Troubadour

sud dans le département de la Corrèze. Il est aussi comme l’auvergnat en sérieux danger de disparition d’après l’UNESCO, malgré l’intérêt des gens et de certaines institutions. Le limousin a joui d’un énorme prestige à la fin du Moyen Âge par ses troubadours, de ce fait, il est connu aussi comme langue d’or. Le Languedocien Le languedocien se caractérise par le maintien de plusieurs traits linguistiques très anciens, par exemple, les occlusive finales : cantat [kan’tat] qui en provençal se

majorité de la population ne comprend plus, subit au VIIIème siècle des altérations rapides et est abandonnée au profit de la langue romane. La littérature, en ce temps, est principalement orale, c'est-à-dire qu'elle est racontée par les troubadours ou les trouvères qui se produisaient dans les châteaux et sur les places publiques. Puis, la littérature commence à se transmettre par voie écrite. Les moines copistes rédigent à la main les histoires qu'ils entendaient. Au Moyen Âge

Par la magie lune éclaire-moi Il était une fois un troubadour de petite taille un peu rond avec un beau visage, nommé Oscar. Il était vêtu d’habits de toutes les couleurs avec des clochettes à son chapeau et ses poignets. C’était un homme jovial qui amusait le roi. En effet, lorsque le roi s’ennuyait, le troubadour passait ses journées à chanter des chansons et à l’amuser. Il aimait faire rire les convives issus de la noblesse en réalisant des tours de

matiere 1. Talent de chanter  a. Dieu (14 février) Séquence de Sainte Eulalie, 9e s Vie de Saint Alexis, 11e s b. Le roi (21 février) La Chanson de Roland c. La femme (21 février) : i. Troubadours et trouvères 2. Talent de conter  a. Lais de Marie de France (28 février) b. Les romans antiques et idylliques (28 février) i. (Eneas : extrait ) ii. Floire et Blancheflor, Aucassin et Nicolete) : c. Tristan

donc fréquemment de magnifiques banquets pour montrer sa générosité. C’est l’occasion de réunir autour de lui sa famille, ses courtisans et ses compagnons d’armes. Le festin dure plusieurs heures, avec trompettes à l’arrivée des plats jongleurs et troubadours (nom donné aux poètes au M.A) LES SPORTS ET LES JEUX DE GUERRE : Le noble, même si ses moyens ne lui permettent pas toujours de se faire armer chevalier, a pour principale occupation la chasse et les sports violents ; cette dernière activité

marquent le désir d’élargir le domaine de l’art, mais dont on ne possède aucun échantillon car l’église les condamnait et les moines négligèrent de les copier. C’est à ce moment que se développe l’art des troubadours dont le plus célèbre est Adam de la Halle (1240-1287). Ce sont les troubadours et les trouvères qui vont participer à l’établissement de la musique mesurée. Ils délaissent le latin pour la langue vulgaire. La polyphonie va bouleverser l’art musical à partir du 9ème siècle. Guillaume

combat : 1. La provocation, le défi à l’oral 2. Le combat au sol 3. Le combat à cheval LA TENUE DU CHEVALIER Heaume, l’écu, l’épée, les chausses, le haubert, la lance LE CHEVALIER, UN HEROS AMOUREUX Dans la poésie, au 13e siècle, les trouvères (troubadours) décrivent un amour pur et raffiné. Le poète déclare son amour à une femme inaccessible, d’un rang supérieur. Ce sentiment raffiné est appelé la fin’ amor (ou « fine amour ») car l’amour est alors un mot féminin Par la suite, on parlera « d’amour

ainsi au service du roi Henri II de Plantagenêt, en tant qu'artiste à la cour. La Révolution poétique du XIIème siècle Les Trois révolutions poétiques Marie de France se situe dans le sillage de la Révolution poétique inaugurée par les troubadours, au XIIème siècle. On peut dès à présent rappeler qu'il y a eu trois Renaissances au Moyen Age : la première Renaissance se situe au IXème siècle, sous Charlemagne. Celui-ci normalise l'écriture, en établissant l'écriture dite « caroline. »

le passage de l’espoir au désespoir du poète est évoqué par son désir de voir la princesse à la première strophe, comme le suggère la métaphore « Je vais courbé par le désir » qui exprime la soumission du troubadour face à celle qu’il aime. Il n’est pas maître de lui tant elle l’envoûte. En outre, l’utilisation du présent « Je songe » traduit le rêve de l’auteur, espérant de tout cœur voir la dame qui obsède ses pensées. Dans la dernière

commencent à apparaître les Troubadours qui habitent le Sud de le France et qui chantent en langue d’Oc. Ce sont des musiciens professionnels itinérants, souvent même des seigneurs, qui se font payer par d’autres seigneurs pour chanter. A travers leurs chants, ils apportent des nouvelles du monde extérieur. Aux XIIe-XIIIe siècles, apparaissent les Trouvères qui habitent le Nord de la France et qui chantent en langue d’Oïl. Ils ont la même fonction que les troubadours. Par la suite, la musique