Une Mer Sacrifiée En Coton

indispensable au fonctionnement biologique de l’Homme mais elle est aussi nécessaire pour produire sa nourriture ainsi que pour lui permettre de pratiquer de nombreuses activités. I- Etude de cas : La mer d’Aral, réparer un désastre provoqué par l’Homme. 1) La mer d’Aral sinistrée. 1. Dimensions de la mer d’Aral en 1960 = -Nord-Sud : 370km -Ouest-Est : 300km Le plus grand bassin est celui à l’extrême Ouest : -Nord-Sud= 170km

cas : Documents pages 86-87 Questions page 91 La mer d'Aral sinistrée 1) En 1960 : 440 Km du Nord au Sud et 310 Km d'est en ouest. Le plus grand bassin de la grande mer en août 2009 : 220 Km en longueur et 43 Km en largeur. L'ancien port ouzbek de Muinak à 125 Km du bassin le plus proche ; le port kazakh d'Aralsk : à une vingtaine de Km de la Petite mer malgré sa « renaissance ». 2) On peut parler de catastrophe totale car la disparition de la mer d'Aral entraîne beaucoup de conséquences négatives

potable salubre. Loin d'être atteint. Etude De Cas : La Mer DAral, Un Désastre Provoqué Par L'Homme p86-90 problématique : Une catastrophe écologique majeur provoquée par une ‟mauvaise” gestion de l'eau, peut-elle être réversible grâce à une nouvelle gestion + durable ? 1◆ Une mer sinistrée 1° * N-S : 440 km ; E-O : 310 km * + grand : 220 long- 43 large km * éloigment ports : 8: 125 km 1: 21 km 2° L'assèchement de la mer d'Aral est une catastrophe totale car cela affecte l afaune

développement durable des sociétés humaines. Les ressources en eau sont-elles accessibles à tous ? Serons-nous capable de rendre l’eau accessible à tous, tout en préservant sa quantité et sa qualité ? I : La mer d’Aral, réparer un désastre provoqué par l’homme ? A : La mer d’Aral sinistrée 1 : La mer d’Aral se vide. 2 : baisse de la biodiversité (poissons), fin de la pêche commerciale et de la navigation, baisse du niveau des nappes phréatiques « renforçant la désertification », plus de sécheresses

splendide cité nommée ATLANTIDE. C’est un prêtre égyptien qui l’aurait raconté à un homme d’état Athénien qui se serait lui-même confié alors à Platon au sujet de cette ile. Le récit de Platon raconte : « [Il y a 9000 ans], on pouvait traversait cette mer [Atlantique]. Elle avait une ile devant ce passage que vous appelez, dites-vous, les colonnes d’Hercule. Cette ile était plus grande que la Libye et l’Asie réunies (…). Or dans cette ile Atlantide, des rois avaient formé un empire grand et merveilleux

est aussi un outil d’aménagement du territoire : la Sibérie, faiblement peuplée car inhospitalière, regorge de ressources minérales d’importance stratégique d’où la faveur dont elle est l’objet dans les plans. Idem pour le coton irrigué (« or blanc ») en Ouzbékistan (pb : mer d’Aral) Jusqu’à la fin des années 1960, la priorité va au secteur A qui regroupe l’industrie lourde et le matériel militaire. Ce secteur est censé fonder la puissance et l’indépendance économique du pays (sidérurgie, hydroélectricité

en tirent un complément de revenu. Ce mode de vie n'est donc plus tout à fait le servage mais n'est pas encore le salariat. C'est un mélange inédit d'agriculture et d'artisanat : l'économie moderne est en germe. Ainsi l'avènement des indiennes de coton dont la fabrication implique la mise en œuvre de processus techniques complexes provoquent le développement d'une proto-industrie dans plusieurs régions d'Europe au XVIIIe siècle. D'après les calculs d'Angus Maddison, l'Europe occidentale connait

ressources. « L'or noir » conditioime les choix de développement. La Jordanie, insuffisamment dotée et percevant des droits de transit insuffisants sur les hydrocarbures, est incapable de réinvestir dans l'industrie lourde. L'agriculture est souvent sacrifiée au détriment d'autres secteurs avec le risque d'accroître la dépendance alimentaire (céréales, viande bovine) et les émeutes urbaines tandis que la démographie régionale progresse de 3 % par an en moyenne depuis 1960. L'eau, rare au Proche-Orient

politiques de recevoir des moyens financiers et matériels sans nécessairement avoir un rapport avec l’aide humanitaire et quelques fois, l’aide est simplement réquisitionné par le 7-MADELEY, John, Le commerce de la faim : La sécurité alimentaire sacrifiée à l’autel du libre-échange, Tunis, Cèrès Éditions, 2002 p.104. 8-MCLAUGHLIN, Corinne, DAVIDSON, Gordon, Spiritual Politics : Changing the World from the inside out, New York, Éditions Ballantine Books, 1994, p.375. gouvernement en place pour son

les puissances étrangères entretiennent des flottes de guerre et des troupes prêtes à intervenir à n’importe quel moment * bien sûr, ceci est à l’origine d’importants échanges commerciaux au profit des puissances étrangères - importation de coton, de soieries, de thé, - exportation d’acier, de matériel de chemin de fer, d’armes et de produits de consommation courante comme les cotonnades américaines et britanniques et, lors des grandes famines, de riz, de sucre et de farine * considérée