Un éclair de génie

désormais, assure, en bon casuiste, qu’il ne veut point se battre en duel, tout en donnant à Dom Carlos un rendez-vous. L’apparition d’un spectre ne peut vaincre l’obstination de l’incrédule : alors surgit la statue du Commandeur, qui, à la lueur des éclairs, entraîne avec elle Dom Juan dans les abîmes de la terre. Et le pauvre Sganarelle, resté seul, réclame à grands cris ses gages. on peut tout d’abord dire que l’on peut rester dans l’antin,omie entre héros et anti-héros. C’est un héros car, c’est

Clausewitz fonde son raisonnement à partir de trois expériences fondamentales: La révolution française a transformé la nature de la guerre (Guerre Nation); Napoléon, la manière de faire la guerre : (Génie, stratégie); Guerres populaires de défense en Russie ont introduit la réplique à la guerre éclair napoléonienne (déroute de 1812). Grandes lignes de sa pensée : 2 principes fondamentaux guident la pensée de CWV: 1- Il prône la « guerre absolue ». 2- La guerre est une simple continuation de la

indication aux concepteurs concernant les directions à explorer. Une question en résulte : existe-t-il un moyen de vaincre cette inertie psychologique, en abordant l'invention non pas comme une suite fastidieuse d'essais et d'erreurs ponctuée d'"éclairs de génie" hasardeux mais, au contraire, d'une façon méthodique, que l'on puisse apprendre ? ------------------------------------------------- 2. Peut-on apprendre à inventer ? Cette question, un ingénieur militaire soviétique nommé Genrich Altshuller

Soudain de ton climat la chaleur pénétrante Réveille tous mes sens ; sans trouble, sans chaos, Mes pensers plus nombreux accourent à grands flots. Mon idée était triste, aride, dépouillée ; Elle rit, elle sort richement habillée, Et je crois, du génie éprouvant le réveil, Boire dans chaque goutte un rayon du soleil. Vous avez aimé cette œuvre classique, partagez-la ! / Jacques Delille (1738-1813) , le Café Les raisons de ce choix : Dans ce poème , l'écrivain ne s'adresse pas à une personne , mais

d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douleur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair…puis la nuit ! – Fugitive beauté, Dont le regard m’a fait soudain renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimé

avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douleur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair…puis la nuit ! – Fugitive beauté, Dont le regard m’a fait soudain renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être !

avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douleur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair…puis la nuit ! – Fugitive beauté, Dont le regard m’a fait soudain renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être !

d’une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douleur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair…puis la nuit ! – Fugitive beauté, Dont le regard m’a fait soudain renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimé

devienne aussi la source de son malheur ? Cette ardente sensibilité de mon cœur pour la nature et la vie, qui m'inondait de tant de volupté, qui du monde autour de moi faisait un paradis, me devient maintenant un insupportable bourreau, un mauvais génie qui me poursuit en tous lieux. Lorsque autrefois du haut du rocher je contemplais, par delà le fleuve, la fertile vallée jusqu'à la chaîne de ces collines ; que je voyais tout germer et sourdre autour de moi ; que je regardais ces montagnes couvertes

et est centrée sur deux masses d'hommes : un groupe désorganisé de captifs tenus pratiquement à bout portant par les fusils d'un peloton d'exécution posant de façon rigide. Bourreaux et victimes se font face et, selon Kenneth Clark, « dans un éclair de génie Goya a fait se contraster l'attitude féroce des soldats et les lignes d'acier de leurs fusils avec la masse s'écroulant de leurs cibles »[8]. Une lanterne carrée située entre les deux groupes projette une lumière dramatique sur la scène. La zone