Turkmène

à son domicile de Tombouctou. * 17 juin (Algérie) : embuscade tendue près de Bordj Bou Arreridj, contre un convoi de police, 18 gendarmes et 1 civil tués. * 20 juin (Irak) : un attentat dans la ville de Taza (ville peuplée a majorité de turkmènes chiites) fait 73 morts et 254 blessés. * 23 juin (Mauritanie) : un ressortissant américain est tué par balles alors qu'il sortait de sa voiture à Nouakchott. * 4 juillet (Mauritanie) : 28 soldats sont tués dans l'attaque d'un convoi militaire

langues  Le turc moderne (environ 80 millions de locuteurs), l’azéri (20 à 25 millions de personnes), l’ouzbek (environ 26 millions de locuteurs). Langues turcs de rang 2, parlées par quelques millions de locuteurs : Ouïghour, le tatar, le kazakh, le turkmène, kirghiz. Et les langues turques à faible effectif : de quelques centaines de millier à quelques centaines de locuteurs -6> les sakhas (ou iakoutes). Tsaatan : l’avenir de cette langue n’est pas brillant à priori. Le devenir d’une langue dépend de

remarques : Il s'agit d'exportations brutes, c'est-à-dire que le volume des importations n'en est pas déduit. Par exemple, le Canada a exporté 105 G.m3 aux Etats-Unis, mais a aussi importé 10 G.m3 de ce pays. De même, la Russie importe du gaz turkmène. Ces données n'incluent pas les exportations de produits directement dérivés du gaz, comme le méthanol ou l'ammoniac.

Palestine) attaque le Liban. En 1975, c'est le début d'une guerre civile qui sera longue de deux ans. En Irak, qui est aussi une mosaïque de communautés (Arabes :sunnites, chiites ; Chrétiens : Assyriens Arméniens et Chaldéens ; Kurdes sunnite ; Turkmènes; Yézidis) connaît de forte tensions religieuses. Avec Saddam Hussein au pouvoir, qui s'oppose littéralement contre l'Iran mènera une guerre de 1980 à 1988 avec en 1988 le massacre des Kurdes d'Irak ou des dizaines de milliers de civils y laisseront

«La Turquie, géopolitique et populations», Population & Avenir, n° 670, novembre-décembre 2004. Par exemple, le système électoral actuel est conçu pour limiter au minimum la représentation politique des Kurdes. Azéris, Kurdes, Arabes, Baloutches, Turkmènes… (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) La diffusion en France de la chaîne télévisée du Hezbollah a soulevé de vastes débats à l’automne 2004. (11) Ali Kouaouçi, « Dix millions d’immigrants dans le Golfe », Population et Avenir, n° 666, janvier-février

entre ces deux Etats. Actuellement, le Turkménistan se situe au 4e rang mondial pour la production de gaz, celle-ci ne cessant d’augmenter d’année en année (+ 60 % de 1990 à 2009). Les hydrocarbures représentent même 80 % des exportations turkmènes. Quant à l’Ouzbékistan, il se place au 6e rang mondial de la production de gaz. Les hydrocarbures, et surtout le gaz, sont donc la principale richesse économique de ces pays. Depuis 1991, de gigantesques gisements ont été découverts sous la mer

évident est une fuite de gaz. « Aucun système n’est sûr à 100 % », constate Edouard Berezovski. Quelque soit les précautions prises, les constructions sont susceptibles de faillir, et une explosion dans le gazoduc est toujours possible (cf. le cas turkmène). Une telle réaction entrainerait inévitablement des conséquences écologiques dramatiques directes sur la faune et la flore de la mer noire. En cas de fuite massive, dit-il, un incendie en surface pourrait également se déclencher. Les scientifiques

été louable bien qu’incomplète. Si Dostum demeure son chef charismatique, intellectuels et civils prennent chaque année un poids plus prépondérant. Junbish-i Milli milite aujourd’hui pour une régénération culturelle des petites minorités (Ouzbeks, Turkmènes, mais aussi Baloutches, Nouristanis, etc.) et ses bureaux ont ouvert dans une vingtaine de provinces. Son appareil administratif est le plus avancé d’Afghanistan : système cohérent d’autofinancement, centres de formation, clubs de sport, journaux

approvisionnement de gaz naturel par la mise en œuvre d’une nouvelle route gazière qui passera, là encore, par le territoire turc. Et, d’une longueur de 3.300 km, le projet NABUCCO devrait acheminer 1 milliard de m3 de méthane azerbaïdjanais et, à terme, turkmène et irakien, jusqu’à l’Europe de l’Ouest, via la Bulgarie, la Roumanie, la Hongrie et l’Autriche. Ce projet, dont le coût est estimé à 8 milliards d’euros, devrait faire l’objet d’un accord définitif entre les parties concernées fin juin. Il permettrait

quelques remarques : Il s'agit d'exportations brutes, c'est-à-dire que le volume des importations n'en est pas déduit. Par exemple, le Canada a exporté 105 Gm3 aux États-Unis, mais a aussi importé 10 Gm3 de ce pays. De même, la Russie importe du gaz turkmène. Ces données n'incluent pas les exportations de produits directement dérivés du gaz, comme le méthanol ou l'ammoniac. LE CHARBON et autres «Le nucléaire a conduit à une perversion du système électrique» «Le nucléaire a conduit à une perversion