Urbanisation Xixe Siècle

Le téléphone Introduction : Au XIXe siècle, plusieurs chercheurs imaginent de transporter électriquement la voix. Dans un article paru dans l’illustration en 1854, Charles Bourseul, employé du télégraphe de Paris, énonce le principe du téléphone. En 1861, Philipe Reis, professeur de physique et de musique, construit un appareil électromagnétique capable de transmettre des sons musicaux sur une longue distance. Mais cet appareil, qu’il baptise  « téléphone » ne reproduit que très grossièrement

choisissant ses sujets dans les classes moyennes ou populaires, et abordant des thèmes comme le travail salarié, les relations conjugales, ou les affrontements sociaux. Ce mouvement apparait dans la seconde moitié du xixe siècle pour s’opposer au romantisme, qui a dominé la première moitié du siècle et pour dénoncer et analyser les mœurs de la vie quotidienne. Il s’étendra ensuite à l’ensemble de l’Europe et à l’Amérique, où il survivra jusque dans les années 1950. Les mouvements qui dérivent du Réalisme

mais aussi de la femme, qui relient les textes de Baudelaire, « Le Fou et la Vénus », de Marie Krysinska, « Ève » et d’Apollinaire, « 1909 ». On peut se demander quels sont les choix opérés par ces auteurs ayant publié dans la seconde moitié du XIXe siècle, ou aux débuts du XXe. La présence de la femme est nette dans les trois textes. Tout d’abord dans les titres : « Vénus », qui est la déesse de l’amour et « Ève », la première femme, selon la Genèse, ou encore dans l’incipit

l’incendie, 125 corps furent retrouvés. Les estimations définitives vont de 200 à 300 morts et 18 000 bâtiments sont détruits, jetant à la rue environ une personne sur deux. Bien que l’incendie soit une des plus grandes catastrophes survenues au XIXe siècle aux États-Unis, la reconstruction qui commença immédiatement après permit à Chicago de mieux se développer d’un point de vue économique et de devenir une des villes les plus peuplées d’Amérique du Nord. L’aspect de la ville changea fondamentalement

énormément la réalité, pour pouvoir faire ouvrir les yeux aux lecteurs dans le monde dans lequel nous vivons. Pour cela, il existe plusieurs mouvements littéraires, comme le mouvement réaliste: le réalisme est un mouvement littéraire et culturel du XIXe siècle qui donna pour mission au roman d’exprimer le plus fidèlement possible la réalité, de peindre le réel sans l’idéaliser. Les histoires réelles, vécues sont privilégiées, les personnages ont des sentiments vraisemblables et le milieu ainsi que le

Saint Front : de sa première construction au XIXème siècle Les suppositions des différents spécialistes Certaines traces nous laissent supposer que le début de sa construction date du VIe siècle par l’évêque Chronope II. Frotaire, évêque de 976 à 991, commença la reconstruction de la grande abbatiale de Saint Front. La nouvelle église fut consacrée en 1047, par l’archevêque de Bourges Aymon. De nombreux évêques et chanoines ont porté de différentes suppositions autour de cette église, ayant

Le nu Le nu désigne un genre artistique à part entière qui appartient au vocabulaire des Beaux-Arts depuis le XVIe siècle. C’est aussi dans l’apprentissage académique un passage obligé pour les artistes qui étudient ainsi le corps et ses mouvements. Au XIXe siècle, le nu s’affranchi de l’histoire et les peintres proposent la représentation de corps nus dans des situations quotidiennes. d’un genre qui chercher à s’affranchir de la morale bourgeoise, les nus réalistes de Gustave La représentation

ce périple va être le sujet que nous allons commencer à aborder. Nous allons ensuite voir en quoi ce poème et lyrique et en quoi le voyage peut être appelé “pélerinage”. Bien que Victor Hugo est été un des plus grands écrivains romantiques du XIXe siècle, nous pouvons nous interroger sur les aspects qui font de ce poème une oeuvre romantique. Un voyage Dans ce poème, le narrateur nous raconte son future voyage imaginaire. Sa volonté de rejoindre l’être aimé est accentuée par des verbes de

» et dont l’apparition remonte au XIIIe siècle. Au XVIIe siècle sont nées les expressions figées « militer pour » ou « contre », c’est-à-dire « constituer une raison, un argument pour ou contre » ; et ce n’est que plus tard, au début du XIXe siècle, que les deux expressions lexicalisées ont fini par signifier respectivement « lutter sans violence pour ou contre (une cause) ». Quant à l’adjectif et au substantif « militant », ils commencent dès le XIXe siècle à indiquer une personne qui adhère à un

aérienne [pic] La Documentation Photographique, Patrons et ouvriers au XIXe siècle (1840-1914), n°6005 [pic] Document 3 : photographies de travailleurs à la mine |[pic] |[pic] | [pic] Source : La Documentation Photographique, Patrons et ouvriers au XIXe siècle (1840-1914), n°6005. ----------------------- Document 2 : prospectus de