Une Parodie Du Procès

Emile ZOLA (1840-1902) « J’accuse » (1898) 1. But immédiat de l’intervention « J’accuse » : La révision du procès de 1894 du capitaine Dreyfus, officier français juif injustement condamné en 1894. But plus général : lutter contre l’injustice. 2. Chaque argument est présenté dans un paragraphe débutant par « J’accuse » pour appuyer la force De son argumentation. 3. Progression du texte : - instruction à charge du lieutenant colonet du Patry de Clam

renvoient à un univers romanesque parodié. II/ La mise en scène du romanesque A/ La mise en scène de la noblesse Cadre du 1er texte = très romanesque : luxe, opulence → repas avant le bal ; mise en scène de la noblesse. Évocation de mets rares : champagnes / grenades / ananas / sucre « plus blancs et fins » > comparatifs valorisants. Cérémonial = serviteurs, marquis « extraordinaire » / « auguste » Vie « romanesque » / enlèvement / duels. Procès : outrage au bonnes mœurs.

auditoire naïf dans les assemblées ou les procès). Son fils, Bdélycléon, représente la jeune génération athénienne (et surtout Aristophane lui-même !) qui tente de renouer avec les valeurs des anciens et combat les sophistes. Au terme de ce débat, le chœur des jurés déclare vainqueur Bdélycléon. Pour calmer son père, Bdélycléon lui offre de participer à un simulacre de procès : Philocléon doit  juger un chien, accusé de vol (il s’agit d’une parodie d’un procès intenté par Cléon contre le général Lachès)

interne à son discours (" Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense. " ).  Le roi s’explique et pense que le plus coupable doit périr. 2. Le choix d’un bouc émissaire 3. Le sacrifice voué à rétablir l’ordre II. Une parodie de procès A. Un procès 1) Les aspects d’un procès contaminé par l’aspect religieux • Lexique de la justice et de la religion (« expier, péché ») • Scène représentant le tribunal (défilé à la barre des animaux) • Solennité de la scène : vocabulaire hyperbolique, scène

confession renardienne consiste généralement en une énumération des nombreux méfaits du goupil. Elle est donc un prétexte pour Renart de se vanter de ses crimes. Ce passage se situe dans la première branche du Roman de Renart, dans le cadre du procès de Renart initialement intenté par Isengrin mais qui ne va pas tarder à viser l’entier des méfaits du goupil. Isengrin se plaint à Noble de l’adultère commis par sa femme avec Renart, or Noble ne tient pas particulièrement à donner suite à ces accusations

rebondissements et de nouvelles polémiques depuis 6 mois, beaucoup ont pu perdre de vue l’essentiel. Et pourtant les accusations dont font l’objet Nicolas Sarkozy et plusieurs membres de la majorité sont graves. Ainsi, alors que l’héritière de L’Oréal est en procès avec sa fille depuis 2007, des enregistrements pirates mettant en cause le pouvoir éclatent au grand jour, printemps 2010. De sulfureuses révélations qui transforment cette affaire familiale en affaire d’Etat. Morceaux choisis de conversations

CharlieHebdo En 19 ans de publicaton, Charb et son journal ont essuyé 46 procès. Parmis ces procès, seulement 15 ce sont révélés être une défaite. Deux procès ont particulièrement retenu notre attention: - celui de Mars 1994 contre Charles Scaglia, - celui de Juillet 1996 contre François Foucard Dans les deux cas, CharlieHebdo a été condamné a payer sympoliquement 1 Franc de dommage et intérêts. Nous nous ensuite interréssés au procès qui s'est tenu au tribunal de Grande Instance de Paris concernant

l’herbe d’autrui. Ainsi, notre problématique est la suivante : Comment La Fontaine, dans cette fable, décrit une société hypocrite et malsaine ? Pour y répondre, nous commencerons d’abord par analyser le récit tragique, pour ensuite décrire une parodie de procès, et enfin il s’agira d’en ressortir une ironie satirique. Lors de la lecture de la fable, nous pouvons de suite déceler un récit tragique par les ravages qu’a causé la peste sur le peuple animal : « Ils ne mourraient pas tous, mais tous

sait finalement jouer avec les mots, les situations, les personnages, l’auteur lui-même, les textes antérieurs, le sens des mots. Camus est donc un virtuose dans l’art de la théâtralisation. N’est-il pas alors inutile de rappeler que Camus traite le procès de Meursault comme une représentation théâtrale même si l’ensemble de ce drame se déroule dans un décor dysphorique qui signale la déshumanisation progressive. C’est peut-être ce jeu multiple et ses enjeux qui devraient faire le charme de la problématique

mauvais, et qu’un homme est pendable après les avoir fait. » LE PROCES. Acte 1, scène 1. Alceste reproche à Philinte ses civilités de complaisance, il condamne les faux-semblants, il rejette toute les formes du mensonge mondain, et dénonce plus particulièrement les menées, hypocrites du traitre qui le poursuit en justice. C.F. ligne 123 : « De cette complaisance, on voit l’injuste excès pour le franc scelera avec qui j’ai procès au travers de son masque, on voit à plein le traitre, partout il