Union Sacrée Première Guerre Mondiale

Professeur, député républicain puis socialiste après 1893, Jean Jaurès participe à la création du Parti socialiste français (1902) et fonde le journal L’Humanité en 1904. Profondément pacifiste, il est assassiné 3 jours avant le début de la Première Guerre Mondiale. Document 4:bilan de la grève de Jean Jaurès :extrait de la « Dépêche » de Jean Jaurès. CONCLUSION : Cette séance doit être un outil de lancement pour la séance 2, dont l’objet est de montrer la naissance et l’évolution d’un monde

l'occasion de la sixième séance plénière de l’Assemblée de la Société des Nations prononcé le (jeudi) 5 septembre 1929. Un an après la signature du Pacte de Paris qui condamné le recours à la guerre. C'est l'occasion aussi pour lui de faire le bilan de dix années de politique pacifiste durant l'entre deux guerre et d'affirmer sa volonté a en faire davantage pour la cohésion européenne. Il est a noter que l'idée de la coopération européenne a eu des antécédents. On peut parler de la Confédération des

La 1re Guerre mondiale et ses conséquences Dates à retenir Août 1914 : Début de la 1ere GM 1916 : Bataille de Verdun 1917 : Révolutions russes 11 novembre 1918 : Armistice Juin 1919 : Traité de Versailles Termes à retenir Armistice, Communisme, guerre de mouvement, guerre de positions, front. Personnages à connaître Clémenceau Lénine (1870-1924) W. Wilson (1856/1924) I. Une guerre totale Mobilisation de la population : au front les poilus pour combattre / à l'arrière les civiles qui

république opportuniste (1879 – 1899) : La gauche modérée au pouvoir L’état de la Gauche o Gauche « divisée » en 2 (opportunistes ≈ de gauche) : - l’opportunisme (majorité) : * Gauche républicaine de Jules Ferry * Union Républicaine de Gambetta (« L’âge héroïque, l’âge chevaleresque est passé : soyons un parti pratique, un parti de gouvernement ») ces deux partis sont réunis en 1882 par la mort de Gambetta leur philosophie : proche du positivisme, libérale, conservatrice

l’Europe au XIXe siècle Dissertation : l’organisation internationale des courants socialistes, de la Ière Internationale au déclenchement de la première guerre mondiale « Dès le moment où l’histoire est comprise comme une lutte entre deux classes à l’échelle mondiale, le parti de la classe révolutionnaire doit être nécessairement et au départ mondial » Kriegel. Les courants socialistes sont des mouvements qu’ils soient caractérisés par des associations, syndicats ou partis, qui ont généralement

relations internationales. Une réflexion liée à la guerre. Le lendemain de la première guerre mondiale. Voir la guerre du Péloponèse. Bibliographie Durosell : «  histoire des relations internationales de 1919 à nos jours » La question des frontières qui se constituent et se modifient et celle de l’appartenance des états à une façade maritime. Le cours se porte principalement sur l’étude des relations internationales depuis la première guerre jusqu’à aujourd’hui ce qui va permettre l’explication

Rousseau (dir.), Guerres, paix et sociétés, 1911-1946, Neuilly, Atlande, 2004, p. 667-674. Généalogie Pour comprendre l’apparition, il y a dix ans, d’une nouvelle notion comme la "culture de guerre" proposée par Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker, et dont il est aujourd'hui beaucoup question, il n’est pas inutile de reconstituer sa généalogie universitaire. En matière de recherche historique, en effet, la génération spontanée est rare et le cas de la "culture de guerre" est un bel exemple

ENZO FERRARI 1. Les premières années d'un homme légendaire Enzo Ferrari est né à Modène, en 1898. Il avait trois grands rêves: être ténor d'opéra, journaliste sportif et coureur automobile. Son père, Alfredo, avait créé un atelier où l'on construisait du matériel destiné aux chemins de fer; il était passionné de musique . Il avait un frère : Alfredo. La famille Ferrari est une famille aisée. A 10 ans, il se rend pour la première fois sur un circuit où il assiste à la Coppa Florio . A 16

mouvement ouvrier II. Impérialisme, colonialisme, militarisme De 1914 à 1933 : Première guerre mondiale : matrice du XXème siècle III. La Première Guerre mondiale IV. Octobre russe, communismes et révolution mondiale V. Fascismes (Italie, Allemagne) De 1934 à 1948 : Fascismes et antifascismes VI. Totalitarismes (Italie, Allemagne, URSS) VII. Luttes sociales et nouvelles alliances de classe VIII. Deuxième Guerre mondiale et génocide IX. Les résistances De 1889 à 1914, vers la catastrophe ?

Troisième Partie : Guerres, démocraties et totalitarismes : 1914-1945 « Je fais la guerre. Je fais la guerre tout le temps et par tous les moyens. Et je ferai la guerre jusqu’au dernier quart d’heure, car nous aurons ainsi la victoire. » Par ces mots, Georges Clemenceau indique son unique vision de la Première Guerre mondiale : seule la victoire contre l’ennemi est possible, seule la fin de la guerre importe et tout doit être mis en œuvre pour gagner. Comme une réponse à ce discours, le 6 août