Trouble De Comportement Alimentaire

t’elle forcément une dépendance addictive ? La famille joue t’elle un rôle dans ce problème de dépendance ? L’alcoolisme est elle une maladie mentale ? Je vais donc m’appuyer sur le« Développement et l'organisation psychique de l’être humain », « Troubles et déficiences », « L’être humain et son milieu familial ». IV - Développement 1- La dépendance L’être humain, depuis son plus jeune âge, se trouve d’emblée dans un état de dépendance absolue qui l’assujettit et le met dans la main de

parents de décrypter les pleurs de bébé, auxquels ils répondent majoritairement par un biberon. Les parents ont souvent l’impression que l’enfant n’est pas assez nourri et n’arrivent pas distinguer entre un réel besoin et un réconfort alimentaire. La relation alimentaire entre les parents et les enfants est une longue histoire, on veut faire de nos tous petits des « supers bébés » capables d’avaler dès l’âge de 5 mois de la viande hachée ou tout autre aliment. Alors que l’on devrait laisser aux bébés

de ses enfants. A son arrivé, elle n’a apparemment aucun antécédent médical, et n’a pas eu de consultation spécialisée. Elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer mais est encore continente. Elle est sujette à la déambulation, a des troubles du sommeil et alimentaires. Elle est très agitée et a besoin d’aide pour sa toilette. D’autre part, Mme H est parfois agressive, ressent sa situation comme un abandon. La situation est d’autant plus compliqué que jusqu’à présent, son mari niait sa maladie. Elle

professionnelles, domestiques et/ou sociales * Anesthésie affective à l’égard d’autrui * Culpabilité * Dévalorisation * Idées hypocondriaques * Troubles de l’humeur 2) Syndrome psychomoteur: - Ralentissement psychique - Aboulie (difficulté à prendre des décisions) - Ton monocorde - Troubles de la concentration, de l’attention et de la mémoire - Ralentissement moteur (mouvements) - Attitude figée - Visage peu expressif :

suite du décès de sa mère (antécédents de troubles bipolaires), Mme A rechute dans une dépression géré par un traitement adapté. Son mari l’adresse aujourd’hui en psychiatrie (en hospitalisation libre) car Mme A connait des insomnies (« ne dort plus ») malgré un traitement hypnotique. D’après son mari, Mme A est une personne discrète et soucieuse des convenances sociales. Cependant, à ce jour, Mme A semble très désinhibée aussi bien dans son comportement que dans sa façon de s’habiller. Psychopathologie :

Les malades s’interdisent toutes formes de plaisir : alimentaire, sexuel, affectif… -L’anorexie-boulimie qui suit généralement l' anorexie restrictive consiste à ingurgiter, souvent compulsivement, des quantités massives de nourriture, puis de se faire vomir ou en utilisant des laxatifs par exemple. Cet forme d’anorexie s’accompagne d’une grande perte d’estime de soi pouvant évoluer vers des dépressions. III. Causes Les troubles de l’alimentation peuvent être causés par plusieurs

boulimiques pour un seul garçon atteint. De plus, 10% de femmes ont à un moment ou un autre de leur vie des périodes alimentaires compulsives. Facteurs de risques : La boulimie est une maladie très dangereuse qui entraîne plusieurs risques importants. Le comportement des troubles alimentaires peut mener à alertes ou à des attaques cardiaques. Ceci peut mener à des troubles du cœur irréversibles ou une mort immédiate. Bien sûr, il peut aussi y avoir un grand manque d’énergie, de protéines et

Introduction I-Généralité a-Pratiques alimentaires b-Ressources alimentaire II-Présentation des ressources alimentaires a-ressources agricoles b-ressources pastorales c-ressources halieutiques III-Pratiques alimentaires IV-Qualité de l’approvisionnement alimentaire V-Comportements alimentaires VI-Troubles des comportements alimentaires VII-Problèmes liées aux pratiques et ressources alimentaires VIII-Approches de solutions Conclusion

Boulimie Qu’est-ce que c’est ? les causes La boulimie est un trouble du comportement alimentaire (TCA) touchant particulièrement les adolescentes et les jeunes femmes (70 % des cas). Elle se traduit par un besoin incontrôlable de se remplir l’estomac de nourriture souvent hypercalorique (compulsion alimentaire) pendant une très courte période. Par peur de grossir, la jeune femme cherche ensuite à éliminer l’excès de calories ingérées. Elle se fait souvent vomir dès la fin de la crise

ALIMENTATION ET TRAVAIL I – INTRODUCTION : Les conditions de travail et son organisation conditionnent les besoins alimentaires des travailleurs ainsi que leurs habitudes. Il peut en découler des troubles fonctionnels, voire des pathologies. A l’inverse, la manière de s’alimenter peut influer sur le comportement des individus au travail. Le médecin du travail, dans le cadre de son action en milieu de travail, a un rôle de conseiller et intervient dans le domaine de la prévention et de l’éducation