Un monde meilleur

utilisé. TEXTE 2 : Discours du barbier juif à la fin du film "Le Dictateur" (Charlie Chaplin) Je suis désolé, mais je ne veux pas être empereur, ce n'est pas mon affaire. Je ne veux ni conquérir, ni diriger personne. Je voudrais aider tout le monde dans la mesure du possible, juifs, chrétiens, païens, blancs et noirs. Nous voudrions tous nous aider si nous le pouvions, les êtres humains sont ainsi faits. Nous voulons donner le bonheur à notre prochain, pas lui donner le malheur. Nous ne voulons

FAURE François ère​ 1​ S2 TPE : Note synthétique La maison écologique Il y a quelques années les Hommes ont pris conscience que pour créer un monde meilleur, les problèmes n’étaient pas seulement économiques ou sociaux mais aussi environnementaux. Pour rechercher à l’échelle d’un élève de première des solutions à ce nouveau problème, nous avons choisi pour notre T.P.E : La maison écologique. Ce sujet fait partie du thème proposé aux premières S : Avancées scientifique et réalisation technique.

instaurer la paix et le bien de tous par exemple ; plutôt que d’inventer de nouvelles armes encore plus meurtrières. Ainsi, si vous suivez mes conseils : demain grâce à vous nous connaitrons un monde meilleur ! Demain grâce à vous nous connaitrons un monde sans violence ! Demain grâce à vous nous connaitrons un monde de paix ! Demain grâce à vous nous serons heureux !  »

faut effectivement être fou pour s’opposer aux Allemands par les temps qui courent, mais Ludo ne se laisse pas arrêter par la peur et est prêt à tout pour appuyer la France et ainsi apporter son aide pour vaincre les envahisseurs et former un monde meilleur où lui et Lila pourront être heureux. Tout bien considéré, on peut constater que l’espoir est l’arme qui a permis de sauver la raison de vivre des deux hommes, et qui leur a permis de garder une certaine dignité face aux Allemands en refusant

alors la Maçonnerie française, il n’hésite pas à affirmer: «Les hommes ne sont pas distingués essentiellement par la différence des langues qu’ils parlent, des habits qu’ils portent, des pays qu’ils occupent, ni des dignités dont ils sont revêtus. Le monde entier n’est qu’une grande République ... C’est pour faire revivre et répandre ces essentielles maximes prises dans la nature de l’homme que notre société fut d’abord établie». Il avait bien trouvé les mots justes, notre société a bien été établie

Commentaire grand III « Eldorado » Cacambo et Candide sont arrivés dans un monde d’abondance et de luxe. Dans ce pays d’apparence idyllique, tout se trouve agrandi et embelli. Candide et Cacambo décrive l’Eldorado de manière disproportionné, « Le portail était de deux cent vingt pieds de haut et cent vingt de large ». Cette démesure dans les chiffres, montre un pays qui paraît alors pleins extravagances et nourrir cette idée de l’Eldorado comme d’un paradis terrestre. Il utilise ici des hyperboles

Il a sa propre façon de procéder : il se renseigne par lui même (vu, entendu, livres, notes) puis l'imagination et l'intuition font le reste. A la fin des Rougon-Macquart il décide d'écrire dans un climat différent et de décrire un monde meilleur pour ses deux enfants. Zola fut un grand lecteur de Balzac et la « Comédie Humaine » lui inspira l'écriture d'une longue série de romans. Zola et les arts : Zola, après son enfance difficile, est devenu critique d'art et soutien

changerait plus. Il décida alors de lui donner une bonne leçon. Mais avant, il voulut s’entretenir avec Panora. Cet homme avait trouvé grâce aux yeux de Sastro qui l’avait observé depuis l’entre de la Terre. Panora était bon et surtout respectueux du monde environnant. - «  Je viens chercher ton aide afin de sauver toutes les espèces vivantes de la planète! » parvint une voix à l’oreille de Panora. C’était Sastro qui s’adressait à lui. Panora se retourna et demanda: -  Que dois-je faire? - Les

et les autres pour offrir le meilleur de nous-mêmes au service de cet idéal commun. Un idéal, bâti autour d’aspirations simples à la dignité et à la liberté, et qui, il n’y a pas si longtemps, nous avait unis et poussés à nous soulever comme un seul corps. Nous nous devons de le faire pour poursuivre notre marche vers l’avant. De quoi nous sentir accomplis, fiers de pouvoir dire demain à nos enfants que nous nous sommes révoltés pour leur offrir à eux un monde meilleur, plus juste et plus fraternel

contre sa véritable nature : il est un âne. La fin du film peut paraître choquante, mais elle s’inscrit dans la logique de l’histoire et il est difficile d’en imaginer une meilleure. C’est en quelque sorte la libération du personnage, vers un monde meilleur, car tout ce qu’il a connu jusqu’ici ne lui a jamais apporté autant d’enjouement que l’instant qu’il est en train de vivre. Le près est son paradis. Le message transmis par le film, et celui que j’ai perçu, et que même si la société désapprouve