Un Homme Avare

didascalies que Molière met en scène Harpagon, un vieux bourgeois obsédé par son argent. Il vient de s’apercevoir que la somme enterré dans son jardin a été dérobée. On sait que l’auteur de ce vol est Flèche, le valet de Cléante, fils d’Harpagon. Le vieil homme est perdu, désorienté . Il ne sait pas a qui s’en prendre .Dans un premier temps Harpagon apparait comme très agité ; le rythme du texte est saccadé (avec des accélérations), des indices traduisent des mouvements de la part de notre personnage et

fataliste.  - Julien de Lamare : Mari de Jeanne. Ils se rencontrent dès lors de l’arrivée de Jeanne aux Peuples et se marient 3 mois après. Ils passent leur voyage de noce en Corse mais à leur retour elle se rend compte très vite que c’est un homme avare et infidèle. - Paul : L’enfant de Jeanne et Julien. Après sa naissance, son père se désintéresse de lui et Jeanne reporte tout l’amour que Julien n’a pas voulu lui donné sur lui, ce qui fait d’elle une mère surprotectrice. Paul devient un tyran

famille riche et un milieu social élevé ; II) ETUDE DE L’INCIPIT L’incipit nous apprends que le récit ce passe au début de la restauration, dans la petite ville provinciale de saumur. Félix Grandet est un tonnelier ayant fait fortune. C’est un homme avare qui cultive sa richesse en faisant croire à son épouse et sa fille qu’ils ne sont pas riches. Ces deux femmes vivent recluses dans la maison familiale, «maison sans soleil, sans chaleur, sans cesse ombragée, mélancolique » Elles vivent n’ayant aucune

une personne de sa hauteur. Puis on constate le second péché qui est la jalousie " Jaloux du respect" qui témoigne de????????????On trouve aussi l'avarice qui reprend le fait qu'il est égoiste " avare au-delà de toute bienséance" renforçant ainsi son comportement contraire aun roi. Toutefois il est aussi avare avec sa maîtresse " il est inconcevable le peut qu'il donnait à la Choin", "quoi qu'il valussent" il ne l'aide financièrement que très peu et en plus il écrit chacune de ses dépenses " il écrivait

œuvre L école des femmes où Horace se confie Arnolphe en ne sachant pas qu il s adresse à son opposant dans la scène 4 de l acte 3 B) La comédie d intrigue - utilisation de procédés comiques comme par exemple le quiproquo ( un malentendu ) ex. L avare de Molière dans la scène 5 de l acte 4 où il y a une incohérence dans le dialogue entre les personnages Harpagon et Valère suite à un malentendu C) La comédie de caractère -utilise le comique de situation: ex. Molière dans son œuvre Tartuffe

tu me possèdes, tu possèderas tout. Mais ta vie m’appartiendra, Dieu l’a voulu ainsi. Désire, et tes désirs seront accomplis. Mais règles tes souhaits sur ta vie. Elle est là. A chaque vouloir je décroîtrai comme tes jours. Me veux-tu ? ». Le jeune homme accepte ce pacte diabolique et repart avec la peau affirmant qu’il veut vivre avec excès. En sortant de la boutique, il tombe sur des amis avec qui il passe la soirée dans un banquet. Après le dîné bien arrosé, il raconte à son ami le pourquoi

frère d'Elise, apprend à Elise qu'il aime quelqu'un, qu'il aime Mariane dont il vante les mérites ! Il voudrait l'aider (grâce à son argent, car elle est pauvre) mais on apprend que la mère des deux jeunes gens est morte et que leur père est très avare. Les rêves de Cléante d'aider son aimée sont donc impossibles.  Elise annonce à demi-mot qu'elle aime, elle aussi...  Scène 3  La Flêche, valet de Cléante, est chassé par Harpagon (l'avare et père de Cléante et Elise) parce qu'il attendait son maître

rencontre le vicomte Julien dont elle tombe profondément amoureuse. Le vicomte demande alors sa main à son père qui accepte. La nuit de noce nous fait découvrir Julien sous un autre aspect celui d’un homme à la sexualité brutale. Ils partent en Corse pour leur voyage de noces et, très vite, Julien se montre avare. De retour à la résidence familiale, la vie de Jeanne est monotone, elle s’ennuie. Julien abandonne le lit conjugal, Jeanne ne le considère plus que comme un étranger. Un soir, elle découvre

qu’il lui dispute âprement. Les scènes où Harpagon apparaît sous les traits d'un sexagénaire amoureux nous surprennent, nous déconcertent, nous gênent L'amour du vieillard donne lieu à quelques scènes de comédie qui seraient les mêmes s'il n'était pas avare, mais l;a gênante rivalité avec son fils éclate dans l'altercation de la scène 5 de l’acte IV où il n'est plus question alors de l’avarice. Pour Gœthe (“_Conversations avec Eckermann_”, 1825), cette scène où «le vice détruit toute la piété qui unit

Adieu les courlis et les cigales ! Je n'ai plus le coeur à rien de gai... Voilà pourquoi, madame, au lieu du joli conte badin que je m'étais promis de vous faire, vous n'aurez encore aujourd'hui qu'une légende mélancolique. Il était une fois un homme qui avait une cervelle d'or ; oui, madame, une cervelle toute en or. Lorsqu'il vint au monde, les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau