Tropisme

parstéréoabdomin(o)lapar(o)api-ectomie -atrésie nullipuerpér(o)-, -puerpéral partum toc(o)cét(o)uric(o)ox-, oxy-, oxydacid(o)-drasie -praxie -consultation -infusion -compresseur, compression erg(o)-, -ergie, -ergique sinapis, sinapisé dispensation thym(o)trop(o)-, -trope, -tropie, tropisme -agression, -agressine acu-, acumin(o)-, acuminé ptér(o)alaire magnét(o)-, magnétique -ode, -odique aér(o)axill(o)-, -axillaire albumin(o)alcool(o)aldo, aldéhyde siti(o)-, -sitie -pastie ion(o)-, -ionique allerg(o)malade, maladie alvéol(o)phil(o)asbest(o)amib(o)amin(o)-

qui partent en expédition vers le Sud, sont à la recherche d’espaces épargnés par la colonisation, demeurés aux « temps bibliques » et qu’il faut peindre avant qu’ils ne disparaissent à leur tour, tout comme ils sont en quête de la lumière. D’où le tropisme méridional d’un Guillaumet qui travaille entre BouSaâda, Biskra, el-Kantara et Laghouat de 1862 à 1887. Guillaumet, tentant de renouer avec les mœurs et coutumes des anciens, peint avec attention les artisans et les métiers traditionnels : la Cardeuse

expressions sont si traditionnellement unies qu'on oublie de chercher le caractère régulier de leur union. Seule l'imagination dynamique peut nous faire comprendre cette synonymie. Ces deux impressions dérivent d'un même tropisme de l'imagination aérienne. On le voit, c'est le tropisme, l’ouranotropisme du vol onirique qui entraîne tous les rêveurs aériens. G. Bachelard, L’air et les songes. Essai sur l’imagination du mouvement. (1943) [1990] 78 [79] L’air et les songes. Essai sur l’imagination

plainte pour arrestation arbitraire. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis. b) Les limites de la DDHC : le tropisme libéral et légicentriste. Les révolutionnaires de 1789 font preuve d’un amour immodéré pour la loi et la liberté économique. Ce tropisme colore l’ensemble de la DDHC et introduit des limitations assez importantes. => Le libéralisme économique : la DDHC va accorder une place très limitée à l’égalité. A savoir

September 10, 2003. For a more nuanced approach by Ziˇ ek which is nonetheless detached from recent historical debates, see his “The Two Totalitarianisms,” London Review of Books, March 17, 2005. For a criticism of these approaches see Dominick LaCapra, “Tropisms of Intellectual History,” Rethinking History 8, no. 4 (December 2004): 523; Finchelstein, “The Holocaust Canon: Rereading Raul Hilberg,” New German Critique 96 (2005), 16. 17. Barbara Spackman, Fascist Virilities: Rhetoric, Ideology, and Social Fantasy

Cantatrice chauve de Ionesco, où l’échange entre les protagonistes tourne à la cacophonie, et aux écrits de Nathalie Sarraute, comme Martereau mais aussi « Conversations et sousconversations » (dans L’Ère du soupçon), où elle théorise sa pensée des « tropismes », ces mouvements instinctifs peu exprimables et qui ne passent donc pas par la parole mais par tout ce qui l’accompagne. Enfin, l’exemple d’Arrias dans Les Caractères de La Bruyère donne à voir cette oralité qui peut être fausse, vaine et suffisante

campagne qui dénonçait violemment[33] les positions de ce qu'on appelait alors encore l'anti-mondialisation. On déclarait son idéologie criminelle dans un style pouvant faire penser à un règlement de compte de la part de penseurs désespérant de ce tropisme français qui, déjà du temps de leurs classes, faisait qu'il valait mieux avoir tort avec Sartre que raison avec Aron et aujourd'hui encore leur contestait leur place légitime de leader d'opinion... De plus, on peut trouver les raisons de ce consensus

empreinte sur l’image accompagne le cinéma depuis les débuts : Exemple d’Hollywood où le genre western permet des tournages en extérieur. L’improvisation, le tournage en décors naturels avec le minimum de lumière artificielle seront quelques tropismes de ces cinéastes. Un principe élémentaire subsiste d’une œuvre à l’autre : « Le documentaire, c’est aller au bout du monde pour ne pas avoir à raconter une histoire ». Une autre voie : le cinéma critique - Une fonction d’éveil et d’agitation

cf palimpseste - Mise à distance par l’ironie èV : errance sur les vestiges du passé historique et personnel - Poésie des ruines - 1ère perte des repères spatio-temporels… - Mais aussi tropisme qui le ramène vers le couvent d’Adrienne, alors même qu’il prétend ne songer qu’à Sylvie (mauvaise foi consciente ou inconsciente ?) ? - + failles de l’idylle rousseauiste : discordances point de vue lettré/ naïveté de Sylvie.

Baudelaire qui lui aussi fera l’apologie d’une modernité désenchantée et vulgaire…). «  L’esthétique de l’échec, la célébration du ratage et la célébration de l’altérité irréductible de l’Autre sont – déjà – les tropisme de la fin du XVIIIe siècle  » (p. 278). Certes nous allons manifestement vers un art sans œuvres (« une œuvre d’art qui ne soit pas d’art » disait déjà Duchamp dans les années 1920 ce qui ne l’a pas empêché d’être