Un Jour Cunégonde

également donné ("furent brûlés, fut pendus"). Enfin, l'ironie passe par la rupture des lignes. En effet, sur un ton très détaché, et comme en passant, avec beaucoup de désinvolture, Voltaire rappelle que tout le cérémonial n'a servi à rien ("le même jour, la terre trembla de nouveau". L'ironie Voltairienne correspond tout à fait à la définition qui la présente comme l'affirmation du contraire de ce que l'on veut faire entendre. Il est donc utile de se demander ce que Voltaire veut faire ici comprendre

Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Cet enseignement, et une jeunesse agréable, font de lui un optimiste un rien naïf. Mais il se trouve brutalement expulsé de ce paradis, après avoir été surpris par le baron en train d'embrasser Cunégonde, sa fille légitime. Les ennuis commencent alors pour Candide. De nombreuses aventures, aussi cruelles qu'exotiques, le conduiront de Buenos Aires à Constantinople, et se chargeront de le ramener à la raison (selon Voltaire) : il finira par revenir

|trouve au rang des serviteurs du baron et se| | | | | | |verra refuser la main de Cunégonde. | | | | | | |la valeur d’un homme est elle relative à son| | |

Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ». Cet enseignement, et une jeunesse agréable, font de lui un optimiste un rien naïf. Mais il se trouve brutalement expulsé de ce paradis, après avoir été surpris par le baron en train d'embrasser Cunégonde, sa fille légitime. Les ennuis commencent alors pour Candide.   De nombreuses aventures, aussi cruelles qu'exotiques, le conduiront de Buenos Aires à Constantinople, et se chargeront de le ramener à la raison (selon Voltaire) : il finira par revenir

retrouvèrent au milieu une grande place souterraine. Cette place, entourée de multiples boutiques à la devanture illuminée comme le jour de Noël, devait être le cœur de la construction car des personnes arrivaient à toute allure de toutes les directions se frôlaient sans se bousculer et disparaissaient. Ce simulacre de danse fit penser Candide à sa douce et tendre Cunégonde dont la grâce qui l’émerveillera toujours la faisait se déplacer comme un petit rat de l’opéra, avec une délicatesse et une légèreté

représentants. De plus, il implique de vrais personnages, à l'image de Cunégonde ou de Pangloss. Cette implication de Voltaire dans son œuvre ,semble révéler son engagement au sein de l'histoire. En effet, Voltaire critique et dénonce ce qui lui semble injuste dans cette œuvre. Comme le dit Michèle Duchet , dans l'Anthropologie et Histoire au siècle des Lumières, « […] histoire des mœurs et de l'esprit des nations, ne prend jour que du côté de la raison et fait de la barbarie le risque suprême des

l'autel de Bâle : Empereur aux pieds du Christ selon le rite de la proskynèse : pour diviniser l’empereur. On retrouve l'empereur Henri II et sa femme Cunégonde. Trésors de la cathédrale de Bamberg : Manteaux du couronnement de Henri II et Cunégonde très précieux ressemblant aux vêtements liturgiques du très haut clergé. Henri II et Cunégonde disparaissent sans héritier. On passe alors à la dynastie Salienne avec : empereur Conrad II + femme Gisèle Henri III + femme Agnès DYNASTIE SALIENNE

mis en avant : la petite terre rapporte. Tout le monde se rend utile sauf P. qui, lui, ne fait rien et qui, lui, est définitivement irrécupérable pour l’action. Transformation des personnages : -Transformation morale par le travail : Cunégonde qui est toujours définie par sa seule beauté finit par se rendre utile. cf opposition de termes : antithèse entre « bien laide » et « excellente ». Répétition de « devint »+ PS soulignent la transformation : toutes les illusions sont tombées

coups de baguettes. B. ? Candide ne pouvait plus supporter le jeûne auquel il était astreint. C. ? Candide ne pouvait plus supporter les images atroces de la guerre. D. ? Candide ne pouvait plus supporter vivre loin de Cunégonde. 10. Qu'est-ce que Candide essaya-t-il de faire un jour de printemps ? A. ? Regagner la France. B. ? Retourner au château. C. ? Déserter l'armée. D. ? Faire la fête. 11. À qui ce roi livra-t-il bataille ? A. ? Au roi de France. B. ? Au roi de Prusse. C. ? Au roi des Arabes

Candide, héros éponyme du conte (=qui a donné son nom à l’œuvre), a était viré du château dans lequel il a passé sont enfance et doit parcourir le monde pour retrouver Cunégonde, sont amante avec qui il a était séparé. Il a fuit les jésuites au Paraguay accompagné de Cacambo qu’il a rencontré là-bas. Ils sont poursuivies et n'en peuvent plus alors, épuisés, ils se laissent porter par le courant d'un fleuve à bord d'un canot