Une Vie De Maupassant Explication De Texte

avec Paul que joue Marie. ***Rapport implicite/explicite: Rapport implicite : l’information n’est  pas dite clairement : Je crois qu’elle ne veut pas sortir Rapport explicite : l’information est clairement exprimée : Elle ne veut pas sortir   EXPLICATION: Questions 1 à 3  :Quel est le type  de la phrase ? Questions 4 à 7  :Est-ce une interrogation partielle ou totale ? Questions 8 et 9 :Quelle est la forme de la phrase? Questions 10 :Quel est le rapport? Les choix vous sont proposés à chaque

description, explication, argumentation. [pic]Insérer un dialogue dans un récit. [pic]Découvrir le métier d’écrivain. Lecture cursive : Guy de Maupassant, La Parure. [pic] Séance 1 (lecture) : texte 1 [pic]Prélever des informations dans l’incipit et distinguer les discours narratif et descriptif. ( Ne pas donner d’indications sur la date !! Lecture personnelle + du prof. Situer le roman : ( Selon vous, à quelle époque ce roman est-il situé ? Quels indices ? |Un texte contemporain 

récit peut désigner un texte non littéraire (récit journalistique d’un fait divers, témoignage) aussi bien qu’un texte littéraire (roman, conte, nouvelle). 1. LES COMPOSANTES PRINCIPALES DU RÉCIT Deux éléments sont essentiels dans le récit : ● L’HISTOIRE : le terme désigne l’ensemble des actions effectuées, dans un espace et un temps déterminés ; dans un récit imaginaire, particulièrement dans le roman et la nouvelle, la fiction désigne l’univers créé par le texte, distinct du monde réel

« Dans Thérèse Raquin, j'ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là est le livre entier. J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés à chaque acte de leur vie par les fatalités de leur chair. Thérèse et Laurent sont des brutes humaines, rien de plus. J'ai cherché à suivre pas à pas dans ces brutes le travail sourd des passions, les poussées de l'instinct, les détraquements cérébraux survenus à la suite d'une

entière, mais simplement sous un aspect fragmentaire. La nouvelle cherche à produire une impression de vie réelle. » Mais plusieurs théoriciens pensent qu’une nouvelle bien construite, digne de ce nom, doit également se terminer par un effet de surprise, « l’effet de chute », qui serait la raison d’être du récit et qui inviterait le lecteur à une relecture et à une réinterprétation du texte. Ainsi, toute la narration serait construite en fonction de ce « coup de théâtre » final, préparé tout

mensongères) et une fiction c’est à dire une liberté donnée par rapport aux faits, en particulier à ceux convoqués par la mémoire. Ce serait le roman d’une autobiographie. En tout cas, ce roman est présenté à la première personne comme une tranche de vie de 36 heures environ, le temps d’une arrestation, d’une garde à vue et d’un transfert au dépôt, décision prise par un juge qui veut faire un exemple de la provocation sur la voie publique par un auteur connu. Arrêté avec son ami, le Poète, auteur lui

science s’imposait dans la prescription et la représentation du monde. Du point de vue narratif, la littérature fantastique présente de manière réaliste l’événement qu’elle évoque tout en soulignant son caractère inadmissible. D’où, chez Guy de Maupassant, ces textes énigmatiques sous forme de question : « Un fou !?. », »Qui sait !?. ». b. La différence entre merveilleux, étrange et fantastique : Le merveilleux caractérise un univers littéraire où le surnaturel est incontesté : personnages,

mort rouge, Poe La chose = l’indéfinissable, inavouable, invisible. ex : Le Horla, Maupassant (1887) Vampires (ou formes de vampirismes cauchemardé) ex : Dracula (1897) statue, objet qui s’anime. ex Le pied de la momie, Gautier femme fantôme vacillement rêve/réalité effacement d’un espace arrêt/répétition du temps. ex : Un jour sans fin → vacillement de tous repères principaux qui constituent réalité mort/vie, rêve/réalité, hier/aujourd’hui, jour/nuit objectifs du fantastique : peur : activité

théâtre tragique. Il est loin d’avoir un destin illustre mais a des sentiments et une vie qui ressemblent plus à celle du lecteur. En effet depuis le XVII siècle, les romanciers cherchent à faire vivre des personnages proches de Monsieur tout le monde, « réalistes », en essayant de rapprocher le plus possible les personnages de la réalité. C’est le cas des romanciers du XIX tels qu’Emile Zola, Victor Hugo ou Maupassant. Mais le lecteur a-t-il besoin de s’identifier au personnage principal et de partager

lecteur devant un texte (il conviendra donc d'éviter de confondre avec le registre de langue (soutenu, vulgaire ....)). Certains textes provoquent, chez le lecteur, des émotions diverses: compassion, enthousiasme, admiration, frayeur, angoisse, amusement... Toutes ces réactions sont produites par des caractéristiques du texte (agencement des mots et des phrases, thème traité...) qui renvoient à la notion de registre. Le registre correspond à la nature particulière de l'émotion que le texte vise à communiquer