Un roi sans divertissement

PASCAL, Pensées, « Divertissement » « Vanité des vanités et tout n’est que vanité » dit l’ecclésiaste. L’homme étant mortel, toutes ses œuvres et tous ses travaux sont vains et pourtant il ne se lasse pas de s’y adonner. Tel est le constat pessimiste que dresse Pascal dans ses Pensées, consacrées ici au divertissement. Par « divertissement », Pascal ne désigne pas seulement les loisirs mais l’ensemble des occupations qui nous détournent de la pensée de la mort. L’homme sans le recours de la foi

bourgeoise, tapissières du roi Louis XIV (Roi Soleil). Etant très jeune il commence à s’intéresser beaucoup aux farces qu’on pouvait apprécier dans les marches où ses parents travaillent ou dans les foires. Ces farces étant majoritairement très Triviales , l’inspirent beaucoup dans ses œuvres. Faisant de lui un très bon écrivain, acteur et metteur en scène. Mais avant ça, il suit son héritage et devient lui aussi a son tour tapissier du Roi Soleil. Mais pour le

de la France et continue à l’écrire. Résumé de l’ouvrage : La naissance du château et des jardins Louis XIII, roi modeste, occupe son temps libre à la chasse. Le pavillon de Versailles, qu’il fait ériger en 1623, est un petit pied à terre de 25 mètres sur 27. Il est bâti au milieu d’un vallon venteux, entouré d’eau stagnante. Le lieu exclut les femmes, il sert de retraite au Roi, quelques aménagements sont entrepris, un jardin en liberté surveillée et un bassin sont notamment construits. Son

Milady. Texte 2: Victor Hugo, Les Misérables (1862). Cinquième partie, Livre 5, chapitre 15, la mort de Gavroche. Texte 3: Miguel de Cervantes, Don Quichotte, (1615), Chap.LXXIV, partie II, la mort de Don Quichotte. Texte 4: Jean Giono, Un roi sans divertissement (1947), chapitre, la mort de Langlois. Texte 5: Boris Vian, L’Ecume des Jours (1947), Chapitre LXVIII, la mort de la souris. Texte 1, la mort de Milady. Un genre : le roman d’aventures Ce genre est caractérisé par la répartition des

d’ordure ! » Peut-on souscrire à cette exclamation ? → Analyse du sujet / ici de la citation - d’abord la situer dans les Pensées / fin de la partie au programme / de la liasse intitulée « Divertissement » (fragment 129) d’où une exclamation étroitement liée à la notion de « divertissement », c’est-à-dire à la fuite de sa condition dans des occupations vaines, superficielles, détournant l’homme de l’essentiel → lien avec la notion de vacuité –cœur « creux »- et donc de vanité - liasse

Molière, passionné par le théâtre dès sa jeunesse, est un acteur, un dramaturge, un directeur de troupe et un metteur en scène, ce qui fait de lui un « homme de théâtre complet ». Il est soutenu par le frère du Roi Louis XIV (appelé Monsieur). Molière a donc un mescène, c'est-à-dire une aide financière et morale afin de représenter ses pièces de théâtre. Ce qui ne l’empêchera pas d’être confronté à des cabales, autrement dit des personnes qui critiquent pour censurer ses pièces. Molière a créé

qui vaut à Corneille une pension de Richelieu), précède immédiatement Le Cid (1636-1637), pièce suivie de la fameuse Querelle du Cid où interviendra la jeune Académie française. 1636 est une année cruciale. L’Illusion, perçue d’abord comme un divertissement, obtient aussitôt le succès Si l’on s’en tient maintenant à l’acte II, scène 2, Matamore, à plusieurs reprises provoqué par Clindor, se fait le maître du monde, à la fois fort et juste, puis, dérangé par un bruit extérieur, il se dégrise et «

héros, se dénoue également une histoire collective. L’auteur nous transmet dans sa conclusion une vision réaliste de la vie sociale de son époque, et sa conception particulière de la vie et de l’homme. Enfin, des romans comme La Peste, Un roi sans divertissement, découvrent même, y compris dans l’épilogue, une explication philosophique de la condition humaine. La dernière page d’un roman apporte d’abord, tout naturellement, un dénouement à l’histoire. L’extrait de La Peste de Camus le montre

il le formule ainsi : « Si notre condition était véritablement heureuse il ne faudrait pas nous divertir d’y penser. » La structure logique de la phrase tend à prouver que l’hypothèse de départ est fausse : un homme heureux ne recherche pas le divertissement. Dans le fragment 126, Pascal explique la cause du malheur des hommes : « quand j’ai pensé de plus près et qu’après avoir trouvé la cause de tous nos malheurs, j’ai voulu en découvrir les raisons, j’ai trouvé qu’il y en a une bien effective, qui

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Spleen Je suis comme le roid’un pays pluvieux’’ poème de Charles BAUDELAIRE dans ‘’Les fleurs du mal’’ (1857) Je suis comme le roi d'un pays pluvieux, Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très vieux, Qui, de ses précepteurs méprisant les courbettes, S'ennuie avec ses chiens comme avec d'autres bêtes. Rien ne peut l'égayer, ni gibier, ni faucon, Ni son peuple mourant en face du balcon. Du bouffon