Valeur nominale et valeur réelle

même revenu ne permet plus d’acheter la même quantité de biens qu’avant, il y a donc une baisse du pouvoir d’achat. B. conséquences positives pour le consommateur Tout d’abord, il faut faire la différence entre la valeur « nominale » et la valeur «  réelle ». La valeur nominale est la valeur courante, celle qu’on utilise tous les jours. Exemple : on gagnait 2200€ net/mois et maintenant on gagne 2270€ net/par mois, si on ne tient pas compte de l’inflation on pourrait croire que notre salaire a augmenté

échanges réels. Question : Compatibilité entre l’équilibre interne et l’équilibre externe. L’équilibre interne est contraint ou limité par l’équilibre extérieur. Section 1 : Taux de change et marché des changes C’est un prix relatif qui exprime la valeur d’une monnaie en terme d’une autre monnaie. Et le marché sur lequel se fixe ce prix est le marché des changes, c’est un marché de gré à gré (Over The Counter : OTC). De gré à gré signifie entre deux personnes mais il s’agit en général d’institutions

toujours le même, les salaires ne devraient pas être indexés tous les ans, les taux de change ne changeraient pas autant... Ce serait plus simple, non?" L'inflation correspond à une perte de la valeur de l'argent avec le temps. Si vous avez 100 euros sur votre compte en banque maintenant, cet argent a plus de valeur maintenant que dans 10 ans, dans le sens où vous pouvez acheter davantage de biens et services avec 100 euros maintenant qu'avec 100 euros dans 10 ans. L'inflation est l'ennemi numéro 1 de

• Estimation des taux d'inflation dans le monde, pour l'année 2005 L'inflation est une baisse durable de la valeur de la monnaie[1][2], qui se traduit par une hausse globale du niveau général des prix. C'est un phénomène persistant qui touche la totalité des prix[2], auquel se superposent les variations sectorielles des prix. On l'évalue à partir des variations des prix à la consommation des biens et services, mesurée à qualité égale. En France, l'inflation est évaluée au moyen de l'indice

par un système de parité fixe. Les régimes de change déterminent ainsi les conditions de l'insertion internationale des économies. L’analyse de la compétitivité-prix d’un pays s’appuie traditionnellement sur la mesure de son taux de change effectif réel. Ce dernier permet d'établir dans quelle mesure les variations des taux de change, des prix ou des coûts, dans différents pays étrangers influencent la position compétitive du pays concerné. A cet égard, et compte tenu du contexte d’ouverture du Maroc

Caractérisez l’évolution des différentes grandeurs macroéconomiques présentées dans ce document après avoir rappelé leurs définitions. PIB : le PIB est la valeur totale du flux de biens et services finaux produits dans une économie durant une période donnée. On l’appréhende de trois manières : Angle de la production : somme des valeurs ajoutées (Q) Angle du revenu : somme des revenus (Y) Angle de la dépense : ensemble des dépenses des agents en Biens et services (Z) Figure 1,1 : PIB Allemagne

CIF dans la terminologie anglaise, à leur prix une sur le territoire national incluant des services nécessaires à leur acheminement depuis l’étranger. Les exportations sont évaluées FAB(franco à bord, FOB dans la terminologie anglaise) câd à leur valeur de départ du territoire national, en excluant le coût des services de transport et d’assurance nécessaires à leur acheminement vers l’étranger. 2. Les opérations de répartition Les opérations de répartition comprennent l’ensemble des opérations de

Coût horaire par salarié : (F) Graphique 11 Coût horaire par salarié : (J-K) 5/17 2. La productivité 2.1. La valeur ajoutée par emploi8 Pour l’ensemble de l’économie marchande, le Luxembourg se voit attribuer la première place en termes de productivité par unité d’emploi. On note aussi que l’écart par rapport aux autres pays s’amplifie depuis 2005. Graphique 12 Valeur ajoutée par emploi : économie marchande (C à K) en € par an Il est intéressant de remarquer que l’ordre dans lequel

PROBLEMES ECONOMIQUES CONTEMPORAINS Chapitre I Partage de la valeur ajoutée I. La Richesse II. Le rôle des agents économiques III. Rémunération et Productivité marginale IV. Rémunération et Rapports de Force V. Partage de la valeur ajoutée et fonctionnement des marchés financiers VI. Partage de la valeur ajoutée et chômage VII. Partage de la valeur ajoutée et autorité monétaire VIII. Le partage de la valeur ajoutée en France depuis 1970 ; les explicitations de la transformation

Chapitre 2 : Monnaie et activité réelle. 14 Section 1 : La théorie quantitative de la monnaie. 14 Section 2 : Le principe de dichotomie et l'équilibre général sur le marché des biens. 17 Section 3 : Théorie quantitative et encaisse réelle. 21 Chapitre 3 : Monnaie et activité réelle, l'approche keynésienne. 23 Section 1 : La demande de monnaie keynésienne. 24 Section 2 : le mécanisme de transmission d'un choc monétaire à l'économie réelle. 27 Section 3 : Le modèle ISLM