Ultraroyaliste

ce fut une suite ininterrompue d'incidents tumultueux.   En 1830, Hugo écrivit en moins de six mois Notre-Dame de Paris, dont le succès fut retentissant. La révolution de juillet 1830 éclate et balaie la monarchie de droit divin. Hugo, jadis ultraroyaliste, ne paraît nullement s'émouvoir. Les affaires politiques l'occupent fort peu à cette époque. Il est avant tout poète. Il publie Les Feuilles d'automne, il fait représenter Marion de Lorme en 1831 et Le Roi s'amuse en 1832. Mais, après la première

DE MAL à appliquer le parlementarisme. !Après la victoire des modérés de septembre 1816 Louis XVIII pourra plus facilement jouer le jeu parlementaire il prend des ministres qui ont la confiance des chambres. Mais en 1820 et 1824, Victoire des ultraroyalistes. Réaction des royalistes qui veulent revenir à la monarchie => fin de la période révolutionnaire, et les nobles qui ont quitté le pays reviennent. Louis XVIII ne peut instaurer son régime plus libéral. En 1824, Louis XVIII le 16 septembre

comte d'Artois devient roi de France sous le nom de Charles X. Chose qu'avait refusée son frère, il est sacré à nouveau dans la tradition monarchique en la cathédrale de Reims mais doit aussi prêter serment à la Charte de 1814. Charles X était un ultraroyaliste et les vingt-cinq années d'exil suite à la Révolution Française avaient renforcé la foi de celui-ci dans les principes, sacrés à ses yeux, de la monarchie d'Ancien Régime. Alors attaché aux conceptions et aux valeurs issues de l'Ancien Régime

d'État et pair de France ; mais ayant, dans La Monarchie selon la Charte, attaqué l'ordonnance du 5 septembre 1816 qui dissout la Chambre introuvable, il est disgracié et perd son poste de ministre d'État. Il se jette dès lors dans l'opposition Ultraroyaliste, et devient l'un des principaux rédacteurs du Conservateur, le plus puissant organe de ce parti. Le meurtre du duc de Berry, en 1820, le rapproche de la cour : il écrit à cette occasion des Mémoires sur la vie et la mort du duc. Il est nommé

historique et politique, qui incarne dans les personnages les forces en présence et donne à comprendre les conflits contemporains. Or, le problème politique principal, selon Stendhal, sous la Restauration, c’est la mainmise des ultras (ou ultraroyalistes) et du « parti prêtre » sur le fonctionnement du pays. Constamment dénoncée par la presse d’opposition et par les libéraux, parmi lesquels Stendhal, elle est omniprésente dans le roman. Elle surgit dès le deuxième chapitre, à propos de l’arrivée

L'absence de perspective politique par la voix légale conduit peu à peu la gauche libéral dans la voix révolutionnaire B) la France ultra Une doctrine et un « parti » La noblesse française veut une vraie monarchie. Ce sont des ultras (ultraroyalistes), dont fait parti l’ancienne ainsi que la nouvelle noblesse Ils veulent un retour à l’ordre, passant par la soumission à l’Eglise Ces ultras sont en contact avec le compte d’Artois, frère de Louis XVI et XVIII, futur Charles X La société

d'État et pair de France ; mais ayant, dans La Monarchie selon la Charte, attaqué l'ordonnance du 5 septembre 1816 qui dissout la Chambre introuvable, il est disgracié et perd son poste de ministre d'État. Il se jette dès lors dans l'opposition Ultraroyaliste, et devient l'un des principaux rédacteurs du Conservateur, le plus puissant organe de ce parti. D'après Pascal Melka, auteur de Victor Hugo, un combat pour les opprimés. Etude de son évolution politique, le Conservateur sera à l'origine du journal

conscientes de l´importance des idées romantiques. Ces classes veulent rompre avec le passé récent et ils veulent un passé classique comme source d´inspiration. Ces gens là sont des ultraroyalistes. Les frères Hugo ont fondé le journal Le Conservateur littéraire et Chateaubriand a fait Le Conservateur. Il était ultraroyaliste. Ce sont des publications au service du trône. Il y a là, un engagement politique des jeunes écrivains ou artistes. Dans les querelles littéraires de l´époque, le journal d´Hugo

uniquement dans un sens pénal, pas de solidarité ministérielle non plus et on notera que les ministres, peuvent être choisi dans les chambres. Contrairement à toute attente il va respecter le jeu parlementaire, nottamment sous l'influence des ultraroyalistes, qui estiment que la politique doit être définis par les parlementaire. Chateaubriant dans un ouvrage très important, de la charte de 1816, les ministères doivent disposer de la majorité et marcher avec elle, sans cela, point de gouvernement.

compétents des délits de presse. Dans le domaine extérieur, le gouvernement cherche à rétablir le prestige international de la France en l'imposant à la tête de la Contre-Révolution. Bien que réticent Villèle est poussé par sa 5/13 majorité ultraroyaliste et par Chateaubriand, ministre des Affaires étrangères, à rompre avec le gouvernement libéral en Espagne, à engager contre lui les troupes françaises et à rétablir Ferdinand VII. Le succès militaire permet à France de retrouver le statut de grande