Valeurs De La Bourgeoisie

Dans La Curée , Zola nous entraine au cœur de la bourgeoisie parisienne sous le Second - Empire. Il se propose d’étudier la famille des Rougon-Macquart, s’intéressant autant à leur ascension sociale qu’à leur cupidité insatiable. A travers cette famille,

Kant est le premier à remarquer cette antithèse, en effet il remarque que lui et son peuple sont cultivés à un haut degré par l’art et les sciences et qu’ils sont civilisés pour exercer les politesses et convenances sociales. C’est la pensée de la bourgeoisie allemande dont les visées sont encore, en grande partie, cosmopolites. En Allemagne il y avait une forte opposition entre la noblesse de cour parlant le français, et la couche cultivée de la classe moyenne s’exprimant en langue allemande. Cette

Renault introduit le taylorisme. B) Le modèle bourgeois En 1914, la moitié de la richesse nationale est détenue par 15% des Français, la grande bourgeoisie d’affaires et la noblesse rentière. Quelques milliers d’individus forment ce que l’on appelle « le monde », décrit pour la revue de Paris par Marcel Proust. Aristocratie et grande bourgeoisie se mélangent de plus en plus, incluant même des self made men souvent formés dans les grandes écoles tel André Citroën. Mais cette élite reste un milieu

Fr jusqu'en 1911 où taux est de 18,8 pr mille contre 30 en Europe centrale. L'Allemagne et l'Angleterre n'ont pas ce pb. Chute de la naissance liée à la baisse de fécondité (pas nuptialité) car contraception qui passe de l'aristocratie et haute bourgeoisie à ttes les autres classes. Cette contraception est liée à peur de perdre le patrimoine et au déclin de l'influence de l'Église mm si dénonciation de cet individualisme et politique familiale (mais fait peur par son coût). Av la Grande Guerre

aux détenteurs du capital : la bourgeoisie. On pouvait donc donner comme exemple d'ouvriers les salariés d'une usine qui travaillaient sur une chaîne de production,.... Aujourd’hui que définit-on par classe ouvrière ? En commencent ce sujet, il paraissait était de dire que la notion de classe de nos jours semblait un peu en voie de disparition. Mais la société tel qu'elle est faite aujourd'hui se décompose en classe sociale mais ne connotant plus les même valeurs qu'il y a quelques années : classe

pays industrialisés sont de moins en moins rurale. B/ La montée de la bourgeoisie et des classes moyennes L’industrialisation et la croissance économique profite surtout à la bourgeoisie qui devient la classe sociale dominante : -haute bourgeoisie (banquiers, négociants, ...) -les classes moyennes : ni ouvrier, ni paysans, ni haute bourgeoisie (commercant, fonctionnaires, employés,...) -les bourgeois partagent des valeurs communes (l’attachement au travail, le mode de vie, la famille, l’ordre

(espacement des naissances), mais il est à noter une rucrudescence des naissances illégitimes. L'accroissement naturel au XVIIIs. est donc important. Mieux nourrie, mieux protégée contre les maladies, la population est plus robuste et peut mieux mettre en valeur les sols, permettant ainsi le progrès économique. Mais, la pression démographique sur les campagnes entraîne l'exode rural ce qui explique bien sur la poussée urbaine et la naisssance d'un prolétariat urbain.   I. UNE SOCIETE D'ORDRES Selon le

touchant tous les domaines, et même de très près le politique. Avec le renouveau religieux, il accentue la substitution du réalisme et du positivisme pour peu à peu laisser place à la sensibilité et au scepticisme du siècle. Le romantisme et ses valeurs le place comme une nouvelle culture tout autant artistique que politique. Il touche toutes les nationalités européennes et tous les domaines artistiques, plus particulièrement la poésie, la musique, la peinture, la littérature, plus forte selon les

traditionnelles d’encadrement pour les remplacer par d’autres qui auront pour but de détruire le risque d’une révolution communiste en pratiquant l’inclusion forcée. C’est ainsi qu’il obtient l’appuie de la classe dirigeante et d’une partie de la bourgeoisie. Il propose alors la création d’un état fort autour d’un chef charismatique exprimant les aspirations de la communauté italienne. Il rejette le libéralisme et la démocratie, accusés du déclin du pays. C’est sur cette base qu’il accède au pouvoir

clergé, la noblesse et le peuple. Le clergé et la noblesse bénéficiant de nombreux privilèges creusant ainsi l’inégalité sociale avec le peuple. De plus, une nouvelle sous-classe sociale apparaissait : la bourgeoisie. Principalement issue du développement des échanges commerciaux, la bourgeoisie restait tout de même écrasée par la noblesse. Ces inégalités sociales se retrouvent dans la réplique d’un des personnages du Mariages de Figaro de Beaumarchais, lancée par un homme du peuple à un noble : «