Unités de mesure anglo-saxonnes

secteurs de l’électronique, de la construction électrique et des biens d’équipements. Selon une enquête menée à ce sujet en 1991-1992 au Japon. Citée par KATO Y, BOER G. et CHOW C (1993). La popularisation dans le monde anglo-saxon de la méthode a tardé, vu que les anglo-saxons avaient une culture comptable marquée par la prégnance de la rentabilité financière, du court terme et de la création de valeur pour l’actionnaire. A l’inverse le target costing était centré sur les indicateurs physiques

partir de la comptabilité générale, en lien avec tous les responsables de services. Il s’agit d’une information à usage interne. Elle permet : o une meilleure gestion, o la prise de décisions. Elle a une vocation opérationnelle et économique par la mesure : o des coûts de revient, o des marges intermédiaires, o des résultats liés à l’exploitation. C’est un système qui analyse comment les ressources externes se transforment en biens ou en services. La rentabilité de ce processus de transformation est

masses en les divisant par grandes fonctions ; l’acteur est donc absent du livre. L’approche ethnographique, elle aussi, n’est pas présente. Et bien que le livre est était en grande partie écrit en France, ce sont des études menées dans le monde anglo-saxon (Cadana, Etat-unis, Angleterre) qui sont utilisées pour illustrer les propos. Dans son livre "La logique de l’honneur" D'iribarn, développe la théorie que l’Amérique fonctionne suivant la logique de contrat. La structure, mais surtout le processus

masses en les divisant par grandes fonctions ; l’acteur est donc absent du livre. L’approche ethnographique, elle aussi, n’est pas présente. Et bien que le livre est était en grande partie écrit en France, ce sont des études menées dans le monde anglo-saxon (Canada, Etats-Unis, Angleterre) qui sont utilisées pour illustrer les propos. Dans son livre "La logique de l’honneur" D'iribarn, développe la théorie que l’Amérique fonctionne suivant la logique de contrat. La structure, mais surtout le processus

externes, mais elle est, également un outil de gestion dans la mesure où elle permet d’éclairer les relations complexes entre les filiales et la société mère, et de comparer les résultats avec les objectifs de l’entreprise. Les premiers comptes consolidés ont été publié aux Etas unis dés le début du siècle, les structures économiques, le dynamisme des marchés financés et le système juridique de regroupement d’entreprises des pays anglo-saxons ont favorisé l’expansion de la pratique des comptes consolidés

diversifiés : quantitatifs, physiques, qualitatifs. Cette tendance s’avère d’autant plus forte dans le cas français (Bouquin 1993, Laverty et Demeestère 1990, Gray et Pesqueux 1993). Il est pourtant possible de constater un regain d’intérêt dans le monde anglo-saxon pour ces indicateurs diversifiés. L’approche développée par Kaplan et Norton (1996) s’inscrit radicalement dans cette évolution en connectant directement le TDB avec le contrôle stratégique de l’entreprise. Pour ces auteurs, non seulement le tableau

1930 avec la montée de la pensée keynésienne et donc de l’intervention de l’Etat dans l’économie. Les évolutions de l’économie ne sont plus considérées comme des fatalités, l’Etat peut prévoir, agir par des mesures conjoncturelles et enrayer les crises. Pour servir cet objectif et être en mesure de prévoir les crises, l’Etat met en place des outils d’analyse grâce à la création d’une direction de comptabilité publique au ministère des Finances (qui deviendra l’INSEE en 1950). E. Vers une incrimination

est inéluctable et irréversible. Nous vivons déjà dans un monde d’interconnexion et d’interdépendance à l’échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelque part affecte la vie et l’avenir des gens partout ailleurs. Lorsque l’on évalue les mesures à adopter dans un endroit donné, il faut prendre en compte les réactions dans le reste du monde. Aucun territoire souverain, si vaste, si peuplé, si riche soit-il, ne peut protéger à lui seul ses conditions de vie, sa sécurité, sa prospérité à long

capitales du vieux continent. Milan, Vienne (à deux reprises), Berlin, Madrid et Moscou. C’est pourquoi encore aujourd’hui, l’étude des guerres napoléoniennes demeure un champ très actif de l’Histoire. Longtemps dominée par les écoles historiques anglo-saxonnes, l’histoire militaire de la période napoléonienne connaît un profond renouveau depuis une quinzaine d’années (J.P. Bertaud, N. Petiteau, B. Gainot,…). Elle fait également l’objet de cours des plus grandes écoles militaires, comme West Point aux

spécialistes. L’avantage est qu’on combine ainsi les avantages de l’unité de commandement et les compétences. L’inconvénient est qu’il y a un risque de conflit entre les opérationnels et les fonctionnels. Un autre inconvénient est le coût financier dans la mesure où il faut plus de personnel. D. La structure divisionnelle. Elle consiste en une division de la structure par activité, produits, clients, marchés, ou encore zone géographique. On peut dire que chaque division est placée sous l’autorité d’un responsable