Usbek Et Rica

œuvre en 1721 à Amsterdam, avec la fausse indication « A Cologne, chez Pierre Marteau » et s’est présenté comme un simple dépositaire des lettres. C’est roman épistolaire de 161 lettres, une satire de la société française vue par des persans, Usbek et Rica. L’œuvre peut être divisée en 4 parties : Lettres 1-23 : le voyage d’Ispahan à Paris, qui dure 13 mois (à partir du 19 mars 1711 au 4 mai 1712). Lettres 24-92 : Paris sous le règne de Louis XIV, 3 ans en tout (de mai 1712 à septembre

persanes ? Intro - Présentation des lettres - Point commun : discriminations à l’égard des femmes - Différences : - Les différents lieux (sérail en orient / Europe / contexte merveilleux des contes) - Les différents émetteurs des lettres : hommes (Usbek et eunuques) / femmes (femmes des contes, Roxane) - Rappel de la question posée Plan : I La violence faite aux femmes 1°) La femme réduite à l’état d’objet, privée de liberté Tout d’abord, l’auteur dénonce la situation des femmes sujettes à la violence

roman épistolaire, c'est à dire un roman dans lequel le récit est composé par correspondance fictive entre des personnages, ici elle est échangée entre deux voyageurs persans, Usbsek et Rica qui échangent leurs impressions. * Nous avons ici un extrait de ce roman, la lettre XXX, écrite par Rica envoyé son ami Usbek. Rica lui présente le regard des Parisiens exercés sur elle et son ressenti et ainsi en exposant un regard étranger. C'est une satire de la réaction des parisiens vis à vis du snobisme ayant

Régent qui a mal évalué la situation et s’est fié à son idée personnelle plutôt que sur une analyse logique et plausible des faits. II- … A une situation catastrophique aux yeux de Montesquieu 1) Le monde à l’envers Sous la plume railleuse de Rica, la société de la Régence devient une sorte de monde à l’envers : cf. le début de la lettre, « Les ministres se succèdent et se détruisent ici, comme les saisons : depuis trois ans, j’ai vu changer quatre fois de système sur les finances. » et « Tous

rassemble la correspondance fictive entre deux voyageurs persans, Usbek et Rica, et leurs amis respectifs restés en Perse. Ces lettres sont le lieu d’expression d’une intimité mais aussi celui de réflexions nourries au contact des nations traversées. Ainsi, alors qu’Usbek est à Paris, le 7 septembre /Rhégeb 1712, il envoie une lettre (Lettre XXVI) à Roxane, une de ses femmes, au sérail d’Ispahan. Dans une correspondance très intime, Usbek pose son regard sur la femme et sa condition mais se dévoile

forment un roman épistolaire dont les deux personnages principaux sont deux Persans1, Usbek et Rica, qui voyagent en France de 1712 à 1720. Ils décrivent ce qu’ils découvrent à Paris dans les lettres qu’ils envoient à leurs amis restés en Perse. Pour eux, la France est un sujet d’étonnement perpétuel : c’est un pays inconnu et une culture radicalement nouvelle pour eux, très différente de la leur. Rica à Ibben, à Smyrne 2 . Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance

Les Lettres persanes, Montesquieu Lettre LXXIV (74) RICA A USBEK Il y a quelques jours qu'un homme de ma connaissance me dit: Je vous ai promis de vous produire dans les bonnes maisons de Paris; je vous mène à présent chez un grand seigneur qui est un des hommes du royaume qui représentent le mieux. Que cela veut-il dire, monsieur? est-ce qu'il est plus poli, plus affable qu'un autre? Ce n'est pas cela, me dit-il. Ah! J'entends; il fait sentir à tous les instants la supériorité

Les Lettres persanes paru anonymement en 1721 furent écrit par Montesquieu, écrivain français des lumières. C'est un roman épistolaire. Il y fait parler deux voyageurs persans, Usbek et Rica, originaires d’Ispahan. Les lettres racontent leur voyage en Europe et leur découverte étonnée des mœurs et des régimes en vigueur. Grâce à leur ignorance orientale, l’écrivain brosse un portrait satirique de la société occidentale, française en particulier. L'extrait que nous allons étudié constitue les dernières

Tout le long de cette correspondance, Usbek et Rica qui sont les principaux personnages du roman, critiquent le comportement des Parisiens. Dans la lettre trente de Rica à Iben, Rica raconte l'une des ses aventures passées à Paris . Montesquieu utilise pour son roman le genre épistolaire,nous pouvons le remarquer grâce à l'annonce du lieu, de la date, "De Paris, le 6 de la lune de Chalval (décembre), 1712", "A Smyrne",du prénom du locuteur et du destinateur, "Rica à Iben". Le "je" est omniprésent tout

Montesquieu, Lettres persanes, présente une description d'un monde que les personnages, Usbek et Rica, découvrent tout au long de leur voyage de façon épistolaire, par laquel, Montesquieu donne une image critique de la société parisienne. Ainsi, le texte présente de nombreuses marques de l'épistolaire comme les indications de date et de lieu à la fin du texte, la présence de la distanciation et dans le récit, Usbek exprime une attente d'une réponse à la lettre. Dans le conte philosophique, Candide,