Trouble du sommeil

modération. 2- Les effets négatifs -Au niveau du cerveau: Une surconsommation régulière entraîne des inconvénients. On note, parmi les signes évocateurs de la caféinomanie :
la nervosité, l'anxiété, l'irritabilité, des tremblements, troubles sensoriels, l'accélération du cours de la pensée ou du débit verbal, des périodes d'infatigabilité. La consommation continue de caféine finit par faire apparaître une pharmacodépendance liée à l'excès de récepteurs à l'adénosine et au manque de

le sommeil et le cerveau Thème/élément : Le cycle éveil / Sommeil / Rêve Lien avec le stress/explication du stress causé par cet élément : Le manque de sommeil peut ralentir nos réflexes, causer des troubles de la mémoire, provoquer des sauts d’humeurs, ressentir de la fatigue musculaire et peut même causer de la difficulté à se situer dans le temps. Nous pouvons également constater de ce stress par de l’agressivité ou des hallucinations qui sont similaire à ceux du premier cycle du sommeil. Solutions

neuroendocrinien caractérisé par une réduction de la performance en compétition, inaptitude à maintenir une charge d’entraînement, fatigue persistante, réduction de la sécrétion de catécholamines, problèmes de santé fréquents, perturbation du sommeil et de l’humeur » (Mc Kinnon 2000) II Définition du surentraînement et notion de fatigue Le surentraînement est donc un aspect de la fatigue chronique, lié à une surcharge physique ou mentale. déséquilibre énergétique Le catabolisme supplantant

modifier notre conscience  États altérés 3781425234950Naturels (sommeil, rêves, méditation) Provoqués (drogues, hypnose, sport) Rythme circadien = rythme d’une journée Sommeil Bon pour refaire cellules de notre corps, guérison (système immunitaire), apprentissage Nouveaux nés : 17 heures Enfant : 10 heures Adolescent : 8-9 heures Adulte : 7-8 heures Personnes âgées : 6-7 heures PHASE 1 = TRANSITION ENTRE ÉVEIL ET SOMMEIL Non MOR Perte conscience de ce qui se passe autour Pas l’impression

autrui en général… Quelles sont les incidences du cannabis sur le sommeil ? La prise de cannabis, passées les phases de bien-être euphorique, d’excitation et de sensation de planer, laisse place à une phase de somnolence assez prononcée. Elle facilite ainsi l’endormissement, et malgré la relative méconnaissance des effets du cannabis sur le sommeil, on s’accorde à penser qu’il favorise surtout le sommeil lent profond et réduit le sommeil paradoxal. Dans le même ordre d’idée, il ferait obstacle au souvenir

mode anxio-dépressif. Personnalité anankastique. Ces troubles obsessionnels sont connus depuis longtemps qu’elle arrive plus ou moins à gérer au détour de nombreuses hospitalisations. Décrite comme méticuleuse au travail. Elle se présente en effet à celui-ci une heure à l’avance pour être absolument sûre de pouvoir faire son travail et le terminer correctement. Par ailleurs ses troubles parfois prennent le pas l’amenant à présenter des troubles alimentaires de type boulimique. Hospitalisation :

auprès d’enfants et adolescents âgés de 6 à 20 ans qui présentent une déficience intellectuelle moyenne à sévère (QI inférieure à 60) avec ou sans troubles associés : Trouble moteur - Hémiplégie Syndrome génétique ou métabolique - Trisomie 21 - Syndrome d’angelman - Syndrome de Prader Willi Trouble psychique - Psychose infantile - Trouble du comportement Enfin certains enfants peuvent présenter un polyhandicap ou un autisme. Pour chaque public rencontré, décrivez les pathologies et/ou

en général… Quelles sont les incidences du cannabis sur le sommeil ? La prise de cannabis, passées les phases de bien-être euphorique, d’excitation et de sensation de planer, laisse place à une phase de somnolence assez prononcée. Elle facilite ainsi l’endormissement, et malgré la relative méconnaissance des effets du cannabis sur le sommeil, on s’accorde à penser qu’il favorise surtout le sommeil lent profond et réduit le sommeil paradoxal. Dans le même ordre d’idée, il ferait obstacle au souvenir

usage médical. En effet, le GHB a été utilisé comme anesthésiant général et comme hypnotique dans le traitement de l'insomnie. Il est également utilisé en Europe et aux États-Unis pour le traitement de certains troubles du sommeil, et particulièrement pour diminuer les attaques de sommeil diurne et les épisodes de cataplexie chez les patients narcoleptiques. Il est aussi utilisé dans le traitement de l'alcoolisme pour aider au sevrage et à l'abstinence chez le sujet alcoolodépendant et fait l'objet

indispensable à ce diagnostic. Ils sont la complication la plus fréquente en cas de maltraitance physique ou sexuelle et prédisposent à la survenue d’autres troubles aggravant ainsi le pronostic. Ils sont nettement plus fréquents qu'on ne le croyait. Après un événement donné, on a pu montrer que deux tiers des enfants exposés pouvaient présenter ce type de troubles dans les mois suivants [2]. Une étude épidémiologique en population générale [3] a trouvé que deux cinquièmes des Fédération de Pédiatrie. CHU