Une Charogne Alliteration

que le tissu ne s'effile, et qui constitue une finition - livide : bleuâtre Analyse : La femme et son impact sur l’auteur - Vers 1 : Cadre de l’action fixé : rue bruyante de Paris (= vie très mouvementée) -> y règne un brouhaha -> accentué par allitération en t et r + son en s : tonalités sèches, dures, qui renforcent le vacarme -> rue qui hurle -> personnification de la rue -> montre l’aspect bestial + bruyant de la foule qui « hurle » -> autour de moi : auteur entouré de vacarme, au centre :

2 phonèmes * Rimes riches : plus de 2 phonèmes pareils Les strophes * Distique (2) * Tercet (3) * Quatrain (4) * Quintile (5) * Sizain (6) * Effets sonores Allitérations gutturales (g + q) grondement et dureté Allitérations fréquatives (v) : intensité ou vibration Allitérations en (s), (m), (l) = fluidité ou la mollesse Ces jeux de sonorités produisent une harmonie * Soit indépendantes de l’idée exprimée * Soit l’association de ses sonorités a pour but

en un objet sacrès avec une réfférence biblique. Nous observons à la ligne 13 sa phrase « Mais brisons-la », qui rappele le dernier repas de Jésus avec ses apôtres, mis en valeur par l’impératif à la premiere personne du pluriel. Les constantes allitérations en « r » comme celle aux lignes 4 et 5 « […] fut glissée pour nous dans le four stellaire, où durcissant [...]" nous font penser à la texture croquante du pain. Nous avons affaire à un poème bien structuré et sa construction est logique. Nous

Baudelaire prouvera que le Beau peut provenir du laid (ex : « Une charogne »  « Une martyre ») Il obtiendra donc le nom de prince des charognes. De plus le contratse de ce titre est l’un des thèmes phare de ce recueil. Il suffit d’extraire la beauté du Mal La maîtrise de la forme : Il maitrise le sonnet et l’alexandrin à la perfection, il utilise des quatrains aux rimes riches et des sonorités suggestives grâce aux allitérations. Ainsi, tout en respectant la forme traditionnelle, Baudelaire

s'oppose un vieille femme au corps disgracieux. Cette inversion maintient l'attention du lecteur, qui surpris par la position de l'auteur, est troublé. La dévalorisation s'accentue par la lourdeur des formes. adj « large » 2 reprises V5 et V13. Les allitérations en /gr/ et /r/ renforcent la grosseur V5 « col gras et gris » ; « rondeur des reins » V7. Les V8, V9 précision clinique : la cellulite. V6, « dos court » suggère une petite taille et un corps disproportionné. 2Eme inversion : a l'élégance des finesses

OxymoreInteraction avec le lecteur “tu, lecteur, mon semblable, mon frère”→ Le “mais” marque une rupture : on pensait être au plus bas mais le pire est encore à venir. oui→ L’auteur énumère de horribles bêtes métaphores de nos vices. oui→ Ces allitérations nous font entendre les sifflements des montres oui→ Description des mouvements et des bruits émis par le monstre, ce qui renforce le "dégoût" envers ces monstres.oui→ Description de quelque chose d'horrible à travers les termes “laid”, “méchant

Aujourd’hui reconnu comme un écrivain majeur de la poésie mondiale, Baudelaire est devenu un classique. Il est l’auteur du recueil Les Fleurs du mal, dans lequel nous pouvons observer deux visions différentes de la mort : un aspect morbide avec « Une charogne » ainsi qu’un aspect heureux avec « La mort des amants ». Ce poème est le poème de la promesse absolue, la promesse d’un amour infini dans la mort. Afin d’analyser la transfiguration de l’amour dans ce sonnet, il conviendra tout d’abord d’observer

sert « d’ordinaire pâture » donc de simple nourriture alors ce sont eux les « vers goulus » , gourmands de notre chair qui à l‘inverse nous mangent et non plus nous qui mangeons les animaux. Il accentue, aussi, l’image des vers effrayant avec un allitération en « r ». Ensuite nous pouvons dire que les deux quatrains et le premier tercet sont quasiment entièrement dédié à une description macabre de l’Homme faite par le poète. Celui-ci nous amène à ressentir ce qu’il décrit quand il dit « puanteur »

métaphore filée de la géographie et de la géologie, présente par les termes de " vallées, crêtes, ondulations, crevasses… " contraint le lecteur à redécouvrir des formes maintes fois rencontrées. Le travail poétique effectué sur les sonorités, les allitérations en " f ", en " s ", participent de cet appel au sens revendiqué par Cocteau. Enfin, Ponge dans ce texte interpelle son lecteur : le jeu de mot " brisons-la ", pourrait être entendu comme " brisons-là " ; il rappelle que la poésie humblement s’efface

On retrouve une description de haut en bas. Le vers 5 commence par une évocation du col et la première caractéristique de la Vénus est la grosseur : gras, la graisse, les larges, rondeurs, une allitération en «gr » pour la grosseur ? l’idée de la saleté dans ces adj renvoie à l’ivoire. Aucune harmonie des formes → « saille » = sortir grossièrement ça renvoie aussi à la trivialité. « Paraît en feuille plate » métaphore = couches successives