Un Monde Sans Religion Est Il Souhaitable

chez lui une première image du monde auquel il appartient. Au sein des familles qui ont été interrogées deux scénarios se sont présentés. Premier scénario : Les parents ont peur que la différence de culture et parfois des valeurs ne déstructurent l’enfant. Ils choisissent pendant ses premières années de ne lui faire fréquenter qu’un milieu homogène. Seconde scénarios : Dès le départ, les parents organisent pour leur enfant un mode d’existence ouvert sur le monde, soucieux de lui transmettre les

et complexités de l’espace géographique méditerranéen. Il n’est évidemment pas question ici de traiter en détails la géographie de l’espace méditerranéen . Toutefois, pour cadrer notre étude et comprendre certaines problématiques, il parait souhaitable de présenter quelques éléments géographiques qui seront autant d’arguments dans la suite de notre exposé. ▫ Spécificités géographiques de la Méditerranée : Etymologiquement, le terme « Méditerranée » est tiré du latin « mare mediterraneum

de la France, fait qu’aujourd’hui l’évolution européenne montre sans arrêts des distorsions et des contradictions. Autre phénomène, la polarisation qu’exerce les Etats-Unis sur la majorités des états européens empêchent ceci de pouvoir présenter au monde une politique étrangère commune ainsi qu’une politique de défense. Enfin la multiplication des adhésions d’états de plus en plus périphériques aux idées européenne d’origine rend aux yeux des jeunes l’idée d’Europe politique peu crédible et mobilisatrice

une philosophie d’excès. En réalité, il s’agit d’une philosophie d’équilibre fondée sur l’idée que toute action entraine à la fois des effets plaisants, positifs, et des effets amenant à la souffrance. Le sage épicurien donne une harmonie entre un monde matériel, formé d’atomes, et l’esprit. Ainsi, pour Epicure, c’est le plaisir qui constitue le souverain bien : il est « le commencement et la fin d’une vie bienheureuse ». Le bonheur est donc un état de plaisir complet et durable. Or, parmi les plaisirs

le mal, c’est une expérience : « Que le monde est mauvais, c’est là une plainte aussi ancienne que l’histoire et même que la poésie. » (Kant, La religion dans les limites de la simple raison). Le mal se présente sous la forme d’une expérience évidente. Mais il faut aller plus loin. Il se présente d’abord sous la forme du mal subi, du mal commis avant même de dire que le mal est d’abord « ce qui fait mal » (Kant). La question du mal est un défi que le monde lance à la philosophie. Si la philosophie

l’époque) ------------------------------------------------- Faire prévaloir la raison aux sentiments. Selon les stoïciens, on distingue ce qui dépend de nous ( notre vie psychologique, contrôle des sentiments ) & ce qui ne dépend pas de moi (ordre du monde ). A ce nombre, on peut compter la mort, la maladie, revers de fortune. Les stoïciens préconisent d’accepter l’ordre des choses quand on ne peut rien y changer car désirer quoi que ce soit autrement ferait souffrir doublement. * -------------------------------------------------

Le recours par Staline aux symboles de la religion orthodoxe est également révélateur. Ses biographes étrangers l’ont bien compris, lorsqu’ils évoquent la forme liturgique dudit Serment. Elle renvoie aux années passées au séminaire, seule période de sa vie où il ait reçu une formation, et dont l’influence se retrouvera plus tard dans les rituels de confession et de repentir imposés à ses ennemis politiques - et qui ne suffisent jamais : par définition, même pardonné, un péché reste un péché. Réfléchissons

ne serait pas souhaitable en droit français afin de faire coïncider ce concept à la réalité de notre société. Le concept théorique de laïcité Le concept de laïcité n’est pas clairement défini et a fait l’objet de variations au cours de l’histoire. • Qu’est-ce que la laïcité ? Au sens large : il s’agit du refus par l’Etat de toute dépendance à l’égard du religieux, initialement des Eglises et donc d’une séparation de la sphère public (Etat) et privé (la religion). De ce fait

Un monde sans frontière ? Pour beaucoup, l’idée de “frontière” évoque spontanément celle, négative, de “limite”. Les frontières seraient, par définition pourrait-on dire, ce qu’il faut abolir. On oublie souvent alors de préciser de quelles frontières il s’agit : géographiques, politiques, culturelles, … ? Mais cet oubli n’est pas gênant si, comme le pensent certains, toutes les frontières doivent être abolies. Derrière ce généreux principe, on devine aisément le projet — certains diraient l’utopie —

se distinguer et même à se sentir supérieur. Mais ce statut social peut-il satisfaire ? Dans une société où tout le monde pourrait satisfaire ses désirs à tout instant, resterait-il ce plaisir de se comparer et de dominer ? Où le remplacerait-il celui de jouir de ses biens sans les comparer ? Dans tous les cas, il est évident que le luxe apporte un plaisir, qu’il soit souhaitable ou non. Mais il accroit aussi la ‘supériorité’ de certains sur les autres, la jalousie entre les hommes, et ce combat