Universalité De La Littérature

perçoit sa présence ; chacun est capable intuitivement de reconnaître le statut fantastique d'un texte. Saturno devorando a un hijo, par F. Goya La littérature fantastique est toujours imprégnée de surnaturel, cependant, la présence du surnaturel dans un texte ne suffit pas à faire de celui-ci un texte fantastique. Ainsi, les histoires issues du folklore et qui présentent des revenants et des âmes en peine

victorienne, on peut constater que les tableaux d'Augustus Edwin Mulready comme « Uncared for », démontre très bien la réalité sociale, allant même jusqu'à choquer le peuple par la représentation de la pauvreté. On peut aussi étudier du côté de la littérature le poème d'Arthur RIMBAUD « Vénus anadyomène » dans lequel il établit une certaine description de la vieillesse. Ceci n'inspire peut-être pas le dégoût mais nous révèle la réalité de la vieillesse. L'observation du tableau ou la lecture de ce poème

machine à vapeur de James Watt en 1784. L’influence croissante de l’humanité sur l’environnement a été reconnue au moins depuis 1873, lorsque le géologue italien Antonio Stoppani a parlé d’une « nouvelle force tellurique qui par sa puissance et son universalité peut être comparée aux grandes forces de la Terre », faisant référence à « l’ère anthropozoïque ». Puis en 1926, V.I. Vernadsky a reconnu l’impact grandissant de l’humanité : « la direction que doivent suivre les processus de l’évolution, c’est-à-dire

toujours celle de l’Œdipe fondé sur la bisexualité originelle. La conviction de Freud, si l’on en juge par le nombre de textes et la fermeté de l’argumentation, va bien en ce sens. Les extraits que nous proposons sont tous ciblés sur « la nécessaire universalité de l’homosexualité », selon les termes freudiens. « La recherche psychanalytique s’oppose [...] à la tentative de séparer les homosexuels des autres êtres humains en tant que groupe particularisé. Le choix d’objet homosexuel est présent dans la

condamnation de cette propension de l’esprit à tout enjoliver, à parer la réalité la plus triviale des feux de l’imagination. Flaubert dénonce un certain romantisme par refus de l’invraisemblance et haine des lieux communs. Il se moque de la littérature dont Emma se gorge au couvent : « Ce n’étaient qu’amours, amants, amantes, dames persécutées s’évanouissant dans des pavillons solitaires, postillons qu’on tue à tous les relais, chevaux qu’on crève à toutes les pages, forêts sombres, troubles du

Résumé Vuibert Oral Professionnel – Option littérature de jeunesse Le manuel Vuibert d’option littérature de jeunesse reprend de larges passages des programmes, des documents d’application des programmes et du BO. Il est donc conseillé de les télécharger et de les lire attentivement, je n’ai évidemment pas retapé ces importants extraits. Il conseille également de se familiariser avec les principaux ouvrages de littérature pour la jeunesse dont on peut trouver la liste dans les programmes.

English Español العربية La littérature algérienne de la dernière décennie du XXe siècle a connu un tournant important. Le texte littéraire algérien d’expression française est, donc, le métissage de la culture algérienne et de la langue française. En effet, leurs écrits relatent l’Algérie ainsi que toutes les mutations qu’a connues la société. La plume de Malika MOKEDDEM est venue allonger la liste de ces auteur(e)s qui ont signé les œuvres qui marquent cette littérature. Tout en s’exprimant en langue

ces temps de buzz, de pensées dominantes ou binaires, de diabolisation de toute parole contradictoire, la mesure camusienne apparaît bien plus que suggestive, elle est préceptrice. (1) Raymond Aron, 'L'Opium des intellectuels', éd. Hachette Littératures. (2) Albert Camus, 'Actuelles', "Le sang de la liberté", p. 18, éd. Gallimard. (3) Rejetant toute forme d'engagement, puisqu'il se commet dans le nihilisme - indifférence à la vie - il ne peut légitimer le meurtre ; hermétique aux valeurs, situé

de faire naître des émotions à travers l’œil du spectateur serait pour certains une particularité spécifiquement féminine. Mais existe-t-il un rapport sexué à la création? Certains se disent capable de repérer une œuvre produite par une femme en littérature, peinture, sculpture, etc. il y aurait donc un art féminin et un art masculin. Or, dans le domaine de la peinture, il n’y a aucune particularité stylistique qui s’attache à l’œuvre des femmes. Ni la délicatesse de la touche ou l’utilisation du pastel

18éme siècle s’est distingué de la technique. L’art : Désintéressé ; beau ; esthétique (ce qui nous touche). Technique : Utile. On aura les beaux arts avec : - la sculpture - la musique - la danse - la peinture - la littérature - le théâtre - la danse L’art : C’est la création, l’invention au niveau du mécanisme et de la pensée, d’une idée originale à contenue esthétique traduisible selon différents effets par nos sens. 1. L’art à travers l’anthropologie