Une Utopie Moderne

pas m'arrêter à ce sens. L'esprit m'éclaire enfin ! L'inspiration descend sur moi, et j'écris, consolé : Au commencement était l'action !" Cette désillusion, ce drame ou ce syndrome faustien, et son passage du rationnel vers l'irrationnel - comme utopie anti-mélancolique -, est un classique, et pas seulement littéraire. Donnons pour exemple Camille Flammarion, fondateur de la Société Astronomique française qui publie en 1900 deux livres qui n'ont plus rien à voir avec la science : "Forces inconnues

Genèse 41 : Les songes de Pharaon (p. 17 Cours 3 Approche sociologique et philosophique COURS : Utopie – Dystopie – l’âge d’or More, Utopia (utopie de la Renaissance)  Rabelais, Gargantua, abbaye de Thélème (utopie Humaniste) Voltaire, Candide : Eldorado (utopie du siècle des Lumières)  Les familistères, phalanstère, cité ouvrière L’entreprise collaborative (reprise de Nice matin) Utopie : Exemples en musique Imagine, John Lennon : un meilleur monde Si – ZAZ Une jardin extraordinaire, Charles

révolution industrielle va affecter profondément l’agriculture, l’économie et la politique de la ville en développant les secteurs clés tel que l’industrie. De nombreux architectes urbanismes, vont alors repenser la ville pour l’adapter au monde moderne. A cette époque deux grands mouvements urbanistiques vont s’opposer le culturalisme contre le progressisme. Camillo Sitte est un architecte et théoricien culturaliste. Son ouvrage « L’art de bâtir les villes » est une référence en terme d’urbanisme

des Modernes : A la fin du XVIIème siècle, et au début du XVIIIème siècle, une grande polémique appose les partisans des auteurs de l’Antiquités aux tenant de la supériorité des auteurs modernes. C’est la querelle des Anciens et des Modernes. A la suite de Boileau, Racine, La Fontaine et La Bruyère prennent la défense des Anciens. Charles Perrault affirme la suprématie des auteurs modernes dans son Parallèle des Anciens et des Modernes, 1688. Fontenelle prend également parti pour les Modernes et

de nombreuses utopies avaient été pensés dans le passé, et cela déjà au IVème siècle av. J-C dans La République de Platon, mais que la plupart de ces utopies avait mené à un échec une fois mises en œuvre. A travers ce TPE, nous avons cherché à comprendre pourquoi l’utopie menait généralement à un échec lorsqu’elle était mise en œuvre. Le terme utopie, du grec "ou" = non, et "topos" = lieu, signifie étymologiquement un lieu inexistant, un lieu qui ne serait "nulle part". Une utopie est une conception

anti-technocratiques (Tourraine). Années 60 : développement des réseaux télécoms → utopie : abolition des frontières, création d'un « village global », mondialisation de l'information. Volonté d'une diplomatie moderne, communiquer entre pays pour éviter les conflits. Néopolitique : politique du savoir. Répandre le libéralisme et la technocratie (selon penseurs géopolitiques) Années 70 : l'info/com' va donner accès à tous à la culture. Utopie de la démocratie directe, vision utopique de l'ordinateur... Mais communautarisme

Origine du terme utopie Le terme utopia est un néologisme[->0] grec[->1] forgé par Thomas More[->2] en 1516[->3] pour désigner la société idéale qu'il décrit dans son œuvre (en latin) Utopia[->4]. Il est traduit en français par utopie. Ce terme est composé de la préposition négative grecque ou et du mot topos qui signifie lieu. Le sens d'utopie est donc, approximativement, « sans lieu », « qui ne se trouve nulle part ». Dans l'en-tête de l'édition de Bâle[->5] de 1518[->6] d'Utopia[->7], Thomas

un genre littéraire pour lequel les siècles à venir devaient s’engouer : des littéraires en passant par les sociologues jusqu’aux politiciens. Les structures sociales du nouveau monde ont sans doute influencé les philosophes et les structures des utopies qui suivent. Mais, pour expliquer cette profusion d’œuvres, il convient maintenant de définir la démarche utopique. On peut en distinguer trois éléments fondamentaux : le conflit avec la réalité, la création d’un univers imaginaire et enfin une spéculation

grands développements sur la civilisation. b) Bayle, Pensées diverses sur la Comète (1682), Dictionnaire historique et critique (1682, 1697) – le hasard selon A.A. Cournot, Considération sur la marche des idées et des événements dans les temps modernes (1872) Faut-il faire une place au hasard ? Bayle et Cournot : OUI Bayle est protestant, calviniste. Membre de réflexion de l’Académie de Sedan. Il quitte la France pour Rotterdam où il publie son œuvre anonymement. Bayle serait le précurseur

reconstruction urbanistique et architectural de Berlin donc Art de l’espace. Contexte Artistique : Le projet de Germania peut être qualifié comme néoclassique car il s’inspire de monuments de la Rome antique, de la Grèce antique ou de monuments modernes s’y étant inspirés. En effet, le Grand dôme est comparable aux dômes de la Basilique St Pierre, du Panthéon ou du Capitole. De plus, le style d’art déco, caractérisé par ses formes géométriques audacieuses et des ornements luxueux. En effet, la présence