Un Homme Vertueux Est

dehors de celle de Lorenzo : - les Strozzi : ils représentent une grande famille républicaine. Philippe est l’emblème de la sagesse, mais ses faiblesses encouragent son incapacité à l’action, comme lors de l’emprisonnement de ses fils. C’est un homme vertueux et idéaliste, désarmé lors de sa fille Louise. - les Cibo : Le cardinal et la Marquise désirent faire pression sur la politique des Médicis : la Marquise en devenant la maîtresse du Duc pour l’acheminer vers un nationalisme libéral pour aider

République écrite par Diogène, reprise et appuyée plus tard par un stoïcien de Zénon, s’attaquait à de nombreuses valeurs du monde grec, en admettant entre autre l’anthropophagie, la liberté sexuelle totale, l’indifférence à la sépulture, l’égalité entre homme et femme, la négation du sacré, la remise en cause de la cité et de ses lois, la suppression des armes et de la monnaie. Par ailleurs, Diogène considérait l’amour comme étant absurde : on ne devait s’attacher à personne. b. Le cynisme Le

siècles passés n’aient pas été des travaux inutiles pour les siècles qui succèderont ; que nos neveux, devenant plus instruits, deviennent en même temps plus vertueux et plus heureux, et que nous ne mourions pas sans avoir bien mérité du genre humain. Denis Diderot, Encyclopédie, article « Encyclopédie », 1751 2. Le philosophe, un homme d’action Les autres hommes sont déterminés à agir sans sentir, ni connaître les causes qui les font mouvoir, sans même songer qu’il y en ait. Le philosophe au

(LXXIII). * Le pessimisme de Montesquieu qui ne croit pas que l’homme soit assez vertueux pour que la démocratie puisse perdurer est illustré par l’histoire des Troglodytes. Montesquieu ne croit pas davantage à la félicité amoureuse. Le fait qu’Usbek, un Petits Classiques Larousse -3- Lettres persanes de Montesquieu homme des Lumières, soit incapable e comprendre les femmes de son sérail témoigne de l’aveuglement que tout homme porte en soi. 3- Un humanisme tolérant * C’est ce à quoi nos quatre auteurs

principes de la morale et nous ont arraché l'épithète de vertueux, par la tendresse et l'affection généreuse qu'ils ont eues pour le genre humain. En général, on a beau nous assurer qu'un homme est plein de zèle pour sa Religion ; si nous avons à traiter avec lui, nous nous informons encore de son caractère. « M. ***** a de la religion », dites-vous, mais « a-t-il de la probité ? » Si vous m'eussiez fait entendre d'abord qu'il était honnête-homme, je ne me serais jamais avisé de demander, s'il était

humani mihi alienum puto » (v77) , Je suis un homme et rien de ce qui est humain ne m’est étranger, Le Phormon, Les Adelphes. Térence transforma la comédie populaire en une comédie bourgeoise, ainsi qu’une comédie grossièrement comique en une comédie sentimentale et moraliste. Cette tentative originale n’eut qu’un succès limité sur la société pour laquelle Térence avait écrit. Le peuple, habitué au gros comique, trouvait ce théâtre trop fade et vertueux. Si Térence fut contesté par ses contemporains

du recueil d’inspiration biblique intitulé La légende des siècles, Booz endormi, poème construit en quatrains, est le portrait d’un des personnages du livre de Ruth. La description qu’en fait Victor Hugo est celle d’un agriculteur, vieillard vertueux et homme juste. Il s’agit d’une sorte d’éloge de la vieillesse. Le cadre nocturne apporte une sérénité et un calme en parfait harmonie avec le personnage. Il est intéressant de relever la comparaison présente dans la troisième strophe « sa barbe était

se mesure pas qu’à l’aisance matérielle mais surtout à des satisfactions spirituelles et relationnelles, l’art de vivre ensemble. Il est basé sur le respect de l’autre, la tolérance, l’ouverture, la croyance en les capacités de tout homme, son potentiel. Ainsi un homme faible physiquement ou même mentalement mérite d’être protégé et aidé afin de développer ses autres capacités. C'est pourquoi nous pouvons dire que l'humaniste est à la recherche d'un possible bonheur, en permettant à l'homme de s'accomplir

chercher à imaginer que celui qu’il voit mauvais pourrait être meilleur. Ce qui l’amènera à dire par exemple que la morale s’adresse non pas à la foule, à tous, mais aux mieux doués[5]. Ou, dans le livre VIII, de l’Ethique à Nicomaque que l’homme vertueux doit fuir le méchant, sous peine de risquer la perte de sa vertu : il ne s’agit donc pas ici de chercher à le faire changer, serait-il un ami. En outre, certaines des qualités qu’Aristote suppose être celle de l’homme moral ne peuvent être exercées

les sciences aux non-savants. Emile ZOLA quant à lui, dans sa lettre ‘‘J’accuse’’, prend les armes pour défendre un homme jugé coupable, mais à ses yeux innocents. Cette lettre est destinée au Président de la République de l’époque, Mr FAURE. Afin d’être entendu par ce dirigeant, ZOLA utilise une arme redoutable face à tout homme, et bien plus efficace encore face à un homme de pouvoir : la flatterie. En effet, il explique dans la première phrase de sa lettre qu’il lui écrit pour l’empêcher de