Union des démocrates et indépendants - Union centriste

plan, il a fallu mettre en place des accords internationaux. Du point de vue politique, la conjoncture est favorable à la construction européenne, car les grands partis qui sont au pouvoir sont soit des "démocrates chrétiens", soit des "sociaux-démocrates". Ce seraient des partis plutôt centristes, et ils sont globalement acquis à l'idée européenne. L'une des dates-clé que l'on peut retenir est celle du congrès de La Haye en 1948, congrès où étaient regroupés à la fois des Etats et des mouvements

le plus grand nombre possible de militants. On va mener « une éducation politique des masses populaires ». Le financement des partis politiques Par principe, dans ce que l’on va appeler les pays de démocratie pluraliste, les partis doivent être indépendants à la fois du pouvoir politique et du pouvoir économique. Seulement, le fonctionnement d’un parti politique nécessite des ressources importantes pour mettre en place la campagne, pour subvenir aux coûts de fonctionnement etc.… Il faut donc bien

scrutin. Ces trois lois sont : - le scrutin majoritaire à un tour conduit au bipartisme - le scrutin majoritaire à deux tours tend à la bipolarisation des forces politiques - la représentation proportionnelle amène au multipartisme indépendant. A] le scrutin majoritaire à un seul tour et le bipartisme On l’a vu, le scrutin majoritaire à un tour, système anglo-saxon, est assez brutal dans ses effets. Est élu le candidat qui arrive en tête, quels que soient les pourcentages de suffrages


 A. La souveraineté, pouvoir de l’Etat 
 
 B. La souveraineté, compétence de et dans l’Etat 
 
 C. Les effets de la souveraineté sur l’Etat 
 Section 3. Les différentes formes de l’Etat
 
 I. Les modèles historiques (formes périmées) 
 
 A. Les Unions d’Etats 
 
 B. La confédération 
 
 C. Des illustrations contemporaines? 
 
 II. Les modèles contemporains 
 
 A. L’Etat unitaire 
 
 B. L’Etat fédéral 
 
 III. L’Etat régional : un nouveau modèle? 4 sur 101 CHAPITRE 1. L’ETAT.
 
 
 La notion

Ardennes  Groupe de l'Union centriste (UC)  Président du groupe sénatorial France-Australie · M. Jean BESSON Sénateur de la Drôme  Groupe socialiste · M. Dominique LECLERC Sénateur d'Indre-et-Loire  Groupe du Rassemblement pour la République (RPR) · M. Jacques PELLETIER Sénateur de l'Aisne  Groupe du Rassemblement Démocratique et Social Européen (RDSE) · M. Michel SOUPLET Sénateur de l'Oise  Groupe de l'Union Centriste (UC) · M. François TRUCY

« Gauche ». Dès Octobre 1790, les Patriotes modérés vont encore se diviser et vont apparaitre des ultra patriotes avec Robespierre (extrême Gauche actuelle), ces ultras sont composés de députés qui font parti du club des Jacobins, qui sont des démocrates intransigeants, dans lequel on va avoir Robespierre (origine de la Terreur), on retrouve aussi les Girondins, ils font plutôt partie des patriotes modérés et sont favorables a une gestion locale de la France et non centralisée et a une monarchie

ordonné par un autre. J'appelle faculté d'empêcher, le droit de rendre nulle une résolution prise par quelqu'un d'autre. » Dans l'esprit de Montesquieu, seule la puissance de juger doit être séparée des autres pouvoirs, car la justice doit être indépendante. Cela permet d'éviter le risque toujours présent d'un retour au despotisme (absolutisme royal), vu que l'exécutif et le législatif ne sont pas séparés mais simplement distribués entre le roi et les chambres. Toutefois, Montesquieu préconise

être responsable devant le parlement : régime parlementaire. En réalité, le gouvernement ne sera responsable que devant l’Assemblée Nationale. La cinquième République n’est donc pas un régime présidentiel. ➢ L’autorité judiciaire doit demeurer indépendante afin d’être à même d’assurer les libertés essentielles telles qu’elles s’inscrivent dans la tradition républicaine depuis 1789. Cela permet de rappeler que la République est attachée à certaines valeurs (cf. par la suite la décision de 1971, liberté

comprendre. L'attitude que nos socialistes-révolutionnaires et nos menchéviks observent envers l'Etat est une des preuves les plus évidentes qu'ils ne sont pas du tout des socialistes (ce que nous, bolchéviks, avons toujours démontré), mais des démocrates petits-bourgeois à phraséologie pseudo-socialiste. D'autre part, il y a la déformation "kautskiste" du marxisme, qui est beaucoup plus subtile. "Théoriquement", on ne conteste ni que l'Etat soit un organisme de domination de classe, ni que les contradictions

Arland Dufaure ; * Il y a les républicains modérés gauche républicaine (plus nombreux) groupés autour des 4 Jules (Ferry, Fabre, Grévy et Simon)  * Il y a les radicaux autour de Léon Gambetta (le « dictateur de Bordeaux ») et de son Union républicaine, avec aussi Clemenceau : tous deux ont été de farouches opposants à Napoléon III. On trouve aussi des opposants à la monarchie de Juillet comme Louis Blanc ou Alexandre Ledru-Rollin. * Quelques bonapartistes (20 représentants en