Un Jour Qu Il Faisait Nuit

Cours d’Histoire approfondie des littératures francophones et spécialement de la littérature belge. (M. Klinkenberg et M. Provenzano ) Fiche de lecture |Constant MALVA, La Nuit dans les yeux, Bruxelles, Labor-Nathan, coll. Espace Nord, 1983. | « Une écriture démystificatrice du mythe de la mine ou Constant Malva comme nouvelle figure de proue ? » ANDRÉ Justine 3ème bachelier en langues et littératures françaises et romanes 1. Exposé

La mort n'éblouit pas les yeux des Partisans Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes

de sa vie se nommait Rob. Rob, dix-huit ans était son frère. Jamais sans lui, ils n'étaient tellement proches que cela étonnait leurs parents et leurs amis ! Il était dans le même lycée que Théa. Il était en terminale. Il était comme ça sœur, il faisait craquer les filles. Il était capitaine de l’équipe de football américain de son lycée. Tout le monde le connaissait. Nous étions le 20 juillet, Théa avait seize ans, son frère dix-huit ans et la plus grande de ces deux sœurs en avait vingt-quatre

Comment donc suis-je fou? Attention ! Et observez avec quelle santé, — avec quel calme je puis vous raconter toute l’histoire. Il est impossible de dire comment l’idée entra primitivement dans ma cervelle ; mais, une fois conçue, elle me hanta nuit et jour. D’objet, il n’y en avait pas. La passion n’y était pour rien. J’aimais le vieux bonhomme. Il ne m’avait jamais fait de mal. Il ne m’avait jamais insulté. De son or je n’avais aucune envie. Je crois que c’était son œil ! Oui, c’était cela ! Un

et moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Au terme de sa grossesse, elle mit au monde une fille à la chevelure d'or, une fille aussi belle que lune en plein ciel. On l'appela Jedjiga : Fleur. Chaque jour augmentait sa beauté. Les voisines disaient à sa mère : Certes, belle tu l'es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne. Et la jeune femme, en entendant ses mots, sentait le poignard de la jalousie la transpercer. Elle se dit dans son cœur

inférieure. En effet, ne pas posséder de biens, de belles robes 
 et de bijoux dispendieux mettait les femmes de cette époque à l’écart du groupesocial 
 respecté. Autant les hommes que les femmes de la bourgeoisie, juger les plus indigents 
 faisait partie de leur routine : « Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu’il avait 
 apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait 
 avec l’élégance de la toilette de bal. Elle le sentit et voulut s’enfuir

Commentaire : Victor Hugo, Notre Dame de Paris, livre VIII, chapitre IV, (1831), « Ecoute. Un jour…Je le crus » La beauté du diable 1. Une beauté lumineuse • Adjectifs : « resplendissante », « belle », « splendide », • lumineuse : « « soleil », « or », « métal », « pétillaient », « étoiles », « paillettes », « scintillaient », mille étincelles », « resplendissante figure », le prénom « Esméralda » signifie émeraude en espagnol, pierre précieuse • Insistance sur le noir :

Mardi 5 décembre, nous avons eu le plaisir de recevoir madame Lili Leignel ancienne déportée de la seconde guerre mondiale. Son témoignage fut poignant, nous admirions la sérénité avec laquelle elle nous faisait part de son histoire. Madame Leignel paraissait sereine face aux souvenirs de son enfance très difficile. Elle nous a décrit les conditions dans lesquelles elle vivait, son voyage ainsi que les gens qu’elle rencontra au cours de la déportation des juifs dans les camps de concentration et

et de sa grâce, voilà encore les plus rares joyaux. » Mais elle souriait doucement et répétait : « Que veux-tu ? J'aime ça. C'est mon vice. Je sais bien que tu as raison ; mais on ne se refait pas. J'aurais adoré les bijoux, moi ! » Et elle faisait rouler dans ses doigts les colliers de perles, miroiter les facettes de cristaux taillés, en répétant : « Mais regarde donc comme c'est 4 bien fait. On jurerait du vrai. » Il souriait en déclarant : « Tu as des goûts de Bohémienne. » Quelquefois

beauté et de sa grâce, voilà encore les plus rares joyaux."     Mais elle souriait doucement et répétait: "Que veux-tu? J'aime ça. C'est mon vice. Je sais bien que tu as raison; mais on ne se refait pas. J'aurais adoré les bijoux, moi!"     Et elle faisait rouler dans ses doigts les colliers de perles, miroiter les facettes de cristaux taillés, en répétant: Mais regarde donc comme c'est bien fait. On jurerait du vrai."     Il souriait en déclarant: "Tu as des goûts de Bohémienne."     Quelquefois, le