Tutsis

et les événements liés au Burundi, qui virent des centaines de milliers de Hutu fuir ces deux pays pour l'est du Zaïre. La nouvelle armée rwandaise, l'Armée patriotique rwandaise (APR), dominée par les Tutsi protesta contre la violation de son intégrité territoriale, et commença à armer les Tutsi Banyamulenge de l'Est du Zaïre. Cette intervention fut dénoncée par le gouvernement du Zaïre du Président Mobutu Sese Seko. Mobutu avait le soutien des États-Unis, car il était considéré comme un important

soumission de millier de personnes face à une autorité qui provoqua des génocides. Prenons comme exemple le génocide au Rwanda, une tuerie qui date du 20ième siècle. Une guerre provoquée par les Belges colonisateur de cette Terre africaine entre les Tutsis et les Hutus. Ces gens de même origine se sont entre tués de manière répugnante. Durant cet événement on retrouve deux catégories, la soumission librement consentie et la soumission à l’autorité. Dans la première catégorie il s’agit de gens que l’on

retrouvons cet aspect dans les différents génocides perpétrés par le passé. Ne prenons que le massacre rwandais en 1994 où les Hutus se sont acharnés sur la communauté Tutsis. Les Hutus ont eu peur des Tutsis, suite aux idées que le gouvernement et autres sources ont propagés. La peur de la communauté voisine les a entraîner à massacrer les Tutsis. Ils ont bien perdu leur conscience et leur sens de la réflexion suite à cette peur de l’autre. Ils n’ont plus discerné le bien du mal et ont commis les pires exactions

divisent tout. Donc les européens savent se séparer à l'amiable, sans sang. 1994 = génocide au Rwanda , deux populations, classes sociales en 1 peuple. Les Hutus et les Tutsis durant la colonisation des Belges , les Hutus ont été favorisé et les Tutsis ont de la rancœur pour eux. Les Tutsis gagnent malgré le génocide des Tutsis par les Hutus. En même temps le conflit Israélo-Palestinien est toujours présent, la négociation devient impossible car des deux côté il y a monté en puissance des extrémistes

économiques d’exploitation des territoires). Localement se trouvent regroupés sur un même périmètre des groupes ethniques en conflit. EX : Rwanda. Tutsi= 15% de la pop et le reste de la population est composée de Hutus. Les belges avant de quitter le Rwanda ont formés les tutsis essentiellement pour des postes militaires. Au départ des belges les tutsis s’installent aux postes à responsabilité et tentent de mater une majorité ce qui déboucha sur un génocide… Si dans cet exemple peu de chose différenciait

Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En réponse, les autorités rwandaises menèrent une double stratégie : se défendre avec l'armée contre l'agression militaire du FPR et « liquider » tous les Tutsis de l'intérieur du Rwanda. Les autorités rwandaises perdirent la guerre civile au profit

oblige à recruter sur place des forces armées comme l’ethnie des Bangala au Congo qui est réputée très agressives et qui vont servir de force supplétive pour les colons. On va leur offrir des privilèges. Au Rwanda, les Belges vont s’appuyer sur les Tutsi par exemple. Le Congo va constituer ainsi, par son système répressif et par son économie de pillage, une référence pour les colonies voisines comme le Congo français. Parfois ces violences n’empêche pas la formation de relations fraternelles entre

avec ses tirages de maillot et ses petites fautes discrètes.11.Mais 1971 c’est aussi le début des ennuis au Burundi et donc pour la famille de Vincent. Et soudain un couvre-feu est mis en place. L’atmosphère au collège devient très tendue : Hutu et Tutsi, deux « clans » se forment et même les pères se sentent mal à l’aise. Et dans la rue où vivent les Marganne, c’est la même chose : les boys ne se parlent plus, se méfient de tout le monde et finalement tous les habitants du quartier décident de descendre

mais tu n’es pas mort, tu as souffert, mais la souffrance ne t’as pas abattu ». Ce refrain explique la situation difficile du pays dès son indépendance en 1962 quand ont éclaté des conflits entre Hutus et Tutsis et qui se sont poursuivit jusqu'à la guerre civile en 1993 ainsi que le génocide des Tutsi au Rwanda en avril 1994. Gaël Faye fait référence à cette guerre civile et au génocide à plusieurs reprises. Par exemple, il mentionne au troisième vers sa « vie naguère avant la guerre » faisant référence

sa vie dans un esprit de vérité. Or, Gaël n’a pas eu le vécu raconté de Gaby, il l’a inventé. Tout comme les personnages qui sont fictifs. En effet, par exemple : En 1992, Gabriel vit au Burundi avec ses parents et sa petite sœur Ana, sa mère, Tutsi, vit en France, depuis qu’elle a fui le Rwanda tandis que son père, français, est entrepreneur. Ils mènent une vie confortable et aisée. Mais Gaël utilise Gaby comme porte-parole, il lui attribut non seulement ses propres émotions, mais également