Un long chemin vers la liberté

randonnée à vélo en liberté allie la rencontre avec les paysages et avec les hommes qui les façonnent. La découverte des Landes de Gascogne en arrière pays du bassin d’Arcachon se fait le long des petites routes forestières reliant les villages du sud Gironde et de la Haute Landes. Signataires de la charte « Ecotourisme », les hébergeurs sauront être bons conseillers pour aiguiser le regard, indiquer les bonnes adresses et les lieux insolites dissimulés dans la forêt et le long des ruisseaux. Circuit

pour lui que le droit n'était pas la bonne voie, ce qui le poussa à entamer des études médicales en 1902. Il obtint son doctorat en médecine à l'université de Heidelberg en 1909. Il enseigna la psychiatrie à cette faculté à partir de 1916, se tourna vers la philosophie et fut titulaire de chaire jusqu'en 1937. Jasper explora les thèmes qu'il avait entamés durant son activité de psychiatre. Il devint un philosophe renommé, respecté et reconnu à travers l'Europe et demeura influent au sein de la communauté

Menton où ils seront en sécurité. Durant le trajet, ils devront être prudents et n’avouer en aucun cas qu’ils sont juifs. Leurs parents arriveront plus tard et par d’autres chemins. Pourvus de musettes ainsi que dix mille francs, Maurice et Joseph se rendent à la gare d’Austerlitz afin de prendre le train pour Dax. Le trajet est long et pénible à cause du manque de boisson et de nourriture. Arrivés à destination, les deux frères constatent avec effroi que deux S.S. s’apprêtent à contrôler leur wagon

une anthologie poétique, composée de cinq poèmes, sur le thème du vent. Vous vous demandez pourquoi ce thème inspire les écrivains et ce qu'il permet d'exprimer ? Ce thème inspire beaucoup de poètes car il permet d'exprimer des sentiments comme la liberté d'où l'expression : (« libre comme l'air ») et de transporter des messages ou d'introduire des thèmes tels que le voyage, l'éphémère, le furtif, le mouvement. Le vent permet aux poètes de parler du temps qui passe et qui est emporté ou de la force

s’ajoute alors à l’arabe « avec sa diglossie, avec son aspect populaire et son aspect littéraire » et aussi au français qu’elle « possédai[t] … comme langue de pensée, et non comme langue d’intériorité et d’affectivité » et qui lui a « apporté la liberté du corps à onze ans » pour constituer « un triangle linguistique » qui définit au mieux le « territoire de l’Algérie ». Assia Djebar déclare que : « Ecrire en français sur ma propre vie, c’était prendre une distance inévitable », cette distance

croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA)[2],[3]. Le mur sépare physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le Rideau de fer. Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut[4] avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Environ 160

entre deux mondes. Pour terminer, nous verrons qu’en définitive, l’allégorie dépasse l’apologue. Dans le premier mouvement du texte, l’auteur nous parle d’une balade le long « des grandes routes ». Balade qu’il effectue peut être lui-même, en quête d’inspiration et qu’il conseille à ses lecteurs. Qui croise-t-il sur son chemin ? Des enfants pauvres à qui il faut donner des « joujoux », des bricoles à « un sol » pour les divertir. Etrangement, là ou le terme « joujou » est attendu, avec toute la

d’Yonville, il est âgé de 34 ans, nous n'avons pas réellement de description physique de ce personnage. Rodolphe est un aristocrate et qui aime les femmes. Il vit une existence profondément égoïste, et ne se soucie pas des gens qu'il blesse le long du chemin. Lorsqu'il rentre pour la première fois en scène (deuxième partie, chapitre 7), il semble être un homme plutôt aisé, riche : « lorsqu'elle aperçut un monsieur vêtu d'une redingote de velours vert, il était ganté de gants jaune ». Rodolphe décide

L’adolescence est une période de la vie extrêmement féconde et intense qui marque plus ou moins durablement de son empreinte l’existence de ceux qui la traversent. Elle est caractérisée par des changements profonds. Elle débouche, au cours d’un travail souvent long et lent, sur la construction d’une personnalité à chaque fois singulière et unique. Mais l’adolescence, c’est aussi l’image culturelle ambivalente que nous avons à travers les reportages, les discours, les expériences ou les témoins. Ainsi le regard

au lieu de suivre le chemin déjà tracé par les normes est forcément itinérante. Elle est une sorte d’aventurière, mais elle ne se départit jamais du souci de soi et de l’autre : 1 FORTIN, Pierre, L’œuvre de soi, Québec, Presses de l’Université du Québec, 2007, 129 p. « quand nous nous préoccupons de déterminer les règles qui doivent guider notre agir, quand nous tentons de traduire l’éthique comme recherche du bonheur et du plaisir, création de soi, expression de la liberté et de la responsabilité