Une fille d'Ève

beaucoup de similitudes en ce qui concerne la place de la femme dans la Rome et la Grèce antique. En effet, tout comme en Grèce, à Rome la femme est soumise à l'autorité paternelle puis maritale. Cependant, à Rome, on ne conservait souvent que la fille ainée. De plus, alors que les garçons reçoivent un prénom, ce qui est une marque d’individualité, les filles ne conservent que celui du père. Ce n’est qu’à la fin du IVe siècle que le droit de vie et mort sur ses enfants est retiré au père. La coutume

événements enregistrés dans le manuscrit. La lettre d'écarlate est les produits finis. L'histoire commence en dix-septième-siècle Boston, puis un règlement de puritain. Une jeune femme, Hester Prynne, est menée à partir de la prison de ville avec sa fille infantile, perle, dans ses bras et la lettre d'écarlate « A » sur son sein. Un homme dans la foule dit à un vieux spectateur que Hester est puni pour l'adultère. Le mari de Hester, un disciple beaucoup plus âgé qu'elle est, envoyé lui en avant en Amérique

libère ainsi Thèbes, il va donc épouser Jocaste, sa mère et vont avoir 4 enfants dont Antigone. Ensuite la peste s’abat sur Thèbes suite au châtiment et le devin Tirésias révèle à Œdipe la vérité et il est chassé de Thèbes par ses fils et seul sa fille Antigone lui reste fidèle suite à son exile. Finalement les deux frères Etéocle, Polynice meurt en s’entretuant pour le trône. Donc Créon le frère de Jocaste qui décide de prendre le trône de Thèbes. Créon considère Polynice comme un traitre car il

arrive à représenter. Cette délicatesse, on la trouve principalement dans le visage féminin, toujours gracieux et attentionné. Mais également dans la matière soyeuse et aérienne des drapés ou des chevelures (même masculines). La douce jeune fille est si belle que personne au premier regard ne remarque la longueur exagérée du coup de celle-ci, l’étrange manière dont son bras gauche est lié au corps ainsi que la chute outrancière de ses épaules. Botticelli a donc pris certaines libertés par rapport

(1834) 55 La duchesse de Langeais (1839) 56 La recherche de l’absolu (1834) 56 L’illustre Gaudissart (1834) 56 La fille aux yeux d'or (1834) 57 Melmoth réconcilié (1835) 57 Le lys dans la vallée (première étude des Scènes de la vie de province, 1835) 58 Les contes drolatiques (1837) 58 Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau (1837) 59 Une fille d'Ève (1838) 60 Massimilla Doni (1839) 60 Les secrets de la princesse de Cadignan (1839) 60 Un prince de la Bohême (1840)

vers la Terre promise. • les Hébreux sont venus en Égypte à l’époque de Joseph fils de Jacob (cf. la Genèse). Mais un nouveau pharaon a réduit les Enfants d’Israël à l’esclavage (Ex. 1). • Moïse, enfant de la tribu de Lévi trouvé sur le Nil par la fille de Pharaon et élevé à la cour royale (Ex. 2), doit fuir l’Égypte après le meurtre d’un Égyptien. Il partage la vie des bédouins dont il garde les troupeaux. Lecture : Exode, ch.2, “Moïse ” • Moïse est un enfant trouvé, comme Romulus (fils de la

C’est en 1835, avec Le Père Goriot, que Balzac a l’idée de créer un système unificateur de personnages qui vont se retrouver d’une œuvre à l’autre, dans des dizaines de romans. L’écrivain dénonce le pouvoir de l’argent : lecture d’extraits de La Fille aux yeux d’or. Il compare les couches de la société parisienne aux différents niveaux d’une maison. Tout en bas, les prolétaires, puis les bourgeois et au-dessus, les grandes fortunes. Au dernier étage, une catégorie hors norme : les artistes. Poursuivi

arabo-musulman en langue française n'a vu le jour qu'en 1920... - Effet d'une acculturation, d'une scolarisation plus intense, assurément, en même temps que mieux consentie - et qui ne touche pas seulement l'élément mâle de la population : la jeune fille juive, plus libérée que sa consoeur musulmane, se jette elle aussi dans l'aventure. Le corpus des oeuvres littéraires judéo-maghrébines témoigne, en comparaison à celui des oeuvres d'auteurs arabo-musulmans, d'une originalité très prononcée à cet égard

côté surnaturel: „je ne sais si la flamme qui les illuminait venait du ciel ou de l’enfer, mais à coup sur elle venait de l’un ou de l’autre. Cette femme était un ange ou un démon, et peut être tous les deux; elle ne sortait certainement pas du flanc d’Ève la mère commune“[19]. Au premier abord, il semblerait que Romuald ne soit pas capable de classer cette apparition dans l’ordre du divin[20] ou celui du démoniaque. Cependant on remarque qu’inconsciemment il a déjà tous les éléments en main pour interpréter

des petites filles, oblige l'homme a subvenir au biens de sa femme, et en matière d'héritage, la fille reçoit une demi de ce que son frère recevra car c'est le frère qui deviendra chef de famille. En 200 c'est obsolète. Notion de faute très présente dans le christianisme, et se présente de façon un peu différente dans le Coran. La faute et la culpabilité n'a pas était imputé à la femme ( Faute d'Ève dans la bible.) qui est due à la tentation du diable et à la nature humaine de faire le mal. L'érotisme