Une Action Doit Elle Desinteresse Pour Etre Morale

Philosophie Sujet : Un acte moral est-il nécessairement désintéressé ? Introduction : On dit d'ordinaire d'une personne honnête qu'elle est désintéressée, tandis qu'une personne intéressée est jugée égoïste et sournoise. Au sens philosophique du terme, un intérêt est ce qui est utile à un individu, à un groupe ou à l'humanité toute entière. Le désintérêt, ici, serait donc, lors d'une action, l'abandon de la recherche d'avantages personnels. Pour Sénèque, le bienfaiteur doit agir de manière désintéressée

qui peut nous profiter et ceci peut poser un problème moral. Est-ce que l'intérêt en effet peut être une valeur morale ? L'homme est un être de désirs et de passions, qui accorde sa préférence à lui-même plutôt qu'à autrui. C'est pourquoi il agit toujours de manière intéressée. Même s'il accomplit une bonne action, c'est dans l'espoir d'un certain gain. Mais, s'il est utile pour chacun de nous et pour les autres, d'agir conformément à la morale, il ne s'ensuit pas que l'on n'agisse que par intérêt

conscience ? La bonne conscience est un sentiment bien connu mais complexe qui offre une sensation de satisfaction lorsque nous n’avons rien à nous reprocher ou lorsque l’on a achevé un devoir. Ce sentiment est donc indissociable de la morale et de la conscience morale, cette faculté nous permettant de juger les comportements et les faits ainsi que de différencier le bien du mal. Nous en venons donc à nous demander quels sont les mécanismes qui permettent le sentiment de bonne conscience. On se demandera

contrainte s’impose à l’homme.On peut distinguer deux types de devoir : civique et moraux.Devoir moraux : idée de se conforte en conformité avec une moralDevoir civique et morale peuvent parfois rentrer en contradiction.Suffit-il de faire son devoir moral pour être morale ?a) Agir conformément à la morale ne suffit pas à garantir la moralité de l’hommeKant, il montre qu’il faut distinguer entre être moral (faire son

publié en 1863 en livre. (p.1). La philosophie morale utilitariste : Essai sur Bentham publié en 1838 par Mill. Jeremy Bentham fondateur de la doctrine utilitariste. Utilitarisme en plus d’être une philosophie morale était un vaste mouvement intellectuel, politique et social dont Mill fut la figure de proue. Attention à la vision caricaturale de l’utilitarisme en l’associant à instrumental ou utilitaire. But de l’utilitarisme : « naturaliser la morale » (p.5), traiter des questions éthiques de manière

Le Droit et la Morale Introduction : On nous demande ici de nous interroger sur les rapports qu’entretiennent les notions de Droit et de Morale. Il semble alors nécessaire de s’attacher à la relation qui rapproche ou éloigne ces deux notions. Le droit peut tout d’abord se définir au sens large comme étant l’ensemble des règles qui ordonnent la vie de groupes humains en société. Il s’exprime le plus souvent dans des injonctions, ou des interdictions, provenant d’une autorité reconnue par

La liberté Bonheur Justice et loi Introduction : Ex : « Etre à l’air libre. » Sans obstacle Sans contrainte Dans un autre sens du mot liberté ; cette expression ne veut rien dire. Cet autre sens : la liberté c’est de choisir. I. L’homme choisit il ? A .Descartes : Le libre arbitre. Capacité de choisir. Descartes est un philosophe du 17ème siècle. Les phénomènes naturels ne sont pas libre (ils ne proviennent pas d’un choix).

Exercices de Philosophie Emmanuel Kant, Qu'est-ce que les Lumières ? (1784) 1) Définition « minorité/majorité » ? → Être mineur, c'est être incapable de se servir de son propre entendement sans la direction de l'autre. Le mineur ne fournit pas d'efforts : il est guider par les autres (ex de l'extrait : un médecin qui lui quel régime suivre, un directeur de conscience qui a conscience à sa place,...). Le mineur est en quelque sorte dépendant d'une tutelle. Lorsqu'il veut s'en défaire, cette dernière

te prouver que la bienfaisance est une pratique désirable en soi) l'étranger qui tout à l'heure s'en est venu atterrir dans notre port et qui doit tout de suite repartir reçoit notre assistance : à l'inconnu qui a fait naufrage nous donnons, pour qu'il soit rapatrié, un navire tout équipé. Il part, connaissant à peine l'auteur de son salut : comme il ne doit jamais plus revenir à portée de nos regards il transfère sa dette aux dieux mêmes et il leur demande dans sa prière de reconnaître à sa place

des sociétés humaines. Le point de départ de l’humanité, c’est la cellule familiale. La première manière qu’a eue la population humaine pour progresser était l’extension de la famille. Pour l’auteur, cela ne suffit pas à constituer une société car il doit y avoir des liens autres que familiaux à l’intérieur de celle-ci. Dans les sociétés primitives, il y avait des familles qui s’agrandissaient de l’intérieur. Pour qu’une société réelle existe, il faut favoriser l’union entre famille différente. C’est