Tu vas pas mourir de rire

Juan ou le Festin de pierre fut représenté pour la première fois en 1665. L’année précédente Tartuffe avait été interdit dès la première représentation, cette censure porta un rude coup à Molière et marqua une césure dans son œuvre théâtrale où le rire désormais tournera à vide. Tartuffe sera finalement représenté en 1665 dans sa troisième version que le Roi acceptera malgré la pression des dévots. Après cet échec, Molière a besoin d’une pièce capable de ramener le public dans son théâtre, c’est

voulais une glace ? vient fait moi un bisou et je t'en ramène une Moi : c'est bon te prends pas la tête, je lui ai promis un mac flury, j'allais partir lui chercher quand t'es arrivé, Khalti, je reviens à toute suite Khalti : non non non si tu y vas Mohamed t'accompagne, on laisse pas un mouton seul au milieu de loups Mohamed : Yemma  Khalti : khlass, tu voulais y aller de toute façon, alors a toute (en nous poussant dehors) Une fois dans le couloir, j'ai commencé à descendre les escaliers

rudimentaire  :   un   bon   tour   est   joué  à  quelqu’un    et,  à  la  fin  de  la  pièce,  le  trompeur  est  trompé  à  son  tour  par  plus  rusé  que   lui.  Le  but  est  de  faire  rire  par  tous  les  moyens  :  déguisements,  coups  de  bâtons,  situations   incongrues,  quiproquos,  etc.    Quant  à  La  Farce  de  Maître  Pathelin,  elle  comporte  déjà  tous   les  ressorts

Charlotte : Je vous présente Aurélie Gaschet, elle est nouvelle dans cet établissement. Je vous demande d'être gentil avec elle et de lui permettre de s'intégrer le mieux possible. (Regarde l'ensemble de la classe) Voyons voir ... hum, ah ! Voilà, tu vas te mettre à côté de Léa la jeune fille blonde avec les quatre couettes là-bas. Je m'avance et prend place au côté de la dite «Léa». Elle me regarde, me sourit, je réponds naturellement. Une fois que Charlotte eût fini son discours de bienvenue pour

: oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains choix comptent plus que d'autres : aimer ou haïr. Être un héros ou un lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir. Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore ; la vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement.   Un sourire cache parfois beaucoup de choses. J'ai rêver de toi cette nuit... Comme toute les autres d'ailleurs

puisque les organisateurs ne le leur demandent pas. Si a se trouve, ils ne pensent rien. Quand on dcoupe un poisson vivant, il ne crie pas. En concluez-vous quil ne souffre pas, kapo Zdena Elle est bonne, celle-l, je la retiendrai, dit-elle avec un gros rire visant provoquer ladhsion. Vous savez, je pense que sils sont en prison, ce nest pas pour rien. On dira ce quon voudra, je crois que ce nest pas un hasard si on atterrit avec les faibles. Ce que je constate, cest que moi, qui ne suis pas une chochotte

tragique de leur situation est tourné en ridicule, puisque c'est seulement le maître qui est menacé. Toujours en participant au registre satirique, Arlequin fait des remarques moqueuses tendant même vers la provocation : « je ne saurai m'empêcher d'en rire » (l.27), « cela se peut bien, chacun à ses affaires » (l.58). On peut aussi relever un registre polémique dans la tirade d'Arlequin (l.65-76) où il attaque clairement Iphicrate « les hommes ne valent rien (…) j'étais ton esclave tu me traitais comme

il n’y aurait pas de questions, de problèmes. Le mal nous confronte à ce qui ne devrait pas être. Poser le problème du mal, c’est poser tout ce qui ne vas pas. «Commencer à penser c’est commencer d’être miné» (Albert Camus). Le mal est inséparable de l’éveil de la pensée et la pensée s’éveille car on est mal, car il y a quelque chose qui ne vas pas. Il y a une sorte de désordre : ce qui est ne devrait pas être et il y a des choses qui sont et qu’on voudrait qu’elles ne soient pas. L’homme est un

qui remue toute seule. Le grincement des ressorts se mêle à des gazouillis et des éclats de rire émanant de l’intérieur du landau. Plantés de chaque côté, les parents se regardent catastrophés : 6 ŕ Merde… 7 2. ŕ Alan !… Combien de fois faudra-t-il te le répéter ? On ne dit pas « au revoir » aux clients qui sortent de chez nous. On leur dit « adieu » puisqu’ils ne reviendront jamais. Est-ce que tu vas finir par comprendre ça ? Lucrèce Tuvache, très fâchée dans le magasin, cache entre ses mains

aujourd'hui, je me souviens exactement du moment où je suis tombée amoureuse de toi. Ne plus pouvoir s'empecher de sourire quand on entend le son de sa voix, ne plus pouvoir s'empecher de pleurer quand il n'est pas là . Ne plus pouvoir s'empêcher de rire quand il rit. Ne plus pouvoir se passer de lui, de ses mots, de ses gestes. Ne plus pouvoir s'empêcher de l'aimer... * Tu sais ce que ça me fait, quand je te vois avec une autre fille que moi? La sensation que j'éprouve, le mal que ça me procure