Un Secret Le Schéma Narratif

vieux bateau et la petite vache continua à les nourrir tous les trois de son bon lait. D’après   Thomas Baas et  Ronan Badela) Au moyen de traits verticaux, délimite les différentes étapes du schéma narratif.b) Mets un numéro en face de chaque étape qui correspond à un nouveau paragraphe.SynthèseOn passe d’un paragraphe à un autre quand :-…………………………………………………………………………………………………………………………………-………………………………………………………………………………………………………………………………….-…………………………………………………………………………………………………………………………………

qu’apercevoir : Et pourtant, cinquante mètres avant de la croiser, je savais déjà. Je savais qu’elle était la fille cent pour cent parfaite pour moi1. Le destin nous semble avoir réuni deux êtres complémentaires (aléas du destin, pareille rencontre, doux secret, machinerie ancienne datant d’une époque où le monde vivait en paix2). Cependant, il devient évident que cette passion, aussi vraie et belle soit-elle, ne restera qu’illusoire; on sent que le personnage principal désire retenir celle qu’il aime,

l'écriture, au message implicite, notamment. Ce qui suppose donc un dispositif narratif dépourvu de complexité. Trois traits solidaires paraissent ainsi caractériser les livres pour enfants : • ils racontent « une histoire » • le récit est focalisé sur un enfant-héros permettant l’identification ; l’enfant –héros peut être multiple : un groupe placé sous l’égide d’un leader. • le dispositif narratif est relativement simple peu de retours en arrière, de fractionnement de l’intrigue

Les fourmis, Edition Albin Michel S.A. ; 1991 3/L’HISTOIRE DE LA NOUVELLE Schéma narratif : Pages 9 à 21 : situation initiale : *Héritage de l’appartement d’Edmond Wells par Jonathan Wells et sa famille/Recherches de Jonathan sur son oncle défunt. *Réveil de la cité Bel-O-Kan et de la fourmi rousse 327° Mâle (327° mâle pondu depuis l’automne). Pages 21 à 57 : élément perturbateur : *Découverte lors d’une visite chez sa grand-mère Augusta d’un message posthume d’Edmond destiné à Jonathan

Etudier le début du roman. Lecture des pages 7 à 11 à haute voix + échange oral. Chapitre 1, pages 7 à 11 (« …manières parfaites ! ») I. Un récit 1°) Un récit est un texte qui raconte une histoire ou des évènements : on dit aussi que c’est un texte narratif. En effet, le verbe « narrer » signifie raconter. f2°) L’auteur est la personne réelle qui a imaginé l’histoire et qui a écrit le livre. Ici, il s’appelle Anthony Horowitz et il est Anglais. f3°) Le narrateur est celui ou celle qui raconte l’histoire :

points de vue. - L’expression de la peur, créa- tion d’un effet d’attente. - Outils de la langue : relever le champ lexical des oiseaux (dans le chapitre 1 et dans tout le roman). - Improviser une scène dans laquelle deux personnages évoquent un secret sans jamais le dévoiler. L’un des deux met l’autre en garde contre un danger. - Improviser une scène dans laquelle un personnage est paniqué par une chose mysté- rieuse qu’il veut cacher. Si les définitions ne suffisent pas à retrouver les mots, les

illustrations et de la relation texte-image 1. Logique de regroupement des ouvrages Les illustrations peuvent-elles être considérées comme des procédés narratifs ? A partir d’un « texte-noyau » (Chez elle ou chez Elle), 4 autres albums sont convoqués et mis en relation. Il va s’agir, peu à peu, d’identifier les singularités des procédés narratifs utilisés par l’illustration et faisant obstacle à une compréhension immédiate ou à l’interprétation du récit. Plus généralement, à travers les activités

: la disposition est très différente parce que la fonction des deux textes n’est pas du tout la même. Le récit (texte 1) a été écrit pour être lu, et les informations qu’il transmet passent par la médiation d’un narrateur. Contrairement au texte narratif, le texte théâtral (texte 2) est destiné à être joué, représenté directement par des acteurs, sans narrateur. Tout doit donc être dit et joué directement par les personnages. Et pour faciliter le passage du texte à la représentation, l’auteur donne

travailler sur des groupements de textes en vue de dégager des thématiques ou des problématiques communes. Le livre offre, parallèlement, à l’élève l’occasion d’interpréter des messages non verbalisés pour retirer l’information qui y est contenue (image, schémas, graphiques…), information redondante ou non par rapport au texte support. Les pages «point de langue» sont constituées autour d’un minimum : il appartient au professeur de les développer en fonction de la demande des élèves. Le guide du professeur

sans raison, que la création littéraire pouvait constituer un substitut d’analyse, une sorte de cure sauvage, ce que Michaux semble confirmer ici. 2 Réalité et fiction Ce texte relève du type narratif. On identifie aisément la présence de deux personnages, celui du Poète et sa cousine ; un schéma narratif minimal : une « offense » lavée « par une volée de gifles » ; les temps du récit : passé simple, plus-que-parfait, imparfait. On voit que nous sommes loin de ce courant qui, depuis Mallarmé, semble