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lois Rivet et Broglie, et présente trois lois constitutionnelles. La première loi est votée le 24 février 1875, et est relative à l'organisation du Sénat. Le 25 février 1875, l'Assemblée vote une loi sur l'organisation des pouvoirs publiques. Enfin le 16 juillet 1875 c'est une loi qui va régler les rapports entre les institutions qui voit le jour. L'assemblée constituante se sépare à ce moment. Elle n'a pas donné une constitution mais trois lois constitutionnelles. Celles-ci laissent beaucoup de point

Guerre mondiale. Sa longévité reste d’ailleurs exceptionnelle malgré les différentes agitations politiques auxquelles elle a pu être confrontée. Parmi ces agitations, l’une d’entre elle prend place dès le début du nouveau régime. Il s’agit de la crise du 16 mai 1877 résultant d’une lutte entre les républicains menés par Léon Gambetta et les conservateurs menés par Mac-Mahon élu président de la République en 1873. L’interprétation des lois constitutionnelles de 1875 est la véritable cause de cette crise

d'envisager un régime parlementaire du fait de la soumission de Mac Mahon (B). A) le processus d'établissement de la République : une forme de gouvernement imposée 1- la crise du 16 mai 1877 c'est le grand élément déclencheur de la crise politique de la III ème République rappel du contexte: le 16 mai 1877, Mac Mahon renvoi le Président du conseil jules Simon du gouvernement car Jules Simon n'a pas fait opposition à la politique de la chambre des député : mesures progressistes en matière

⁃ stabilisation du régime ⁃ fixe la tradition du parlementarisme à la française ⁃ le président de la république avait pris de l'importance ⁃ réussite du parlementarisme dualiste ⁃ Les points faibles de la III ème République: ⁃ crise du 16 mai 1877, 1ère crise institutionnelle : plus de dissolution : instabilité ministérielle: le pouvoir exécutif s'affaiblit (plus de moyens de pression): domination de l'Assemblée et donc régime d'assemblée qui prend le dessus ⁃ le Président de la République

les autres pierres. Dans la constitution des origines, cela se traduit par la volonté de faire du PR non plus celui qui inaugure les crhysanthèmes. Il faut sortir le PR dans le role auquel il était confiné sous la 4eme et la 3eme depuis la crise du 16 mai 1877 et la constitution grevy. Ilne s’agit pas dans l’esprit des constiutants ni de DG de faire du PR ce qu’il est devenu ensuite. Un arbitre mais un arbitre actif. Discours de Bayeux, « A lui la mission de nommer..traités conclus par la France »

de Montmartre en 1875). B) La république s’impose constitutionnellement. 1. Le vote des lois constitutionnelles de 1875. 2. Des royalistes divisés. Les 3 groupes monarchistes à l’assemblée. L’échec de la restauration monarchique. 3. La crise du 16 mai 1877 : les républicains remportent les élections législatives de 1876 et très vite des tensions naissent entre le président du conseil républicain et le président de la république légitimiste. Après la dissolution de l’Assemblée ce sont les républicains

conforte dans sa position prééminente, avec notamment les lois de 1875. Enfin dans une seconde partie nous montrerons en quoi dans la IIIe République, le rôle du Président de la République est en déclin constant, avec d’abord le rôle qu’a joué la crise du 16 mai 1877, et ensuite la destitution progressive du chef de l’Etat. I-L’importance pour le moins fictive du rôle du président de la République sous la IIIe République A-Une présence présidentielle apparemment importante dès l’aube de la IIIe République

pas une révolution sociale mais un avènement du personnel politique démocratique. Ce discours entraîne la peur des conservateurs et des républicains modérés. Il appelle aussi à la sagesse et non plus aux aventures héroïques de la rue. La crise du 16 mai 1877 est une crise institutionnelle de la Troisième République française qui a opposé le président de la République, le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876, à majorité républicaine, et à leur chef, Léon

dans nos différents régimes avec des appellations divers. Le rapport entre le deux têtes de l'exécutif était toujours inégalitaire bien qu'en 1877 avec la crise, le chef de l'État va s'effacer et il n'avait plus que des rôles honorifiques. La crise du 16 mai 1877 est une crise institutionnelle de la Troisième République qui a opposé le président de la République, le maréchal Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876, à majorité républicaine, et à leur chef, Léon Gambetta. En réponse

La crise du 16 mai 1877 Introduction : Depuis la fin du Second Empire en 1870, la République nouvellement proclamée peine à « accoucher » d'elle même. Ses acteurs ont des intérêts profondément divergents, ce qui ne laisse que peu de place à la mise en place d'organes stables qui permettraient d'assoir le système républicain. Un contexte qui va donner lieu à la première crise de la IIIe République : la crise du 16 mai 1877. Crise dont la particularité est qu'elle est la première crise de nature