Une Charogne Alliteration

et de bouleverser notre regard sur le monde. Chaque poète à sa façon d’analyser les choses, l’un pourrait retranscrire la beauté en utilisant des noms plus atypiques afin de la décrire. Par exemple dans le poème « La Charogne », Baudelaire qualifie la femme qu’il décrit de Charogne tandis que d’autres poètes se contenteraient de comparer une femme à une fleur ou des éléments tout aussi poétiques. Dans le poème « Vénus d’Anadyomène » appartenant au recueil Les Cahiers de Douai, Rimbaud utilise la

et fascinante, qui se déploie à la limite entre rêve et cauchemar. 3. La femme, souveraine diabolique Le pouvoir de la femme-vampire n’est pas que charnel : elle détient des savoirs mystérieux dont elle se vante (vers 5-6 : allitération en [s] et diérèses). Une puissance telle qu’elle aboutit au sacrilège (vers 15-16) souligné par l’hypallage (vers 15, ce sont en réalité les hommes "qui se pâment d'effroi") : dotée d’un savoir mortifère, la femme prend des allures sataniques.

      par sa forme !      et par le traitement du thème de l'amour. par sa forme : exubérance et virtuosité ostentatoires dans un texte solidement structuré. ∃          le jeu d'échos sur la paronomase et les sonorités en assonances ou en allitérations qui va jusqu'à l'anagramme (armes/larme = amers) complication à l'infini, Marbeuf exploite avec virtuosité toutes les potentialités sonores et sémantiques ∃          le jeu de comparaison entre la mer et l'amour (relever les mots à double sens

vision personnelle pour atteindre avec des mots un univers caché : Gaspard de la Nuit (1842) : vision magique du clocher → usage de sonorités : impriment un rythme poétique et une musicalité Ex : F. Ponge : allitération en S pour faire surgir et bouger «  la masse amorphe » du pain → texte clos qui fonctionne de façon autonome 2) Le poète a) Définition : → artiste ayant 1 connaissances aigue et profonde des hommes et du monde → artiste

Sybille Rembard poéte contenporaine s'en inspirera dans son poéme La Date. D'autre part, pour certains la mort est à un tel point inspirante qu'ils en viennent même a la subblimer c'est ce que fait Baudelaire poétes romantique dans son poéme Charogne où il embellit la mort. La mort qui est une expérience très personnelle mais qui touche chacun de nous, inspire beaucoup les poètes.e Enfin, la douleur du temps qui passe, est également une source d'inspiration. Les regrets , la

Les Fleurs du Mal (3) - Baudelaire « L’albatros »Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, héritier du romantisme, un temps Parnassien, instigateur du symbolisme, publie Les Fleurs du Mal en 1857. Il y remet au goût du jour la forme du sonnet, tandis qu'il popularise le poème en prose dans Le Spleen de Paris . Le poème « L'Albatros » suit le prologue « Au lecteur » et le poème liminaire « Bénédiction » qui introduit la section

violence. v.8-9  amplification encore dans le contraste saisissant entre l’hyperbole « mille » et la négation restrictive « ne…que ». On passe de la profusion de la vie (« mille maisons ») à la destruction et à la mort (accumulation « feux », « charognes », « morts », « visages affreux »). La violence a toutes les apparences  v.10 « la faim » est une figure allégorique de la misère, compagne dans la guerre et que l’on suit. Violence physique dans les synecdoques des parties du corps (v.13,14,16

I-la question sur le corpus: Ce corpus contiens quatre poèmes : « un sonnet pour Marie » de Pierre de Ronsard, « tandis que pour lutter avec ta chevelure » de Luis de Gongora y Argote, « Une charogne » de Charles Baudelaire et « si tu t'imagines »de Raymond Queneau, complétés d'une chanson de Tété ,les quartes poésies font passé un message assez claire :profiter de la vie avant que celle ci ne touche à sa fin .Ici , les poètes s'adressent tous a une a femme , et ils la convie à s'épanouir de sa

Ici l'ajout du cristal donne à la couleur du ciel grise une autre vision que celle d'un ciel triste. L’image poétique va devenir, à partir du Romantisme et jusqu’au Surréalisme, la composante essentielle du langage poétique. Il utilise aussi des allitérations comme dans le vers d'Andromaque de Racine :«Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes», on retrouve ici la volonté de musicalité d'un poème. La poésie peut être aussi un condensé d’écriture, sans même de ponctuation comme chez Eluard

il est au cœur de la ville, rencontre sa population, se confronte à sa misère => mise en scène d’une réalité jusque là ignorée par la poésie Titre dédicace => hommage fait à une mendiante (boue devient or dès le titre) → écho à « A une charogne » Inspiratrice de ce poème : une jeune chanteuse des rues qui a intéressé Baudelaire et ses amis (Banville lui a consacré un poème aussi en 1846 + il a décrit sa rencontre avec elle : « une enfant, une fillette aux grands yeux, aux traits raffinés