Un Homme Et Son Péché

373-374). Pour conclure en disant ce qu’il pense de Tartuffe : « Votre homme, à vrai dire, n’est pas de ce modèle, C’est de fort bonne foi que vous vantez son zèle, Mais par un faux éclat je vous crois ébloui. » (Acte I, scène 5, vers 405-408). Mais seul l’amour de Tartuffe pour Elmire, la femme d’Orgon, peut le démasquer. Il essaie tout de même de la mettre en confiance : « Ah ! Pour être dévot je n’en suis pas moins homme » (Acte III, scène 3, vers 996) mais il jette le masque lorsque Elmire

anti-religieux. II- Une héroïne qui tente de prendre son destin en main a. Parvient à cacher ses sentiments envers le Duc de Nemours. b. Ne cède pas à la passion amoureuse en se retirant dans sa maison de coulommiers. c. Elle avoue qu’elle aime un autre homme à son mari. d. Elle essaie de s’extirper de l’espace anti-religieux de la cour. e. Elle renonce au plaisir et à s’abandonner à sa passion pour le Duc pour rester vertueuse (transition part suivante III c) III- Des choix conditionnés par une vision

Lamartine « le lézard » Sur les ruines de Rome. Un jour, seul dans le Colisée, Ruine de l'orgueil romain, Sur l'herbe de sang arrosée Je m'assis, Tacite à la main. Je lisais les crimes de Rome, Et l'empire à l'encan vendu, Et, pour élever un seul homme, L'univers si bas descendu. Je voyais la plèbe idolâtre, Saluant les triomphateurs, Baigner ses yeux sur le théâtre Dans le sang des gladiateurs. Sur la muraille qui l'incruste, Je recomposais lentement Les lettres du nom de l'Auguste Qui dédia le

sont causes de notre départ. Voilà, Monsieur, tout ce que je puis dire. Done Elvire Vous plaît-il, Dom Juan, nous éclaircir ces beaux mystères ? Dom Juan Madame, à vous dire la vérité... Done Elvire Ah ! que vous savez mal vous défendre pour un homme de cour, et qui doit être accoutumé à ces sortes de choses ! J'ai pitié de vous voir la confusion que vous avez. Que ne vous armez-vous le front d'une noble effronterie ? Que ne me jurez-vous que vous êtes toujours dans les mêmes sentiments pour moi

Le vieillard récuse le droit de Bougainville à la possession du territoire et à l'esclavage. "Nous sommes libres, et voilà que tu as enfoui dans notre terre le titre de notre futur esclavage" p.41    Argumentation Bougainville n'est qu'un homme  "Tu n'es ni un Dieu ni un démon" p.41    Reprise des arguments des occidentaux Je découvre une nouvelle terre = j'en suis possesseur "Parce que tu y as mis le pied !" Réfute par un argument de réciprocité et pose un droit : la terre appartient

Kant commence son argumentation, en évoquant directement la paresse premièrement, qui est la propension à ne rien faire ,une répugnance au travail ou à l’effort. Ce mot qui est tout de même fort sachant qu’il fait référence aux péché , faisant parti des sept péché capitaux dans la religion catholique. Et deuxièmement la lâcheté qui elle, désigne de manière générale le manque de courage, ou de fermeté face à un choix ou une situation qui peux impliquer un danger physique ou autre. Il utilise ces

elle ne l’étouffe pas. Le Sauvage ne causera aucun mal s’il a la possibilité de satisfaire ses besoins vitaux d’une autre manière, il pensera d’abord à sa survie avant celle de ses semblables. Il dépend donc de la nature, l’Homme de la nature est un Homme plastique. Cette condition apparaît donc en toute logique dans les maximes proposées par l’auteur. La première est une maxime de la morale stoïcienne que l’on retrouve également dans le Nouveau Testament : «  Fais à autrui comme tu veux qu’on te fasse »

Les deux frères , Pierre et Jean sont très différents sur le point physique et moral . L'aîné Pierre fut reçu en médecine en tant que docteur et le plus jeune Jean fut souven pris comme exemple grace à sa vie plutôt régulière . Mais la partie de pêche au Havre fut boulversée par la mort de M, Maréchal qui fut de Jean le seul héritier de sa fortune plutot conséquante . Venu sur le port , Pierre croise Jean et le félicite pour sa nouvelle fortune Une anonyme « fille de brasserie » renforce le

Résumer de Pierre et Jean (Chapitre 1 à 4) Une partie de pêche en barque, au large du Havre, réunit Monsieur Roland, Mme Roland et leurs deux fils (Pierre et Jean), qui rivalisent devant la veuve Mme Rosémilly. Le père Roland est un homme bornée, qui a laissé Paris et son modeste commerce de joaillier pour se consacrer à sa passion de la pêche qui lui fait passer ses journée sur la mer. Sa femme est la mère idéale qui ne vit que pour l'affection qu'elle porte à ses enfants. Les deux frères, unis

personnage habile qui fait appel au sacrifice au benefice de la communauté. Chef impérieux, juste. 2 ème partie du discour rupture avec le 1ère partie, on passé de la communauté au personnel. Lion = prédateur. L’hyperbole souligne son pêché. Il s’attaque à un homme ( le berger. Rupture du vers + rejet du berger = gravité de son acte. II. Le Renard. Le Renard est en général représenté comme le personnage rusé dans les fables ou les histoires. Il est hypocrite, car il cherche à obtenir bonne