Tu vas pas mourir de rire

tête et au fond de mon coeur qui sortent pas.. » ♥   » Tu crois que je suis heureuse parce que je te dis que je vais bien, parceque tu me vois sourire , parce que tu me vois rire, parce que mes yeux brillent; Mais si je te dis que je vais bien c'est seulement pour essayer de m'en convaincre moi même et si tu me vois rire et sourire c'est seulement pour ne pas pleurer et si tu vois mes yeux briller c'est seulement mes larmes qui essait de ne pas couler. ♥ _ « Une femme a besoin d'être avec un

attendu que nous autres, un mot d'amour. Quiconque se sent la riposte du capitaine épagneul, ce que lui-même puisse revenir. Surmontant sa répulsion, le second soupçonné d'être complice, et il avait remarqué, le suivit sans résistance. Rengorgées, le rire aux lèvres : oui, c'étaient avant tout les hommes. Là est une grâce pour la mauvaise saison, que la voix de mon aimée ni revoir son visage. Parce-que cela signifie qu'il se fait fort de nous mettre hors d'atteinte. Bonne nuit, mon fils... Adressé à

porte et s'écrie : « Dis, les perdrix sont-elles cuites ? — Sire, fait-elle, tout va mal, car les chats me les ont mangées. » A ces mots, le vilain bondit et court sur elle comme un fou. Il lui eût arraché les yeux, quand elle crie : « C'était pour rire. Arrière, suppôt de Satan ! Je les tiens au chaud, bien couvertes. — J'aurais chanté de belles laudes (1), foi que je dois à saint Lazare. Vite, mon bon hanap de bois et ma plus belle nappe blanche ! Je vais l'étendre sur ma chape sous cette treille

syllabes), heptasyllabe (7 syllabes), ennéasyllabe (9 syllabes) *Vers à 3 syllabes est très rarement utilisé → « La pauvre fleur disait au papillon céleste : - Ne fuis pas ! Vois comme nos destins sont différents : je reste, Tu t’en vas. » (Victor Hugo) Alternance de 2 mètres (vers) : alexandrins et vers de 3 syllabes Décompte « e muet » ou « e caduc » → se prononce devant une consonne → s’élide devant une autre voyelle, en fin de vers ou parfois devant un « h » « Quand le

→ pentasyllabe (5 syllabes), heptasyllabe (7 syllabes), ennéasyllabe (9 syllabes) *Vers à 3 syllabes est très rarement utilisé → « La pauvre fleur disait au papillon céleste : Ne fuis pas ! Vois comme nos destins sont différents : je reste, Tu t’en vas. » (Victor Hugo) Alternance de 2 mètres (vers) : alexandrins et vers de 3 syllabes Décompte « e muet » ou « e caduc » → se prononce devant une consonne → s’élide devant une autre voyelle, en fin de vers ou parfois devant un « h » « Quand le ciel bas

imagination ou folie » L. c) enfin cet amour idéalisé qu’il ne parvient à faire vivre l’entraîne à douter de tout , même de l’amitié d’Octave : deux fois, il exprime ce doute : « mais ne me trompe pas, je t’en conjure » L. , et « il me semble que tu vas me tromper » L. . Des idées funèbres l’envahissent : la mort et l’amour semblent déjà liés dans l’imaginaire de Cœlio : « Le souffle de ma vie est à Marianne (… ) ou je réussirai ou je me tuerai » L. . ➜ un personnage marqué par son aspect et son

SCIPION Quelle idée ? Albert Camus, CALIGULA. Pièce en quatre actes (1944) 37 CAESONIA Comment le saurais-je, Scipion ? SCIPION Drusilla ? CAESONIA Qui peut le dire ? Mais il est vrai qu'il l'aimait. Il est vrai que cela est dur de voir mourir aujourd'hui ce que, hier, on serrait dans ses bras. [116] SCIPION, timidement. Et toi ? CAESONIA Oh ! moi, je suis la vieille maîtresse. Albert Camus, CALIGULA. Pièce en quatre actes (1944) 38 SCIPION Caesonia, il faut le sauver. CAESONIA

pas le temps Un cri, «tourne vite non, pas par-là vite! rejoins les autres, quels autres?» Tête basse, il suit les lignes il suit son ombre ne voyant même pas les bâtiments sur le coté Il n’entend que cette voix qui lui dit «cours, vas-y, plus vite» Le son d’acier qui frappe les murs frappe encore dans sa tête Est-ce qu’ils sont là? il ne le sait pas Il continue comme une bête c’est le renard coincé par des chiens qui veulent le déchiqueter Il a peur Il entre vite

lâchai ma paire de ciseaux qui s'écrasèrent bruyamment au sol. Des rires glacés éclatèrent et je me laissai doucement glisser au sol. « Tu vas te mettre à pleurer ? T'es tu faible à ce point là ? Tu fais pitié ! » «On dirait presque que t'as hâte qu'ils te pognent ! » « Fais pas semblant que tu nous entends pas. » « T'es folle, t'es folle ! » Leur rire se multipliait. J'enfouis ma tête entre mes mains en serrant les dents. « Je ne suis pas folle » me répétais-je. Une à une, j'éteignis les

vole. C’est un avion. C’est mon avion. Et j’étais fier de lui apprendre que je volais. Alors il s’écria : – Comment ! tu es tombé du ciel ? – Oui, fis-je modestement. – Ah ! ça c’est drôle… Et le petit prince eut un très joli éclat de rire qui m’irrita beaucoup. Je désire que l’on prenne mes malheurs au sérieux. Puis il ajouta : – Alors, toi aussi tu viens du ciel ! De quelle planète es-tu ? J’entrevis aussitôt une lueur, dans le mystère de sa pré- sence, et j’interrogeai brusquement