Utilité Du Beau

Le beau traduit ce sentiment de plaisir que nous avons à contempler une chose. Quand on dit d'une personne, d'un objet, ou même d'une idée qu'il est beau , c'est lui apporter une certaine propriété jugée comme positive : la beauté. Cette beauté est-elle dans la chose-même, ce qui supposerait qu’il y a des choses belles et des choses laides en elles-mêmes ou dans notre façon de voir et de représenter les choses alors n’importe quoi peut devenir beau ou laid, selon notre sentiment ou selon la manière

un rôle socio-économique, culturel et moral qu’on ne peut refuser. Ce débat nous invite à nous interroger. La production du beau est-elle une activité nécessaire ? Pour le savoir demandons-nous en quoi l’art serait superflu ? Par ailleurs, la& création artistique n’est elle pas indispensable à l’homme et à la société. L’art selon le sens du commun n’a aucune utilité pratique parce qu’il est une activité ludique. Autrement dit, la création artistique se résume purement et simplement en un

Depuis au moins l’Antiquité, la philosophie s’interroge sur la nature de l’art. De nombreux philosophes se questionnent sur ces techniques en tant que "beau", or nous savons que l’art ne représente pas toujours quelque chose de visuellement plaisant, ou cohérent, mais il y a toujours une signification à ce que l’artiste a produit, qui peut être plus ou moins explicite. Les différentes conceptions de l'art et les difficultés de l'aborder dans sa globalité se répercutent sur les conceptions de son

« crétins », « imbéciles », « goîtreux «  littérature  chose civilisante paragraphe avec parallélismes : figures de rhétoriques  vêtements (« On ne se fait pas un bonnet de coton d’une métonymie ») ironie/ question de l’utilité : romans a deux utilités : 1) matérielle (rapporte argent à auteur + à ceux qui participent à production) 2) spirituelle (pdt qu’on lit romans  on dort et on ne lit pas journaux utiles, vertueux, progressifs = « drogues indigestes et abrutissantes » détruit la question

autre objet. L’art est plaisant comme un loisir, beau comme une belle montre, lassant comme un gadget, utile comme un instrument. Une œuvre nous divertit, puis s’oublie, coïncide avec nos goûts particuliers, puis s’éloigne de nos intérêts, mais alors quelle spécificité ? Il y a quand même une différence. L’art a beau être aussi plaisir, fonction, renouvellement, nous avons avec lui un rapport différent. Ce n’est pas le même plaisir, ni la même utilité ou apparence. La différence, c’est qu’il nous

L'art désigne la technique, l'art des artistes et des oeuvres d'arts C'est une production humaine, cad un artefact L'oeuvre d'art ne vise aucune utilité pratique contrairment aux autres artefacts, comme les outils. l'oeuvre d'art peut avoir une fonction symbolique : fonction magique : masque pour chasser les mauvais esprits fonction religieuse : églises etc... fonction de distinction sociale : Bourdieu nous dit que les individus vont fréquenter certaines oeuvres d'arts en allant au théatre

c'est sa définition. La beauté est un but qui n’en a pas d’autre que lui-même ; elle se suffit à elle-même et n’a aucune finalité ou utilité immédiate. Elle n’est là que pour toucher l’âme et se justifie que par l’émotion qu’elle suscite chez le spectateur. De même, la création artistique est un acte désintéressé qui se justifie par sa beauté, et qui n’a d’autre utilité que de la produire. « L’art n’est pas la représentation d’une belle chose, mais la belle représentation d’une chose. » Kant nous

faire plusieurs distinctions qui ne résident pas nécessairement dans la connaissance; notamment, la distinction entre beau et agréable. Le premier de ces termes fait appel à une dimension universelle: on ne peut contester le beau tandis que le second de ces termes s’appuie plus sur la sensibilité de chacun. Une deuxième distinction est nécessaire: celle entre beau et sublime; le beau charme et procure un sentiment de gaieté de plaisir ; il n‘a pas de réel concept, alors que le sublime touche l’individu

amène à penser sur ce qui est réellement nécessaire. Quand tout ce qui est attrait à la beauté devient alors inutile. Cette affirmation traduit la définition de ce qui est essentiel, de ce qui est beau. Mais alors où est l’intérêt dans tous nos faits et gestes, si nous partons de ce point, la réelle utilité pour l’homme s’arrête à boire et à manger. C’est en quoi on se doit de trouver bénéfice dans chaque mouvement de l’homme, chaque pensée, c’est ce qu’on retrouve chez les artistes. Bien souvent incompris

à mesure. 2) Peut-on définir la « règle du Beau » ? L’artiste peut-il l’expliquer ou l’enseigner à la manière de n’importe quelle règle technique ? Selon Alain, la règle du Beau « n’apparait que dans l’œuvre », ce qu’il justifie à travers les exemples de la poésie, la sculpture la peinture ou encore la musique. En ce sens, le Beau n’est pas planifié, il est vécu simultanément à sa réalisation et se matérialise à travers l’objet. La règle du Beau serait alors dans la pratique, la réalisation