Type De Lecteur

ordinaires de la poésie. Nous verrons qu’il y a en effet une grande distinction entre ces différents thèmes mais que chacun à son intérêt. Enfin nous comprendrons que le but de la poésie reste le même pour tous les thèmes : il s’agit de réfléchir le lecteur. Deux ensembles s’opposent : les fondamentaux et les ordinaires. Ces deux catégories ont de grandes différences telles que leurs sujets, leurs formes et leurs styles. Le choix des sujets opposent ces deux ensembles. Les fondamentaux choisiront

Barthes : on souligne le problème qui est le fait que dans son analyse a lui, il laisse peut de place à l’analyse du lecteur lui-même. On est capable de déconstruire ces mythes, mais il place le lecteur comme recevant ces idéologies. De certeau quitte la sémiologie pour passer du coté du récepteur. ¨Pour comprendre ce travail qu’il fait autour du récepteur, deux choses : - avant que se développe la communication, la diffusion de la culture se faisait entre une élite sociale. - Après la diffusion

littéraire parmi d’autres, il est apparu en Europe entre le X et le XIIème siècle. La caractéristique première de ce genre d’œuvre est la mise en avant d’un univers imaginaire où évolue une multitude de personnages à a=travers de multiples situations. Ce type d’ouvrage, en règle générale, articule son histoire autour d’un ou plusieurs personnages principaux sur laquelle est basée l’intrigue de l’histoire. Les auteurs spécialisés dans ces œuvres sont appelés romanciers, ils n’hésitent pas à faire de leurs

allons étudier est le début du prologue de Gargantua, roman écrit en 1534 par François Rabelais, humaniste de la Renaissance. Avant d'entamer les aventures du géant Gargantua et de son père Grandgousier, roi des Dipodes, l'auteur s'adresse à son lecteur de façon familière et lui fait comprendre qu'il ne faut pas se laisser tromper par les apparences: malgré son titre et le ton comique, l'œuvre qu'il s'apprête à lire contient une sagesse qu'il lui appartient de savoir repérer entre les lignes. I

quelle mesure les romans peuvent ils offrir aux lecteurs une peinture des êtres humains et de la société de manière à en favoriser la compréhension ? Intro : Le roman est un genre littéraire extrêmement varié qui perdure depuis des siècles. Il se définit comme « une oeuvre littéraire en prose d'une certaine longueur, mêlant le réel et l'imaginaire, et qui, dans sa forme la plus traditionnelle, cherche à susciter l'intérêt, le plaisir du lecteur en racontant le destin d'un héros principal, une

pas un sens unique, l’auteur n’est dons pas tout puissant. - Pour les structuralistes le tissu auquel se réfère le mot texte est décliné en différents sens. Ils regardent le txte par leur structure propre et non par l’auteur. Pour eux, le rôle du lecteur est d’enrichir le texte avec sa propre perception, et ses propres connaissances. - L’auteur est celui qui écrit et le «Je» est l’énonciateur. * Définition de Michaël Riffaterre: - Dans son livre Littérature et réalité, plus précisément dans l’article

antérieurs à l'action. En revanche le prologue n'est pas une préface, il ne s'agit pas d'un point de vu intérieur sur le texte, mais il traduit l'esprit de l'oeuvre. Introduction : Dans le prologue de Gargantua l’auteur vient s’adresser à ses lecteurs de façon cavalière pour leur signifier, en utilisant des figures imagés (les Silènes, l’os à moelle) qu’il ne faut pas se fier aux apparences extérieur d’une oeuvre, sous entendus le titre. Il les invite plutôt à les ouvrir et « soigneusement peser

mythologique aux caractéristiques héroïques, ensuite qu'il se transforme est devenir ordinaire, un reflet de la réalité mais que par ailleurs chaque lecteur choisit aussi sa propre vision du héro. Tout dépendra donc du choix de l'écrivain, comme ici celui de Zola qui opte pour un héro que l'on pourrait croiser dans la rue. Cependant, les opinions de l'auteur et du lecteur peuvent donc différer. N'importe quel personnage ne peut il pas être un héro, du moment que celui-ci est le centre de l'intrigue du récit 

un emprunt non déclaré, mais encore littéral; sous forme encore moins explicite et moins littérale, celle de l'allusion, c'est-à-dire d'un énoncé dont la pleine intelligence suppose la perception d'un rapport entre lui et un autre. [. . .] Le second type est constitué par la relation, généralement moins explicite et plus distante, que, dans l'ensemble formé par une œuvre littéraire, le texte proprement dit entretient avec ce que l'on ne peut guère nommer que son paratexte : titre, sous-titre, intertitres;

: Le lecteur n'accorde-t-il d'intérêt au héros qu'en fonction des épreuves qu'il affronte ? Vous examinerez cette question en vous appuyant sur les romans que vous avez pu lire au cours de votre vie. Le sujet complet de la dissertation Introduction Le cinéma grand public et le roman populaire ont privilégié un type particulier de héros : celui - au sens propre - de l'aventurier : « Il faut que votre héros ait un problème à régler. Plus le problème est gros plus l'intérêt du lecteur est