Un Bon Roman Nous Fait Reflechir Sur Nous Memes

nous lançaient toutes sortes de remarques déplaisantes mais finissaient par se porter à notre secours. Des bras inconnus me soulevaient du sol, me faisaient passer par-dessus les têtes et je me trouvais finalement dans un espace libre. J'attendais un bon moment avant de voir surgir de la fou)e les deux haïks immaculés. La scène se renouvela plusieurs fois durant ce voyage. Nous traversâmes des rues sans nom ni visage particuliers. J'étais attentif aux conseils de mes deux guides, je m'appliquais à me

feuilleton publié dans les quotidiens et le roman de librairie. A la fin de ce siècle, Balzac, Hugo, Dumas et Zola, par exemple, étaient connus du grand nombre. La question est donc de savoir si la littérature peut réellement et directement influencer le dynamisme social. Quels sont les obstacles à son efficacité? Que l'œuvre soit "gratuite" comme le souhaitait Th.Gautier ou engagée, la littérature nous apprend à réfléchir sur notre vie et sur nous-mêmes. Travailler à l'élévation de l'individu, n'est-ce

1ère du Lycée Benoît à L’isle/ Sorgue (84) Objet d'étude : « Le roman et ses personnages : vision de l'homme et du monde » Problématique : En quoi le fléau qui s'abat sur la ville d'Oran est-il révélateur du regard que porte le romancier sur l'homme et le monde ? Textes étudiés en lecture analytique (les références des pages renvoient à l'édition folio n°42) : L.A n°1 : p11/12 du début à « le hasard des cartes. » : le début du roman L.A n°2 : p93/95 de « Au bout de sa longue période » à «Dieu ferait

lasse soit une réussite, elle doit être sous-tendue par la motivation. En tant qu’enseignant nous avons souvent vu des enfants qui obtiennent toujours des notes très basses en rédaction soudain se réveiller face à un sujet qui leur plaît, un sujet qui fait partie de leurs expériences quotidiennes ou pour lequel ils se sentent doués. Il ne sert à rien de demander à un enfant d’écrire si l’enfant n’est pas motivé à le faire. Nous croyons que l’enseignant doit avoir le souci de créer les conditions nécessaires

Sujet : « On ne devrait lire, disait Kafka, que les livres qui vous mordent et qui vous piquent. Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup de poing sur le crâne, à quoi bon lire… Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous » Comment expliquez-vous cette conception de la lecture et de l’œuvre littéraire ? Introduction : La lecture est une activité de compréhension d’informations écrites. Et d’après Kafka, lire, doit en plus donner « un coup de poing sur le crâne »

Georges Louis. Ce jeune homme a, en effet, été confié en nourrice à la naissance. Par souci de répondre à ses besoins et de lui permettre d’avoir une vie meilleure. La maman adoptive, dont mon client a bénéficié, l’a bien mieux traité que ne l’aurait fait sa propre mère, selon ses dires. Toute sa jeunesse…. a été celle d’un enfant normal. Il est incompréhensible, qu’aujourd hui, son enfance, lui serve de bouclier, pour justifier son atroce crime. Si je me tiens à cet instant devant vous, c’est pour

de l’œuvre Cet ouvrage littéraire se nomme « Les choses ». Il fut écrit par Georges Perec (1936-1982), durant le 20e siècle, en 1965, et édité par la maison d’édition nommée « 10/18 ». Grâce à cet ouvrage, il a d’ailleurs reçu le prix Renaudot. Ce roman est l’ouvrage de G.Perec ayant connu le plus grand succès et qui est devenu un classique de la littérature française. II – Les personnagesLes deux personnages principaux de cette histoire sont Jérôme et Sylvie.Sylvie et Jérôme, jeunes psychosociologues

l’Eldorado (contrée utopique où se retrouvent par hasard Candide et son compagnon de voyage, Cacambo), les deux personnages décident de rentrer dans leur pays. Ils font part de leur projet au roi de l’Eldorado qui les aide dans leur entreprise. « Vous faites une sottise, leur dit le roi ; je sais bien que mon pays est peu de chose ; mais, quand on est passablement1 quelque part, il faut y rester ; je n’ai pas assurément le droit de retenir des étrangers ; c’est une tyrannie qui n’est ni dans nos mœurs

Sujet : Pensez-vous que le personnage de roman est toujours porteur des valeurs de son auteur ? Introduction - amorce (citation transition) - définir les termes du sujet/reformuler - amener la question -> y répondre par un plan - annoncer les axes "Madame Bovary, c'est moi." Gustave Flaubert -> adultère sans que le narrateur n'intervienne pour donner un jugement désapprobateur. Le lecteur vit le plaisir d'Emma Bovary. -> Pose le problème des valeurs que porte un personnage et de son

Pourquoi lit-on Madame Bovary ou Da Vinci Code ? À quoi bon se passionner pour des histoires inventées de toutes pièces et pleurer sur le sort de personnages qui n’ont jamais existé ? Le divertissement n’est pas le seul apport de la littérature. Par le détour de la fiction, elle élargit notre expérience et nous offre un autre regard sur le monde et sur nous-mêmes. Le roman se porte bien. Il s’en vend chaque année en France six fois plus que d’ouvrages de sciences humaines (1), sans compter la