Un roi sans divertissement

[un] accompagné de toutes les satisfactions qui peuvent le toucher. S'il est sans divertissement et qu'on le laisse considérer et faire réflexion sur ce qu'il est, cette félicité languissante ne le soutiendra point. Il tombera par nécessité dans les vues qui le menacent des révoltes qui peuvent arriver et enfin de la mort et des maladies, qui sont inévitables. de sorte qu'il est sans ce qu'on appelle divertissement, le voilà malheureux et plus malheureux que le moindre de ses sujets qui joue et qui

objet de divertissement. Le théâtre désigne a la fois l’art de la représentation dramatique, un genre littéraire particulier et le bâtiment dans lequel se déroulent les spectacles de théâtre. Il est divertissement textuel, spectacle, mais aussi un lieu de divertissement. La notion de divertissement est complexe et mérite d’être définie : * Elle implique l’idée d’amusement agréable, procurant du plaisir ; le divertissement peut se définir comme loisir * Etymologiquement divertissement vient

Henri second » : fin XVIe * Lieu : « France », à la cour (l.2) * Personnages : « ce prince » (l.3), « Diane de Poitiers » (l.4). Le personnage du roi est au centre de la cour. * Activités de la cour : « divertissement » (l.11), « cercle de la reine » (l.30). Activités du roi (l.9 => l.14) (L.4, 17, 22…) « La duchesse de Valentinois », « Le roi », « La reine » => cette présentation est en décalage avec le titre : la Princesse n’apparaît pas. Cela nous donne un axe très important : « La

Texte 16 : Un Roi Sans Divertissement (folio page 243-245) Situation : fin du roman : déconcertante, elle éclaire une future relecture. Texte divisé en deux longues tirades d’Anselmie qui parle à ses vieillards puis c’est le narrateur principal qui parle (reprise en main de l’auteur). Problématique : Virtuosité exceptionnel du dénouement ? On l’étudiera en deux parties. I. Tirade d’Anselmie : un récit oral. - Un certain nombre de contraction de mot comme « J’y ai » à la place

une véritable visée argumentative et didactique. Lecture Annonce des axes Etude I - ELOGE DU THEÂTRE 1 - Honneur et grandeur du théâtre - Lexique appréciatif - Allusion à des personnages antiques 2 - Divertissement universel - Champ lexical du divertissement - Parallélisme (vers 1787) 3 - Métier respectable - comparatif de supériorité - le théâtre est regardé par des grands hommes Transition : Pendant l’éloge du théâtre, Alcandre ne perd pas de vue son objectif :

de tout ce mouvement qui cache à l'homme ses faiblesses. En apparence le roi est celui qui bénéficie d'un statut et d'une vie, que chacun de ses sujets convoite. Néanmoins, sa charge est telle que sans divertissement pour fuir toutes ses préoccupations, comme les révoltes, comme la mort et les maladies, il deviendrait le plus faible et le plus malheureux des hommes : « De sorte que s'il est sans ce qu'on appelle divertissement, le voilà malheureux, et le plus malheureux que le moindre de ses sujets

ses études et devient commis de banque. Inspiré par son imagination il se met à écrire. Son roman Un Roi sans divertissement dépeint la condition de l’Homme dans le monde face aux questions morales et métaphysiques. D’après Giono, l’Homme a profondément besoin de se divertir pour ne pas faire face à sa destinée (mort). Son œuvre romanesque possède une portée universelle. Un Roi sans divertissement relate une série de faits divers dans un petit village. Sur trois hivers, des disparitions inexpliquées

Afin de répondre au mieux à cette problématique, nous commencerons par démontrer de quelle manière Louis XIV s'est servi Versailles afin de construire et d'affirmer son image de monarque absolu dès le début de son règne. Puis, nous verrons comment le roi, en s'installant avec la cour et le gouvernement, a utilisé Versailles pour établir son pouvoir royal. Louis XIII, en 1623, fait construire son pavillon de chasse proche de Paris. A sa mort, son fils et sucesseur, Louis XIV, en hérite, il y manifeste

titre original de l’œuvre est « Endgame » qui est le signe de la fin d’une partie d’échecs. En effet, à ce moment, la Roi est bloqué et aucun autre mouvement ne peut être effectué à part le sacrifice. Premièrement, l’attitude des personnages dans Fin de Partie peut faire penser à une partie d’échecs. En effet, Hamm, assis dans son fauteuil à roulettes, peut être comparé au Roi. On peut comparer Clov à un pion qui exécute les ordres de son maître, qui n’est d’autre que Hamm. Enfin Nagg et Nell

par ses ennemis plus que par ses amis car la faiblesse de l'homme paraît bien davantage en ceux qui ne la connaissent pas qu'en ceux qui la connaissent. » (Fragment 31) « Qui ne voit pas la vanité du monde est bien vain lui-même. [...] Ôtez leur divertissement, vous les verrez sécher d'ennui. Ils sentent alors leur néant sans le connaitre, car c'est bien être malheureux que d'être dans une tristesse insupportable aussitôt qu'on est réduit à se considérer, et à n'en être point diverti. » (Fragment 33)