Valeur nominale et valeur réelle

Il consiste en un avancement de l’argent par le banquier à une entreprise contre remise d’une créance avant son échéance. Le banquier verse au client le nominal de l’effet escompté, diminué des agios, tout en assurant le recouvrement de la créance à la date d’échéance des effets. L’escompte n’est en effet qu’une forme de crédit et non un achat réel des créances. Celui qui en a bénéficié reste responsable de son remboursement, et si la traite n’est pas réglée par le créancier le jour prévu, le banquier

entreprise qui doit fixer : prix, budget publicité, décisions d’investissement  Concurrents effectifs et potentiels ? 3. Prix nominaux et prix réels  Pour comparer les prix à travers le temps, il faut mesurer les prix relatifs en fonction du niveau général des prix. On distingue : Le prix nominal (ou prix en francs courants) : son prix absolu (auquel il est vendu) Le prix réel (ou prix en francs constants) : son prix évalué par rapport à une mesure agrégée des prix (c’est le prix corrigé de l’inflation)

L'approche de la dépense : C'est une approche liée à l'emploi de la production. Tableau 1 : Sur la valeur totale du PIB, la consommation est la partie la + importante. Sur le PIB français en 2007, une large part des emplois a été destinée aux exportations. L'approche des revenus : Le PIB correspond à la somme des revenus des facteurs de production. Lorsque la richesse a été produite, elle va être ensuite distribuée. Revenus qui rémunèrent le travail, le capital et l'État (revenus nets liés

consommant. La consommation fait l’objet d’un classement en postes regroupant des biens et services d’une même catégorie (alimentation, hygiène et santé, transports et déplacements...). Les dépenses de chacun de ces postes sont ensuite rapportées à la valeur totale de la dépense de consommation pour calculer les coefficients budgétaires. Un coefficient budgétaire c’est donc la part d’une dépense de consommation (l’alimentation par exemple) dans le budget total du ménage. Les différents pourcentages représentants

nombre de travail croit. = Plus il y a de travailleurs engagés, plus faible est la contribution à la production de chacun. = loi des rendements décroissants (Chapitre 13) : le produit marginal d’un input diminue quand sa quantité augmente. * Valeur du produit marginal (VPmT) d’un facteur de production = produit marginal du facteur multiplié par le prix de marché du bien = P x PmT * Décroît avec le nombre de travailleurs car le prix du bien est constant. * = montant de revenu supplémentaire

........................................................................................................ 3 Chapitre 1. CARACTERISTIQUES. ............................................................................................... 3 1.1. Valeur nominale. ............................................................................................................. 3 1.2. Prix d’émission. ..........................................................................................................

MACROECONOMIE Objectif du cours : L'ouverture croissante des économies aux échanges internationaux ne permet plus de négliger l'existence d'interdépendances réelles, monétaires et financières entre les nations. Or, les flux internationaux de marchandises et de capitaux obéissent à des logiques propres difficilement compatibles avec les objectifs de stabilité interne poursuivis par les nations (stabilité des prix, plein emploi, croissance). Ces dernières sont soumises à de nouvelles contraintes (contrainte

monétaire international. B- Evolution du système monétaire international au fil des années : les différents types de système monétaire. II- LES TAUX DE CHANGE. A- Le taux de change nominal. B- Le taux de change réel. C- Les implications de la relation entre taux de change nominal et réel. III- INFLUENCE DES SYSTEMES MONETAIRES ET D’UNE MONNAIE FORTE OU FAIBLE SUR L’ECONOMIE. A- Avantages et inconvénients des régimes de change fixe et et flexible sur l’économie.

l’angmentation de capital : 10000*300=3000000 L’augmentation : 2000*150=300000 12000 3300000 Valeur de l’action après l’augmentation : 3300000/12000=275€ 10000 titres soit 10000 DS > 1000 titres nouveaux. 10DS> 1 titre nouveau 10 DS + 150€ = 275€ => 10DS = 275-150 => DS =12.50€ Le préjudice subi par les anciens actionnaires est égal à la perte de valeur de l’action ancienne (300€-275€)-12.50€=12.50€ soit 10000*12.50=125000€ Avantage de l’investisseur : (275-150)*1000=125000

Définition Avantages et inconvénients Gestion des obligations Caractéristiques d'un emprunt a. Typologies des obligations b. Le marché des obligations V. VI. VII. VIII. La cotation Taux actuariel brut (ou taux de rendement actuariel brut) Valeur théorique d’une obligation à une date donnée Service de l’emprunt obligation : a. Emprunt obligations remboursable en plusieurs fois b. Emprunt Obligation remboursable en Bloc  Exemple 1  Exemple 2 Introduction Le choix de la structure