Un Monde Sans Religion Est Il Souhaitable

« La religion est l’opium du peuple » qu’en penser vous ? La religion est une superstructure, c'est-à-dire un groupe d’individus plus ou moins hiérarchisés et organisés autour d’un contrat qui en régit les actes (Union Européenne, URSS, partis politiques, syndicats…). Comme toute superstructure, elle est une « auberge espagnole » : où l’on ne trouve que ce que l’on y apporte. « La religion est l’opium du peuple »nous disais Marx parle-t-on de la foi religieuse ou de l’institution

diversité même, qui a fait que le mal n’a jamais pu prendre assez de racines pour lui enlever entièrement le fruit de ses avantages naturels.» Montesquieu « On est Français parcequ’on ne se laisse pas enfermer dans une race, une origine ou une religion » tels sont les mots de Nicolas Sarkozy à La Chapelle-en-Vercors, promouvant ainsi la diversité culturelle. Si elle a toujours été encouragée, la réalité de la société, française du moins, n’est en aucun cas le reflet de cette politique. En effet

UNE SOCIETE PEUT-ELLE SE PASSER DE RELIGION ? Eléments d'analyse du sujet : - une société n'est pas "les hommes" : tout ce qui concernerait le sens de la religion pour l'individu dans la sphère privée est HORS-SUJET. Une société est une communauté d'hommes reliés entre eux par un vivre ensemble, des coutumes et des pratiques, mais aussi des idées et valeurs communes. -Le sujet porte sur "une société" et non " la société" : cette formulation nous invite à interroger la diversité de ce qui

nous pouvons dire qu’elle a apporté « une hausse du niveau de vie global des populations de la planète ». A l’occident de par la baisse du coût de la vie par l’importation de biens manufacturés profitant des faibles salaires du monde en développement. Dans le « reste du monde » par l’investissement des capitaux occidentaux et l’ouverture aux marchés d’hyperconsommation que sont l’Europe et l’Amérique du Nord aux économies en développement… Comme l’avait prédit Adam Smith, la spécialisation des pays

jouer de”. L’illusion peut être associée à l’imaginaire ou la tromperie, et en ce sens elle diffère de l’erreur. Par définition elle est l’apogée de la fausseté; L’homme se fait des illusions, par sa volonté, son désir de se créer un monde plus beau que la réalité, un monde utopique façonné à l’image de ses rêves. L’illusion réside dans cette volonté de rester dans le faux, ainsi que dans le refus d’une réalité. A l’inverse, l’erreur, n’est pas volontaire, elle survient lorsque nous cherchons une vérité

enseigné la rhétorique (bien parler en public) et la dialectique (défendre une thèse contre un adversaire). Le but étant de développer l’esprit critique et de facilité la rationalité. Grâce à eux, il y a eu une grande évolution des rapports entre la religion, la science et la philosophie, ce qui a fait naître la démocratie. Connaitre les types de définition et être en mesure de bien les distinguer pour les identifier. Définition circulaire (Définir avec des mots de la même famille ou des synonymes)

dans les romans : le sentiment amoureux (‘pour l’amour ils oublient tout’) + le sentiment de sortir d’une genèse, d’arriver après une fin de monde. +p.288 : ‘les ancêtres ne donnent plus de droits, la lignée ne protège plus personne’. pp.288- 293 : Grand modèle = Napoléon : ‘on peut, au seuil d’un siècle voué à la transaction entre l’ancien et le nouveau monde, inscrire ce nom perçu comme une promesse et dont la magie survit à des décennies sans gloire’. ‘(…) ouverture vertigineuse de l’avenir à l’imagination

comme Titus et Bérénice, Roméo et Juliette ou Ulysse et Pénélope, et ce même amour pour autrui semble être même à l’origine des institutions de nos sociétés, à commencer par la religion, comme la chrétienté qui s’appuie sur un amour « pour son prochain ». On peut alors penser qu’aimer autrui est un phénomène naturel, souhaitable, voire nécessaire. Toutefois, comme la remarque de Bernard semble laisser présager, aimer autrui apparaît en même temps impossible et paradoxal. Autrui est opaque et renferme

diversité de peuples et de coutumes, « on trouve partout les mêmes idées de justice et d'honnêteté, partout les mêmes notions de bien et de mal ». La moralité est donc indépendante de toutes les variations culturelles. Elle n'est également pas liée à a religion, puisque les polythéistes sont moraux comme nous, bien qu'ils adorent des Dieux immoraux et méprisables, qui divinisent le vice, la faiblesse et les monstruosités. Cette permanence des idées de bien, de mal et de justice ne peut donc s'expliquer

Nous jouissons, ici au Canada d'une liberté d'expression enviable par rapport à d'autres parties du monde et en comparaison à d'autres époques. Il serait bien de se demander si l'on devrait limiter la liberté d'expression? Non, il ne faut pas limiter la liberté d'opinion et d'expression c'est l'une des premières libertés politiques et plus généralement libertés fondamentales. La liberté d'expression devrait être le plus étendue possible. Les paroles peuvent être dangereuse, mais bien les utiliser