Une Vérité Est Elle Discutable

s'entendre sur les sens possibles d'une œuvre et considérer que certaines interprétations sont illégitimes. Il y a 3 axes d'interprétations: Selon la valeur esthétique. Selon la valeur de représentation de l'œuvre, c'est à dire la valeur de vérité. Selon la valeur morale et politique d'une œuvre; c'est à dire la valeur du bien. La valeur esthétique Texte page 122 Pour juger d'une œuvre et donc l'interpréter, il faut en faire l'expérience car ce jugement relève de la sensibilité

dans un idéal, émanerait simplement des individus. Afin de répondre aux différents problématiques évoquées nous nous questionnerons en premier lieu sur la nécessite du combat dans la reconnaissance puis nous nous interrogerons sur le lien entre la vérité la moralité et le combat de reconnaissance. Enfin, nous verrons pourquoi le conflit est immuable de la société, et surtout nous nous interrogerons sur les modalités d'un combat juste. En 1ere analyse, dans la quête de reconnaissance, au vu des exemples

actes qui en découlent  et ainsi plus responsables de nous-même. 
  
  1) De l’impossibilité d’être totalement  responsables de nos croyances 1-1 De l’irrationalité de nos croyances 
Les croyances ne sont pas des savoirs rationnels et ne sont des « vérités » qu’en dépit du fait qu’elles ne sont ni démontrées, ni prouvées selon des procédures rationnelles et expérimentales et dans le cas extrême de la foi ,en tant que croyance subjective totale dans un contexte d’incertitude objective insurmontable,

sait que la science doit être universelle : elle doit être toujours vraie, mais aussi vraie pour tous. On dira aussi qu'elle doit être « objective », c'est-à-dire ne pas dépendre d'une subjectivité particulière, ni varier selon les individus. La vérité objective, au sens le plus large du terme, est le fait qu’aucun doute n’est possible à chaque étape du raisonnement. Pour cela la conviction personnelle, l’opinion ou la situation économique et sociale de l’individu ne doivent pas interférer. C

outils de communication, et de moins en moins en face en face (« en vrai »). 9. Quelles sont les ‘failles’, les ‘faiblesses’ de l’ «utopie de la communication » ? La légitimité scientifique des sciences de la communication (c’est une science floue et discutable), et l’utilité des outils de communication (l’harmonie entre les hommes peut s’’établir autrement qu’à travers les outils de communication). L’imprévisibilité de l’homme : il est difficile d’anticiper les comportements d’un homme (« prédire » ses

autres lieux d’échange depuis de nombreuses années, j’ai vu peu à peu les espaces de discussions être envahis par toutes sortes de théories ayant pour point commun l’idée qu’il existe une sorte de complot où des gens « au courant » cachent sciemment la vérité à la population. Cette rhétorique n’est pas neuve, on peut sans problème se référer (sans aller trop loin dans le passé) à la mode des extra-terrestres, Roswell, la Zone 51, théories qui étaient très en vogue aux Etats-Unis dans les années 60-70-80

absolument faux. Il espère ainsi que ce qui va résister à ce doute hyperbolique sera une vérité indiscutable. Il ne s’agit pas d’examiner chaque opinion dans le désordre mais plutôt de faire une critique des fondements de la connaissance (les fondements premiers et évidents de la connaissances se sont les sensations). L’argument de la folie, de la maladie. Descartes considère cet argument comme facile et discutable puisque tous les homes ne sont pas fous. L’hypothèse du « Dieu trompeur ». On fait

notamment pendant le classicisme, où la devise de plaire et instruire ne pourrait être plus adéquat au genre. Ces apologues sont, cependant, sujets de nombreux débats sur leur forme mais surtout sur leur impact sur la société, qui est largement discutable. Pensez-vous que la littérature, notamment sous la forme de l'apologue, ait le pouvoir d'intervenir sur le monde et les consciences pour les transformer, à l'image du forgeron ?Nous étudierons, pour répondre à cette question, la limite entre la

utilisé Présent de vérité général Propos généraux. 2- La thèse et ses arguments Une thèse Les arguments (religieux et chiffrés). 3- La progression du discours Construction logique (si... alors) 1ton de plus en plus femre II)Une joute oratoire 1- Un pers sur de lui Emploi de la 1ere pers Réference a la verité 2- Registre polémique Bcp de questions Une confrontation 3- Une victoire? Arguments incontestables Des faits concrets, discutables. Ouverture : Eventuelle

volontaire, méthodique, hyperbolique et radical. Remarquons néanmoins que, chez Descartes, le doute n’est pas une fin en soi, mais n’est qu’un moyen pour accéder à la vérité première et indubitable (le Cogito), à partir de laquelle il pourra refonder les sciences. Le doute n’a donc qu’une valeur provisoire : à terme, lorsque la vérité aura été découverte, il faudra arrêter de douter. Alain a ici une position plus sceptique, car il nous invite à « examiner toujours 3. La critique des croyances