Une Mort Héroïque

philosophique, où voltaire confronte son personnage dont la vision est conditionné par une vision optimiste (celle du philosophe allemand Leibniz) à différent évènement qui le mènerons à la remettre en cause cette philosophie. Chapitre 3 : la boucherie héroïque. A : vision valorisante de la guerre ? 1) un spectacle 2) une organisation parfaite 3) une guerre justifiée B : la dénonciation des horreurs 1 : les dissonances initiales 2 : la boucherie 3 : la condamnation de la glorification de la guerre

lecteur  Créer une relation de complicité entre le lecteur et l'auteur ou le lecteur et un personnage | Epique | Exaltation de prouesses et de personnages héroïques - Figures d'amplification (accumulations, énumérations, hyperboles, superlatifs, gradations...) - Vocabulaire générique et profusion de pluriels - Personnification des valeurs héroïques et des valeurs collectives - Champ lexical manichéen (la Bien, le Mal, etc.) | Susciter l'admiration du lecteur face à la relation d'exploits sublimes

évoque les souffrances endurée et aux travers de certaines références venues de sa culture humaniste, il nous donne sa vision de la mort . Dans « Il faut laisser maisons… », Avant-dernier poèmes dicté le 26 décembre 1585, veille de sa mort, le « prince des poètes » se prépare à quitter ce monde. Comment cet adieu à la vie se présente-t-il et comment envisage-t-il la mort ? I. L’adieu à la vie. A : Ronsard a mené une vie pleinement réussie. Nous remarquons dans ce poème la fierté de Ronsard

à l’héroïne antique). Mais il est blessé mortellement (oxymore) alors que Corèbe est mort. Ainsi, l’amour de Ronsard est vraiment une prouesse supérieure à la guerre car à la différence de Corèbe, qui a trouvé dans la mort l’apaisement de ses souffrances, Ronsard vit toujours avec cette douleur. Son comportement est donc héroïque. Toute la déictique (pronoms, adjectifs.. )met en valeur l’identification héroïque de Ronsard ; ce processus conduit à la sublimation de l’amour que Ronsard porte à Cassandre

(héroïsme épique). I/ Achille : vie brève, mort glorieuse. L’héroïsme épique. 1) La filiation d’Achille Achille = fils d’un mortel (Pélée) et d’une déesse, Thétis. Thétis = très belle, qui attire la convoitise de nombreux dieux, et notamment de Zeus et Poséidon. Prométhée apprendra à ces deux dieux que le fils de Thétis sera plus fort et plus éclatant que son père lui-même. Finalement, Zeus et Poséidon se déferont de Thétis et l’enverront chez les mortes, pour éviter de se faire détrôner, où elle

prénom sauf une qui finit par “bonheur”.    Secondement, ce monologue lyrique annonce la naissance d’un héros.    Tout d’abord; nous trouvons ici les valeurs nobles et héroïques. En effet, le héros a de  l’honneur v53­54, son choix  est fait, il est glorieux. Nous voyons l’importance de l’honneur et de  la famille, de la lignée. Il est en plus de cela généreux, v 55 car il accepte sa mort avec  enthousiasme pour cet honneur. ll utilise l’impératif v56 “courons” et reprend l’injonction de son  père “va,cours,vole et nous venge”

éloge de l’armée et du combat, l’ironie et le réalisme en font un violent réquisitoire contre la guerre. I. Un discours apparemment favorable à la guerre. Un registre épique au service de l’éloge. Occurrences en relation avec le héros : « héroïque « (l. 11), «  les héros » (l. 25), « quelques héros » (l. 20) Verbes d’action «  renverser (l.4), « ôter (l. 5), aller (l. 13), gagner (l. 15)… Hyperboles chiffrées « six mille » (l. 4), « dix mille » (l. 6), « quelques milliers » (l. 8), « trentaine

péripéties auxquelles il est confronté, réaliser des exploits héroïques, ou hors du commun. On peut considérer quatre types principaux d’antihéros: le personnage « sans qualités », l’être ordinaire vivant une vie ordinaire dans un cadre ordinaire  le héros négatif, porteur de valeurs anti-héroïques et en général antisociales, mais sans qualités « héroïques » le héros déceptif, un personnage ayant potentiellement des qualités héroïques mais qui n’en fait pas usage ou les utilise mal ou à mauvais

précis - Illustration par l'exemple | Transmission d'un savoir Visée éducative et pédagogique | Épique | - Exaltation de prouesses et de personnages héroïques - Figures d'amplification (accumulations, énumérations, hyperboles, superlatifs, gradations...) - Vocabulaire générique et profusion de pluriels - Personnification des valeurs héroïques et des valeurs collectives - Champ lexical manichéen (la Bien, le Mal, etc.) | Susciter l'admiration du lecteur face à la relation d'exploits sublimes

avoir remporté la bataille - termes mélioratifs, voire laudatifs de la ligne 1 + anaphore de « si » (adv. d’intensité) -> hyperboles - guerre = kermesse ou fête foraine : Ex : « renversèrent » (l.4) = jeu de chamboule-tout (pas d’impression de mort) -> euphémisme « Beauté » et ordre du champ de bataille - début = passage en revue des troupes (deux armées se faisant face) - mention de « canons » déclenchant l’offensive - offensive ordonnée et logique : on réduit la distance entre les combattants