. Jusque là, tout va bien. Mes tourments commencent lorsque que le frère Patrice m’annonce