Valérie Marneffe

baron Hulot souhaite courtiser Valérie afin de continuer son libertinage et accumuler les conquêtes. De ce fait il demande à Lisbeth de fréquenter celle-ci afin d’en savoir plus sur sa désirée. Valérie de son côté souhaite la promotion de son mari et pense à son confort matériel personnel. Elle va faire de Lisbeth son « amie » afin d’atteindre le baron Hulot (la personne vers qui elle doit se tourner pour aboutir ses plans). Résumé p.127-130 Nous sommes chez Valérie qui a invité Bette à boire le

des Grands Boulevards, lors de la déclaration de guerre de la France contre la Prusse de Bismarck ( 19 Juillet 1870), suscitant de forts sentiments patriotiques et l'enthousiasme de la foule. Ce récit est visiblement inspiré de la mort de Valérie Marneffe (ou Valérie Crevel) dans La Cousine Bette de Balzac (1842). I La dimension réaliste 1°) L'ancrage spatio-temporel L'espace et le temps sont bien déterminés et sont révélateurs d'une époque historique, celle du régime de Napoléon III: Le temps: la mort

page en un hommage, en un pastiche de La Cousine Bette. De sorte qu'on est davantage dans la recréation littéraire et artistique que dans la reproduction objective du réel. Cependant, chez Zola, la dimension religieuse est totalement absente: Valérie Marneffe se repent et espère en un au-delà, alors qu'ici il n'y a que la matérialité du néant s'exprimant par une image saisissante: « ce masque horrible et grotesque du néant ». 2°) La dimension esthétisante Il y a chez Zola le pari de faire du beau

précision. Jacques est décrit comme une évidence avec comme un présent de vérité générale: «s’il lui arrive»(l.9); «c’est sa fonction habituelle»(l.12). Dans La Cousine Bette de Balzac, Valérie Marneffe est décrite comme une petite courtisane sans scrupule par le narrateur qui n’hésite pas à dire la vérité à propos de Valérie: «une triste réalité» (l.24). Le narrateur dans Madame Bovary, lui présente Rodolphe comme un homme médiocre, qui veut séduire Emma Bovary: «en était venu aux affinités»(l.1). Il apparaît

épousera Célestine Crevel et Hortense se mariera avec Wenceslas Steinbock. Il a une passion dévorante incontrôlable pour les jeunes et très jeunes filles : Jenny Cadine, Josépha ( volée à Crevel), elle l’abandonne pour le Duc d’Hérouville, Marnefffe Valérie (Nana chez Zola), Olympe Bijoux, Elodie Chardin, Atala Judicy. Ce sont des ouvrières. Il épouse Agathe Pictar, la bonne normande après la mort d’Adeline. Il fait du tourisme sexuel. Il a une pédophilie rampante. La Comédie Humaine commence avec

Madame Isabelle Deville, pour avoir accepté d’être ma référent de stage et qui m’a faite partager ses capacités d’analyse et de communication lors de la journée animation en milieu scolaire, ce qui m’aidera beaucoup pour l’avenir. Madame Simone Marneffe qui, dés le départ, a soutenu ma demande de stage et m’a informée au fur et à mesure du bon déroulement de celle-ci, ainsi que pour l’organisation du programme de mon stage, inespéré pour une première année. Merci à Madame Vanessa Vandenbosch

sociale. Un bourgeois n’épouse pas une ouvrière. Elles peuvent vous faire éprouver tous les tourments de la jalousie. Exemple : Coralie, La Torpille ( Illusions perdues de Balzac), La cousine Bette (Valérie Marnef), Nana (Zola). On n’échappe pas aux désirs inconscients. La femme réelle est Mademoiselle de Puygary. Elle est l’archétype de la mauvaise mère, elle se rapproche aussi de la bonne mère. Le narrateur interprète

avec son rire et son masque permanent. La maladie, cause naturelle a défait le visage de Nana et lui a posé un masque permanent. o Souvenir également de la marquise de Merteuil qui perd sa beauté à la fin des Liaisons Dangereuses et de Valérie Marneffe qui, dans la Cousine Bette, meurt défigurée elle aussi par une maladie sexuellement transmissible, le pian, que son beau Brésilien lui a involontairement transmise. o La décomposition de Nana Vénus est dégagée de toute morale, elle

dans le torrent de pleurs, de même que les pierres, quelque grosses qu’elles soient, ne marquent point dans les cascades alpestres enflées à la fonte des neiges. Telle est l’inexpérience de la Vertu ! le Vice ne demande rien, comme on l’a vu par Mme Marneffe, il se fait tout offrir. Ces sortes de femmes ne deviennent exigeantes qu’au moment où elles se sont rendues indispensables, ou quand il s’agit d’exploiter un homme, comme on exploite une carrière où le plâtre devient rare, en ruine, disent les carriers

le premier arrondissement), aujourd’hui détruit, qui subsistait entre le palais du Louvre et celui des Tuileries, où vivent la Cousine Bette (1846), l’autre « parente pauvre », et sa très vénale et très immorale amie Valérie Marneffe qui trompe en même temps son mari et ses trois amants et leur fait croire à tous qu’ils sont le père de son enfant, avant de périr empoisonnée par son terrible amant brésilien lorsqu’il découvre sa trahison ; le « noble faubourg », c’est-à-dire