Un drame au bord de la mer

inquiet, irritable, facilement rebuté par les difficultés et les devoirs. Après avoir appris chez un curé, à Caen, les éléments des langues anciennes, il lit avidement Robinson Crusoé, et demande à voyager sur la mer. Un de ses oncles, capitaine de navire, qui va à la Martinique, le prend à son bord ; les fatigues de la navigation et le service des manœuvres auquel on l’astreint font bientôt tomber ses illusions. Ramené au Havre et dégoûté de la vie maritime, il est mis au collège des Jésuites de Caen.

bonde veuve d’un riche capitaine de vaisseau, Mme Rosémilly. Le père Roland est un brave homme borné et commun, qui a laissé Paris et son modeste commerce de joaillier pour se consacrer à sa passion de la pêche qui lui fait passer ses journées sur la mer. Sa femme, bien plus fine que lui, douce, tranquille, affectueuse, «une économe bourgeoise un peu sentimentale», est la mère idéale qui ne vit que pour l’affection qu’elle porte à ses enfants. Les deux frères, unis et opposés par «une fraternelle et

les résistances tombent. L'homme sort de sa réserve. Tandis qu'il recherche dans son entourage les soutiens susceptibles de l'aider à supporter le poids du fardeau (chapitre 4), il affronte au chapitre 5 les réalités habituelles qui accompagnent le drame du Sida : La délation, le dénigrement, le regard des autres, surtout ce dernier point : le regard des autres, cette flèche que nombre d'individus ont le génie de savoir décocher sans vergogne ! Tous ces corollaires de la maladie constituent des mélodrames

Guillaume il est temps que tu viennes    Et d'un lyrique pas s'avançaient ceux que j'aime    Parmi lesquels je n'étais pas    Les géants couverts d'algues passaient dans leurs villes    Sous-marines où les tours seules étaient des îles    Et cette mer avec les clartés de ses profondeurs    Coulait sang de mes veines et fait battre mon cœur    Puis sur terre il venait mille peuplades blanches    Dont chaque homme tenait une rose à la main    Et le langage qu'ils inventaient en chemin    Je l'appris

AMOUR TROIS PAGES DU LIVRE D’UN CHASSEUR Je viens de lire dans un fait divers de journal un drame de passion. Il l’a tuée, puis il s’est tué, donc il l’aimait. Qu’importent Il et Elle ? Leur amour seul m’importe ; et il ne m’intéresse point parce qu’il m’attendrit ou parce qu’il m’étonne, ou parce qu’il m’émeut ou parce qu’il me fait songer, mais parce qu’il me rappelle un souvenir de ma jeunesse, un étrange souvenir de chasse où m’est apparu l’Amour comme apparaissaient aux premiers chrétiens des

carnaval de Dammartin, il y a deux ans. L’année suivante, la tante est morte. Sylvie pleure mais le narrateur constate que, grâce à ses talents d’ouvrière, Sylvie a échappé à la condition de paysan où sont encore ses parents. XI.- RETOUR. Arrivés au bord des étangs de Châalis et du cloître, Sylvie évoque « un décor à la Walter Scott ». Le narrateur constate qu’elle a bien lu depuis trois ans. Lui préfère retrouver ses souvenirs dans ce lieu :« Moi, je tâche d’oublier les livres, et ce qui me charme

de dédaigneux et d’embarrassé, qui semblait réunir toute la mauvaise Le sujet de cet extrait est la description de Napoléon. Sa présentation moque d’une part son physique (taille, tête, sourire, regard) et d’autre 2 - Château situé en Suisse au bord du lac Léman 3 - Goethe, Johann Wolfgang von (1749-1832), poète, écrivain et dramaturge allemand 4 - Schiller, Friedrich von (1759-1805), poète et dramaturge allemand - Ce général était le seul à se poser en rival de Bonaparte. grâce d’un parvenu

(Romeo et Juliette à son balcon, etc.) Mais il n’y avait pas de costumes ni de décors, les rôles féminins étaient tenus par des jeunes gens et les spectateurs étaient de divers types et mélangés. Le drame anglais mélangeait la comédie italienne, les mystères médiévaux et la comédie-tragique antique. Ce drame variait très fort entre le mélodrame noir et violent, la comédie obscène et la poésie relevée. Le théâtre élisabéthain s’adapte à un public venant de classes sociales variées : notamment par le mélange

enfance normande Issu d'un famille lorraine, Guy de Maupassant naît le 5 août 1850 en Normandie au château de Miromesnil, près de Dieppe. Ses premières années, Maupassant les passe à Fécamp au sein d’une famille désunie. Entouré de pêcheurs, au bord de la mer, il aime à contempler les voiliers pour lesquels il vouera une grande passion toute sa vie. Il côtoie les pêcheurs et les paysans, dont certains de ses futurs personnages seront inspirés. Son père, Gustave de Maupassant, est un mari infidèle

Les premières pages ont les caractéristiques d’un début in medias res, on ignore qui est le « je » (docteur Amine), on ne sait pas où on est (sortie d’une mosquée à Janine), quand, qui est le cheikh (Imam Marwan), le sort du « je » (mort) et quel drame il se passe (meurtre du cheikh par les israéliens). Cet attentat encadre le récit, c’est un miroir par rapport à l’attentat kamikaze. L’attentat israélien est comme une réponse à l’attentat palestinien→ c’est une anticipation, ça montre une vision