UBS

faveur de la révolution industrielle entre l’Europe occidentale et le reste du monde. Les signes de ce basculement sont multiples : des fonds souverains chinois CIC et CITIC qui portent secours aux banques occidentales en difficulté, comme CITIGROUP et UBS, au sommet des chefs d’État des BRIC à Ekaterinbourg en juin 2009 et Brasilia en juin 2010, en passant par les sommets du G20 à Washington, Londres et à Pittsburgh qui consacrent l’émergence des nouvelles puissances économiques non occidentales, en

Bildung von Wertberichtigungen auf den durch die Bank eingegangenen Kreditrisiken die Ergebnisse auf unvorhergesehene Art und Weise. Jüngstes Beispiel ist hier die Genfer Kantonalbank. Die Markt- und die Kreditrisiken werden aber beispielsweise durch die UBS «bewusst und aktiv, als integraler Bestandteil der Dienstleistungen, eingegangen» [2]. Die meisten Unternehmungen, seien es börsenkotierte oder auch KMU, versuchen, diese Unberechenbarkeit zu reduzieren und das Bild eines sich stetig verbessernden Unternehmens

es, on que échangent des i nformati vi de sens, réuni ons de on « rêve », pri l ant li viégi ’magi re, ne tenant compte que du dési du soi nai r gnant). - cl ubs i ntra et/ou extra-hospi i talers, comme l atelers d’ es i ergothérapi mobii es, lsant l es affects autour de l créati ou encore l cl sur l quarti à lextéri de lhôpi . a on, es ubs es ers ’ eur ’ tal Il prônent tous léchange (marchandi s ’ ses, l angage, soci ou rel onnel et l travai al ati ) e l thérapeuti est j que ustement de gui et d’nformer

banques dans les pays sont des banques universelles comme en Suisse les trois plus grandes banques UBS Union Bank suitz, Crédit Suisse et un autre. Tableau (1-2) : Domaines d’activités des banques universelles et répartition dans le monde année 1999. Banques universelles | Activités financières ou bien bancaires | Nombres des pays | Deutsche Bank | commerciales, investissement | 50 | UBS Union Bank Of suitz | commerciales, investissement | 40 | Bank of America | commerciales, investissement

géographique qui s'étend de Saint Gall à Genève et qui intègre Bâle .Elle se décompose en deus sous-parties . La première correspond à la Suisse alémanique avec Zurich ( 1,2 million d'âmes) ,métropole commerciale, industrielle ,bancaire et intellectuelle .UBS s'y trouve .Zurich est l'une des places du commerce de l'or en Europe ce qui en fait un paradis fiscal .De son côté Bâle est une ville de commerce comptant de nombreuses banques et des compagnies d'assurances ;s'y tiennent des foires ;y est présente

si le plus gros reste Goldman Sachs, une banque d’affaires américaine) : la française Société Générale (11,9 milliards de dollars), l’allemande Deutsche Bank (11,8 milliards de dollars), la britannique Barclays (8,5 milliards de dollars), la suisse UBS (5 milliards de dollars), la française BNP Paribas (4,9 milliards de dollars), la britannique HSBC (3,5 milliards de dollars) et l’allemande Dresdner Bank (2,6 milliards de dollars). Nous pouvons également préciser que d'autres importants établissements

dépréciations ont dû être enregistrées par les banques au niveau mondial dont 515 milliards pour l’Europe. Sur ce total, les pertes et dépréciations des banques françaises sont évaluées à 64,5 milliards de dollars soit 5 % du total. En Europe, UBS a perdu 18,7 milliards de dollars, le Crédit agricole 4,8, HSBC 3,4, Deutsche Bank 3,1, la Société Générale 3 (indépendamment des conséquences de la fraude qui y a été commise) et Barclays 2,7. Ces pertes ont conduit certaines d'entre elles à se recapitaliser

institutions financières ayant bénéficié de l'apport de capitaux des fonds souverains au début de la crise on peut également citer la Barclays en juillet 2007 (environ 5 milliards), Merrill Lynch (plus de 12 milliards), Morgan Stanley (5,6 milliards) et UBS (12 milliards environ). Cependant, il faut remarquer que pendant la crise actuelle, les prises de participation des fonds souverains dans les entreprises se font plus rares. En effet, le rapport du Monitor Group relève qu’au troisième trimestre 2008

d’investissement et fonds souverains ; compagnies d’assurance et de réassurance islamiques (takaful et re-takaful) ; marchés financiers islamiques et leurs intervenants en courtage et en investissement, telles les banques Citibank, Deutsche Bank, BNP, UBS, HSBC ou encore Morgan Stanley A elles seules, les banques islamiques (hors fonds et compagnies d’assurances takaful et re-takaful) gèrent plus de 500 milliards de dollars d’épargne. Il y a encore 500 milliards de dollars gérés par plus de 500 fonds

Suisse UBS, la banque suisse la plus touchée en Europe par la crise du crédit (avec près de 48 milliards de dollars de pertes et de dépréciations) a bénéficié d’un dispositif de soutien massif de l’État en octobre 2008. Une structure de défaisance, le StabFund, gérée par la Banque nationale suisse, a récupéré jusqu’à 60 milliards de dollars d’actifs risqués et l’État est entré au capital de la banque, à hauteur de 9 %. En effet, la Confédération avait apporté 6 milliards de francs suisses à UBS, 66