Un Monde Sans Religion Est Il Souhaitable

et pouvoir d’Etat à la lumière de la nouvelle géo-politique mondiale marquée par un processus de mondialisation et de globalisation accéléré ? Dans quelles conditions cette relation, pouvoir d’Etat et société civile serait elle possible voire souhaitable et souhaitée ? Comment cette articulation entre ces deux termes peut-elle être source de développement social et humain dans un continent où plus de la moitié de la population est durement frappée par la pauvreté et les fléaux de toutes sortes

L'antinationalisme désigne l'opposition au nationalisme, en faisant valoir qu'il n'est pas souhaitable ou dangereux. De nombreux courants de pensée adoptent ce point de vue, pour différentes raisons : les humanistes le prêchent dans un but pacifique, les marxistes pour renforcer l'unité des prolétaires, les islamistes pour unifier leurs coreligionnaires, les anarchistes pour lutter contre l'exploitation capitaliste tandis que certains philosophes voient le nationalisme comme posant problème à l'individualité

Le philosophe Ernest Renan disait « Ce sont les idées qui mènent le Monde ». Qu’est-ce qu’une idée ? Une idée est une construction intellectuelle et se situe dans la conscience. Elle est abstraite et provient de l’observation du concret. Mais de quelles idées parle-t-on ? Des grandes idées ? Des petites ? Dans quels domaines ? Sur le fond, les idées sont importantes mais suffisent-elles à mener le Monde ? Aujourd’hui, nous avons l’impression de vivre sous le diktat des marchés financiers

plus illustre représentant anglais. Son influence s'est exercée sur la création d'un genre littéraire particulier : la description futuriste d'un monde idéal. Le titre de son œuvre la plus célèbre, « Utopie », a fini par devenir un mot de la langue courante; et «utopique» se dit souvent d'un projet idéaliste dont la réalisation serait très souhaitable, mais qui est complètement irréaliste et impraticable. Dans le domaine de la politique, les libéraux comme les socialistes attribuent à Thomas More

impossible de pouvoir définir le bonheur de tous puisqu’il est personnel. Dans ce sens Kant voit le bonheur collectif comme un despotisme comme il l’explique dans son livre la doctrine du droit. Effectivement le bonheur de tous voudrait dire que tout le monde aspire au même espoir, au même envie ce qui est faux. Personne ne veut exactement la même chose que son voisin. Ainsi comme l’explique Kant tout les être vivant tendent vers la recherche du bonheur et aussi que ce bonheur est un idéal de l’imagination

un prince charmant viendra l’enlever : manque de réalisme. Pour conclure, l’illusion est donc un leurre, une tromperie dont nous sommes les victimes. 4) Beaucoup de philosophes s’attachent à défendre l’illusion. Ils prétendent qu’il n’est ni souhaitable, ni possible de perdre ses illusions. Ils la considèrent indispensable au bon fonctionnement de l’existence et de la vie. Sans illusion, ils estiment la vie insupportable. Se libérer de ses illusions mène à plus de liberté car elle signifie plus

intentions de l’auteur L’utopie est définie par un monde idéal, heureux qui n’existe pas. C’est donc un récit fictionnel qui obéit à des règles précises. Son action se situe dans un lieu clos sur lui-même et isolé du monde. Cette clôture du lieu permet de mettre en scène un monde autonome qui, privé du contact avec notre monde, a développé sa propre organisation, ses propres valeurs et ses propres règles. C’est un monde simplifié qui imite le monde réel mais en réinventant ses règles de fonctionnement

Dès le plus jeune âge, chaque personne a sa façon de penser, ses jugements personnels, ses points de vue. Et ceux-ci paraissent à chacun comme incontestablement des plus justes. L’opinion est basée sur la culture, la religion, l’expérience et bien d’autres critères. Une autre des valeurs qui nous est inculquée dès l’enfance est le respect : le respect d’autrui ; ne pas déroger à une règle ou faire ce qu’il convient en toute situation. Mais faut-il respecter toutes les opinions ? Toutes les opinions

mythe : Prométhée, le premier, permet à l’Homme de progresser en lui donnant le feu. Dès lors, le mythe suggère une forme de foi en le progrès car il est directement lié à la mythologie. Dans le Marxisme, on retrouve également cette idée de religion. Quelle religion ? La lutte des classes qui symbolise la lutte entre le bien et le mal. L’eschatologie (« ensemble de doctrines et de croyances portant sur les fins ultimes de l'homme et de l'Univers ») défend aussi cette idée de croyance au progrès. Cette

possible de comparer le progrès à un mythe car dans la mythologie c’est Prométhée qui a permis aux Hommes de progresser en leur donnant le feu. Ce mythe suggère une forme de foi en le progrès. Dans le Marxisme, on retrouve également cette idée de religion, dans la lutte des classes qui symbolise un combat entre le bien et le mal. Et l’état d’abondance issu de la victoire du bien sur le mal évoque le paradis terrestre. Enfin, le jugement dernier qui nous attend est en mesure de nous évaluer concernant